Après une nuit d'amour avec un homme qu'elle venait à peine de rencontrer, Mercy, une jeune stripteaseuse, commet un vol dans la maison de ce dernier, acte irréfléchi qu'elle regrettera beaucoup trop tard.
Alors qu'elle pensait ne plus jamais le rev...
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Je reste là à le regarder sans savoir quoi répondre à ça. En fait, c'est le savoir à moitié nu devant moi qui m'empêche de réfléchir convenablement. Sans que je ne puisse le contrôler, mon regard s'attarde sur cette magnifique vue qu'il m'offre.
- Alors, vous venez ?
Je reprends rapidement mes esprits et reporte mon regard sur son visage.
- Vous êtes sérieux ?
- Bien sûr que je le suis. Voyez par vous-même, il me dit en se désignant des doigts.
Je me mords nerveusement la lèvre inférieure en suivant son mouvement puis jette quelques secondes plus tard un coup d'œil au jacuzzi de l'autre côté de là piscine. Son bassin est presque confondu avec celui de la piscine. Le voir d'ici me fait très envie je dois l'avouer. Ce sera une première pour moi, Mais...
- Je... Je ne vais quand même pas me déshabiller devant vous.
Il rit faiblement puis lève les mains en l'air.
- Ok, je me retour, il dit en s'exécutant.
Je souffle fortement avant de passer ma main dans mon dos afin de descendre la fermeture éclaire de ma robe, main je garde l'autre main sur le bustier pour ne pas qu'elle tombe immédiatement.
- C'est sans arrières pensées, hein ? Je demande timidement.
Je le sens commencer à se retourner alors je pose rapidement de mes mains sur son dos pour l'énergie empêcher.
- Vous n'avez pas besoin de me voir pour répondre.
Je me maudits intérieurement pour avoir eu ce réflexe lorsque je sens ma robe descendre le long de mon corps pour atterrir à mes pieds. Le vent qui caresse les autres parties de mon corps maintenant misent à nu me fait légèrement frissonner. Je n'étais pas prête à me retrouver aussi rapidement en petites tenues près de cet inconnu même si bizarrement sa présence ne me gêne pas plus que ça.
- Je n'ai pas d'arrières pensées.
Je profite du fait qu'il reste dos à moi pour récupérer rapidement sa chemise échouée sur le sol tantôt et le mettre par-dessus mon soutif sans bretelles et ma culotte pour ainsi me cacher non seulement du froid, mais aussi de ses yeux qui, je le savais n'allaient pas tarder à venir vers moi.
Comme je l'avais prédire, il me refait vite face. Les yeux ancrés dans les miens, il poursuit :
- Pas en ce moment en tous cas.Pour l'heure, nous alors juste nous détendre.
Sa première phrase aurait sûrement dû m'affoler, mais bizarrement, il en ait rien. Je me contente juste de hocher la tête et de me baisser afin de retirer mes talons. Je deviens subitement deux fois plus courte que je ne le suis déjà.
- Vous allez y aller avec ça sur le dos ? Il demande l'index pointé vers sa chemise.
Je hausse négligemment les épaules et vais en direction du jacuzzi. Lorsque j'y suis, je m'y glisse lentement laissant l'eau chaude m'immerger presque tout le corps puis soupire presqu'immédiatement de bien-être.
Émilien me regarde un souris au lèvres puis après avoir retiré sa montre et ses chaussures, il vient me rejoindre. Alors que son corps musclé descend lentement dans l'eau, je m'autorise à l'admirer une dernière fois avant qu'il ne soit totalement submergé.
- Il y a-t-il quelque chose en particulier qui vous ferait envie sur moi ? me demande-t-il.
Je détourne vite le regard morte de honte. Et lorsque le son sexy de son ris franchit le seuil de mes oreilles, je sens le feu m'engloutir petit à petit le bas du ventre. je secours ensuite la tête de gauche à droite comme réponse à sa question puis soupire bruyamment pour essayer de calmer mes hormones.
- Vous n'avez plus rien de la femme que j'ai rencontré hier et encore ce matin, je l'entends murmurer. Un peu comme s'il se parlait à lui-même.
Je redresse la tête puis le regard un sourcil levé.
- Ah ! Comment était donc cette femme ?
- Rude, sûre d'elle et elle savait me regarder droit dans les yeux sans flancher une seconde. Alors que là, vous avez l'air plus réservée et vous osez à peine me regarder.
- Cela vous déplaît-il ?
- Non. Vous me faîtes juste penser à une gamine comme ça, lâche-t-il.
Bien que je perçois une pointe de plaisanterie dans sa voix, je ne peux m'empêcher d'être vexée par son affirmation. Mais je préfère l'ignorer. Je pose la tête contre la paroi du bassin en fermant les yeux pour laisse l'eau me détendre. Un hoquètement de surprise m'échappe lorsque je sens un souffle à la base de mon cou puis des lèvres.
- Une gamine qui à grandement besoin de sexe, il chuchote tout près de mon oreille droite.
Mes yeux s'ouvrent d'eux-mêmes, mais ma tête ne bouge pas de sa position. Je sais bien que je ne devrais pas le laisser me parler ni même me toucher ainsi, mais pourtant, aucun mot de protestation ne franchit mes lèvres.
Rapidement, une ligne de baisers naît le long de ma gorge jusqu'à mon menton. Émilien m'incite ensuite à redresser la tête puis joint nos fronts les yeux baisser sur mes lèvres. Il caresse chacune d'elles du bout du pouce et des lèvres sans jamais les capturer comme s'il attendait mon approbation pour le faire, tandis que mon corps tremble presque sous l'impatience de pouvoir enfin sentir la chaleur de sa langue caressé la mienne.
- Est-ce la peur de poser les lèvres sur celles d'une gamine qui vous fait autant hésiter ? Je susurre frustré.
Il ne se fait pas attendre plus longtemps. Sa bouche s'écrase sur la mienne dans un mouvement rude et doux à la fois tandis que ses mains se font subitement plus hasardeuses passant de mon cou à ma poitrine puis de ma taille à mes fesses. Alors que ses lèvres descendent me dévorer le cou, j'essais de retrouver la raison en le repoussant sans grande volonté.
- Ne résistez pas, il me dis d'une voix presque autoritaire. Nous savons tous les deux que vous en avez autant envie que moi.
- Je ... Je ne suis pas comme ça, je ne fais pas ce genre de chose en dehors d'une relation, Je tente de me justifier sans trop savoir pourquoi.
Il prend mon visage en coupe dans ses paumes et m'oblige à le fixer droit dans les yeux. Ses mains descendent ensuite sur sa chemise maintenant trempée que je porte pour la déboutonner.
- Comme on le dit, il y a une première pour tout.
Ses lèvres reviennent vite à la charge suite à cette phrase emprisonnant ma bouche dans un baiser fougueux.
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Salut! la forme?
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