L'amour c'est trop cool!

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- Je ne te suis plus du tout là ! Ma mère ? Je n'ai pas eu de mère ! Adrian ! J'ai été crée génétiquement, c'est pour ça que je suis royale ! Et toi aussi ! Nous n'avons pas de parents ! Ton père, ce n'est pas celui que tu penses !

J'éclate en pleurs... J'ai tout appris il n'y a pas longtemps, environ il y a 3 jours. J'ai entendu un appel téléphonique entre la personne qui sert de père à Adrian, dans la rue. Alors je l'ai suivi et j'ai tout écouté. Par chance, il était en haut-parleur. Dois-je le dire à Adrian ? Hum... Pas maintenant. Il se penche vers moi, et m'embrasse. Je lui réponds et on ne s'arrête pas. On est toujours sur le terrain de la meute. Je me sépare en première de lui, et il me dit :

- Mary, je n'étais pas au courant de tout cela. Viens, on va chez moi, mais sur le terrain de la meute.

On se lève et je le suis. On arrive devant une belle maison, blanche de façade et noire sur toutes les autres faces.

- Elle est jolie ta maison ! Je m'exclame.

- Oui, je sais, merci. C'est moi qui ai fait les plans. On entre ?

- Oui, avec plaisir.

- A toi l'honneur, mon amour.

J'entre donc en première, et je vois un escalier sur ma droite, un couloir qui mène à plusieurs pièces et à ma gauche, un autre couloir qui mène encore à d'autres pièces.

- Elle est grande !

- Oui, viens, on va tout en haut, dans ma chambre.

On monte trois étages, et on arrive dans une grande pièce.

- C'est ta chambre?

- Oui, c'est ma chambre. Tu viens?

Il se couche sur le lit et m'invite à venir le rejoindre... Je m'exécute, et je lui fais un câlin. Il veut m(embrasser, mais je ne suis pas d'accord. Je ne suis pas d'humeur.

- Pas maintenant, Adrian. Laisse-moi juste te faire un câlin. Je ne suis pas d'humeur.

- Pourquoi, mon amour? Dis-moi ce qui ne va pas.

- ...

- Tu ne veux pas me répondre, c'est ça?

- Ce n'est pas que je ne veux pas te répondre, mais je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée en fait de se marier.

- Pourquoi, mon amour? Je t'aime!

Je tombe sous le charme de ses paroles. Je décide quand même de l'embrasser. Il répond à mon baiser, et je me couche sur lui. J'enlève ma robe avec son aide, puisqu'il y a une fermeture éclair, et je lui déboutonne sa chemise, je lui enlève et je la jette par terre. Je défais son pantalon, sans rien voir, puisque je suis trop occupée à l'embrasser. Il m'aide à le défaire, et on finit en sous-vêtements.

- Attends, il faut que j'aille dans la salle de bain deux minutes, je reviens vite, me dit-il.

Je ne veux pas, alors je le retiens par le bras, et je lui dit:

- Non, pas cette fois. Pas de préservatif mon amour.

Il se recouche, mais sur moi cette fois. Je sens en moi que ça recommence. Je jouis... Il me laisse faire, crier autant que je veux, il est heureux, il me comble de bonheur.

- Mon... Amour! Oh oui! Tu ne sais pas quel bien fou tu me fais! Oh continue! Oui!

On entend du bruit en bas, malgré mes jouissements. Il m'embrasse pour me faire taire, comme la première fois... Sauf que cette fois, c'est plus sensuel, je sens qu'il n'a pas peur d'essayer d'aller loin, et il me fait du bien.

- Adrian?? Je peux monter? demande une voix.

Il ne peut pas répondre puisqu'il m'embrasse et qu'il est en plein dans l'action. Si il me lâche, je jouis, et la personne qui l'appelle entendra ce qu'il fait. Bon après, ce serai bien, parce que comme ça, cette personne nous laissera tranquille, mais d'un autre côté, si c'est urgent...

- Adrian, arrête, arrête, je t'en supplie. 

- Ok.

Il est satisfait je crois, mais moi, je le suis plus que lui.

- Tu m'as fait un bien fou, cet aprem, mon chéri.

- De rien, mon amour.

Je t'ai toujours aiméeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant