Sauvé par l'amour de TBS (terminé)

détruite

Thomas est parti depuis un peu moins d'une heure quand j'entends la porte d'entrée s'ouvrir. Je laisse mes devoirs que j'étais en train de faire et descends pour dire bonjour à ma mère. J'aimerais tellement qu'on arrive à s'entendre toutes les deux, parce que ben malgré tout elle m'a manqué pendant ces trois semaines. Ben ouais c'est ma mère quoi... Je descends contente de la retrouver, mais manque de m'évanouir en voyant l'homme qui se tient derrière elle. L'homme qui a volé mon innocence. L'homme qui a brisé mon enfance. L'homme qui m'a détruite. Mon père.

Nina : Papa ?

Papa : Salut Nina ! Comme tu le vois je suis sortie de taule, et ta mère m'a laissé une chance. On va pouvoir redevenir une famille !

Mon sang se glace dans mes veines, et je pars en courant dans ma chambre. Ma mère qui est déjà à moitié défoncée s'est affalée sur le canapé pendant le discours de mon père. Je ferme ma porte et tire mon bureau derrière celle-ci en espérant la bloquer, même si je sais que c'est inutile. J'essaie d'appeler Thomas, mais il ne répond pas donc je tente Crystal, mais pas de réponse non plus. Je tourne en rond une dizaine de minutes avant de décider de téléphoner à Dylan. Mais alors que je n'ai pas encore composé le numéro, mon père est derrière ma porte.

**** Attention la scène qui va suivre est très dure****

Mon père pousse la porte brutalement, faisant reculer mon bureau. Je me gèle sur place, je ne suis plus capable d'un seul mouvement. Il entre et je retrouve ce regard sadique qu'il avait quand j'étais petite.

Papa : Tu vas payer toutes ses années en taule que tu m'as fait prendre salope !

Nina : Je t'en supplie ne fais pas ça papa, pitié.

Papa : J'ai de la chance, tu es devenu super bonne, tu me donnes envie de bander.

Nina : Papa je t'en supplie non !

Mon père se jette sur moi et me met un coup de poing dans le ventre qui me fait tomber. Je suis paralyser par la peur et la douleur. 

Papa : Comme quand tu étais petite tu te souviens ? Pas de trace, pas de preuve !

Nina : Je t'en supplie arrête.

Je pleure tout ce que je peux, en essayant de le repousser, mais rien à faire. Il se met à califourchon sur moi, avec une de ses mains, il me tient les poignets au-dessus de la tête et avec l'autre main, il arrache mon chemisier, me laissant en soutiens-gorge devant lui. Je me débats donc il me claque la tête contre le sol et je me retrouve sonné pendant quelques secondes, et il en profite pour déboutonner son pantalon. Comme je suis en jupe, c'est plus facile pour lui, il se contente de la soulever un peu. Tout en tenant toujours mes poignets au niveau de mon ventre, il m'enlève mon shorty.

Papa : Putain tu es bonne ma fille.

Nina: Arrête, lâche moi, je t'en prie lâche moi.

Mon père rigole et moi je pleure encore plus. Avec ses jambes il me force à écarter les miennes et avec sa main libre il libère son pénis. Puis dans une dernière tentative pour me débattre il s'enfonce en moi brutalement. Il entame ses va-et-vient fortement sans me ménager. Je suis là à hurler de douleurs en dessous de lui, et lui, il prend son pied pendant plusieurs longues et interminables minutes. Il va même jusqu'à jouir au moment où il se vide en moi. Puis après un dernier regard il me lâche et se dirige vers la sortie de ma chambre.

Papa : Ne crois pas que c'est fini, c'était que le début.

**** Fin de la scène****

Je n'ose pas bouger, je suis détruite une nouvelle fois. Je me sens sale, je me change me met en jogging avec un maillot que Thomas m'avait passé chez lui un soir de pluie et me met dans mon lit. Le lendemain je n'ai pas du tout dormi, j'avais tellement peur que mon père ne vienne recommencer que je suis resté éveillé. Je me lève prend une douche m'habille sans même me sécher les cheveux et part. J'ai besoin de marché. Je ne vais pas en cours. Dans la matinée, je me rends compte que mes pas mon conduit au lycée, mon père aillant pris mon portable je n'ai pas pu rappeler Thomas et là j'ai vraiment besoin de lui.