La Pire Soldate

Chap.6 : Caporal Ackerman

NDA : Ce chapitre était le plus problématique. Et je vous l'accorde, c'était déplacé de ma part de vulgariser le viol. Donc je l'ai modifié et elle prend une tournure totalement différente ! Je m'excuse sincèrement si cela a perturbé certains d'entre vous et je vous remercie de continuer à lire mes écrits.

PDV Reader :

Une semaine est passé. Presque rien n'a changé depuis la dernière fois, y compris la taille du caporal qui ne semble pas avoir grandi depuis son adolescence.

J'ai appris il y a quelques jours que j'avais à dos la demi-soeur de Yeager en plus du Caporal. Depuis, j'ai décidé de ne plus les énerver et de limiter mes actions en leur présence. Non pas que Mikasa me terrifie, c'est plutôt ma manière de fuir le conflit. Me faire bizuter par les autres soldats devrait suffire donc si en plus je me fais tabasser par les deux Ackerman, autant quitter l'armée.

Enfin bon, ce matin, je me diriges vers les écuries où on m'assignera un cheval, je suis en compagnie du caporal qui me suit de très près depuis notre discussion dans les couloirs du QG, on arrive enfin et un soldat nettoyant l'écurie s'avance vers nous, un large sourire au visage.

Soldat : Bonjour Caporal-Chef, dit-il en faisant le salut, que me vaut l'honneur de votre visite ?

Livai : On est venu lui chercher une monture, lâche ce dernier en me pointant du doigt

Soldat : Je vois alors, je laisse la recrue Silbane vous montrez le chemin.

Une jeune fille s'avance timidement vers nous, elle est rousse avec des cheveux longs et un regard pétillant. Sans que je ne puisse m'en empêcher, mon regard se pose sur le caporal qui se tient à mes cotés. Il le remarque et me dévisage longuement.

Lui : Qu'est ce que tu regardes comme ça la merdeuse ?

Moi : Je me disais juste qu'elle pouvait vous donner des cours sur la joie de vivre. je réplique d'une manière nonchalante

Il ignore ma remarque et pose son regard sur la recrue qui semble mal à l'aise, enfin, elle nous emmène vers l'écurie et me présente son cheval bien que je n'en avais rien à carrer. Le caporal reste derrière moi et ne me lâche pas du regard.

Elle : Voici mon cheval, Siegfried ! dit elle en caressant le museau du cheval

Moi : Tu donnes un nom à ton cheval ? Lâchais-je avec une marque d'incompréhension

Elle : Bah oui, comme tout le monde.

Moi : Tout le monde fait ça ? je me retourne vers le caporal et lance d'une voix détendue, et le votre caporal, il s'appelle comment ?

Livai : ferme la et arrête de poser des questions tch.

De ma nature calme et assez froide, j'ignore sa remarque et abandonne l'idée du nom de son cheval pour enfin diriger toute mon attention sur Silbane qui ne sait comment réagir. Elle finit par briser le silence en me désignant ma monture.

Elle : Ton cheval, il est là...

Elle pointe du doigt un cheval juste à coté du sien ; ce cheval a la peau beige, tandis que sa crinière tourne autour du marron clair et il est grand, plutôt robuste même.

Elle : Tu peux lui donner un nom si tu veux.

Moi : Je n'y vois aucun intérêt mais si tu y tiens tant que ça...