Au son de cette voix grave Margaret ne pus empêché à son coeur de battre la chamade Luky se tenait sur le seuil de la chambre un sourire sur les lèvres. Margaret ne pouvait l'expliquer elle était partager entre deux sentiments contradictoire. D'un côté elle était heureuse de le voir de l'autre elle mourait d'envie de lui tordre le coup.
- comment ça mon petit soldat est malade dit il en rentrant dans la pièce. il alla déposer un baisé sur le front de sa fille
-vous voilà enfin Luky fit le docteur larsser
- oui merci de m'avoir prévenu
En effet si monsieur larsser ne l'avait pas appelé il serait sûrement dans son bureau entrain de tenir une réunion en ce moment. Voulant laisser du temps à la jeune fille Luky avait décidé de se tenir à l'égard même si son absence était plus douloureux qu'une morsure l'homme se faisait violence pour ne pas la rejoindre il passait ses journées dans son entreprise travaillant à en perdre la tête au moins cela l'empêchait de penser à elle il voulait la faire ressentir son absence la brusqué en quelques sortes elle pouvait bien se mentir à elle même mais luky était sur d'une chose c'est qu'elle l'aimait aussi oh oui elle l'aimait il avait pu le voir sur son visage cette fameuse nuit il ne pouvait pas se tromper.
s'éloigner était aussi un moyen pour lui de la punir il voulait qu'elle ressente elle aussi cette douleur qui l'empêchait de fermer l'oeil même si cela l'empêchait de voir sa fille et puis il le faisait aussi pour elle pour l'offrir une vrai vie de famille.
Et quand la nuit dernière il s'apprêtait à rentrer,il avait reçu plusieurs appels de la maison Luky avait su qu'il s'agissait d'elle ignorant ses appels il avait décidé de dormir dans son bureau.
Il fut réveiller ce matin par le coup de fil du docteur larsser ce dernier l'informa que son petit ange se trouvait à l'hôpital il avait frôlé la crise cardiaque à l'annonce de cette nouvelle. le docteur l'avait assurer que Ali se portait bien il n'avait aucune raison de se mettre dans tout ses états ils comprenait maintenant pourquoi la jeune fille l'avait tant appelé se sentant honteux il avait pas osé poser son regard sur elle depuis qu'il avait franchi le seuil de cette chambre d'hôpital.
- c'est bien normal voyant si ça ne vous dérange pas j'aimerais m'entretenir avec vous
- bien sûr cela ne me dérange aucunement.
- bien suivez moi
-je reviens ma puce fit il a l'encontre d'Alicia
- d'accord papa
Margaret regardait les deux hommes sortir de la pièce son coeur se remplit de tristesse Luky n'avait même pas eu un regard pour elle il n'avait pas le droit de la traiter ainsi non il n'en avait pas elle lui dirait sa façon de penser se promit elle il ne perd rien pour attendre cet homme de caverne.
- madame s'il-vous-plaît fit l'infirmière pouvait vous m'aidez
- bien sûr en quoi faisant
- eh ben cette jolie princesse refuse de faire sa toilette j'aimerais terminer cette tâche avant le retour de votre mari
- Alicia tu.... pardon....mon...quoi?
- votre mari vous savez le papa de votre fille
- oh articula la jeune fille.
Elle devrait lui dire qu'elle n'était pas la femme de Luky mais elle décida de se taire de toute façons elle n'était pas obligé de le savoir.
- je veux que ça soit maman qui s'en charge tout comme à la maison fit Alicia tout en boudant joliment
- bon d'accord on n'y va
*
* *
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- papa tu en a mis du temps- désolé mon coeur j'étais allé chercher tes médicaments
- nous pouvons rentrer après le déjeuner à la maison fit Luky en se tournant vers Margaret.
- d'accord fit elle avec froideur
Luky observait la jeune fille distraitement elle avait l'ére si fatigué ses beaux yeux noisettes étaient cerné son coeur se gonfla d'amour pour elle monsieur larsser l'avait tout expliqué elle aimait tellement sa fille qu'elle était sorti au beau milieu de la nuit pour la conduire à l'hôpital elle qui avait peur de franchir le portail de sa villa la journée l'avait fait cette nuit pour sa fille affrontant ses peurs pour le bien être de son enfant veillant toute une nuit. il se demandait même comment elle faisait pour se tenir debout il était plus de 9h et elle ne somnolait même pas c'est décidé il ferait d'elle sa femme pensa t-il une femme capable d'offrir tant d'amour à un enfant qui n'était pas le sien valait plus que toute les richesses du monde.
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un equilibre parfait
Romancepensez-vous pouvoir vous en sortir ainsi? me pensez-vous assez stupide pour vous croire mademoiselle? je...assez tonna t-il face à cette voix aussi froide qu'effrayante la jeune femme était terrifiée elle ramena ses jambes vers sa poitrine comme ci...