Chapitre 10

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Juicy Club

Avery

— C'est moi que tu regardes, pas un de ces types barges que tu vas rejoindre en pleine nuit pour te satisfaire. Je ne suis pas n'importe qui Trish, et je ne compte pas non plus te traiter comme tel. On se comprend ?

Je n'ai jamais vue un truc pareil bordel ! C'est à croire qu'elle voulait me louanger la bite il n'y a pas deux minutes. Mais c'est plus que ça, on dirait vraiment qu'elle a mal de ne pas jouir. Elle pleure tout en se trémoussant et si j'étais un être humain normalement constitué, je foutrais le camp, mais que voulez-vous ? Je suis un débile. Cette fille a besoin d'un bon coup de bite, alors je vais lui en donner un.

Bon, façon de parler parce que dans son état je n'ai pas envie de la forcer. Enfin, forcer est aussi un grand mot car ses yeux me hurlent de la prendre sauvagement tandis que mini Tom tape des mains comme un imbécil.

— On se comprend ou pas ? je lui répète en glissant une main derrière sa nuque, parce que c'est certain que je vais lui donner ce qu'elle veut, mais pas à n'importe quel prix. On ne me prend pas pour un objet, ni pour un con.

— Ouais.

— Putain que t'es belle ! Je vais te rassasier moi, tu vas voir.

Je ne lui ai pas dit pour être galant, car elle l'est vraiment. Trish possède un grain de peau satiné doté d'une couleur parfaitement bronzée, en santé. Elle est douce comme la soie, en plus d'être ferme. J'en ai baiser des filles dans ma vie, et je peux dire que Trish possède un corps dans les dix, ceux que j'appelle affectueusement les petites bombes. Toutefois, elle, c'est ma biche, ce surnom lui va beaucoup mieux et elle est la seule à l'obtenir jusqu'à présent. Une première pour moi.

Je me redresse, puis je lui enlève ses bottes de putes. Je déteste ce genre de chaussure. Comme si les filles nues n'étaient pas assez belles sans marcher sur des podiums. Mais c'est le code vestimentaire dans ce genre d'endroit. Une fois retirées, je la prends dans mes bras et vais l'assoir sur le fauteuil ou je devais moi-même prendre place pour apprécier le spectacle. Putain que je suis un sacré veinard au fond, car je vais gouter la Belzébuth. Si on me l'avait dit ce matin j'aurais ris comme un malade ! Sauf que là je n'ai pas du tout envie de rire.
Sans aucune pudeur, Trish écarte les jambes et me fou sous le visage son sexe, son intimité, tout quoi ! C'est assez rare de voir une fille faire ce genre de truc. Encore un rappelle qu'elle n'est pas comme les autres.

— Avery, souffle-t-elle en passant une main sur sa chatte, main que je retire doucement avant de me placer entre ses jambes.

— Je suis là. T'es prêtes à t'amuser joli cul ?

— Merde, oui !

J'éclate de rire devant son empressement, puis je souffle un coup parce que je sens que cette nana va être dure à combler. C'est le genre qui sait ce qu'elle veut, sait ce qu'elle aime et n'a pas peur de le quémander. Je dois être au top, ma réputation en dépend.

Je commence par l'embrasser à l'intérieur de la cuisse, puis je passe à l'autre. Mes mains quant à elles lui saisissent les hanches afin de la tenir en place tellement elle veut que je la dévore. Ce que je fini par faire après assez de torture. Je plonge ma langue en elle et je la fais gémir, ce qui me rend si dur que ma queue étouffe dans mon jean. Trish a une de ces réceptivités face à ma langue, un truc de fou. Sans parler de son goût, de son odeur féminine qui me rend assoiffé comme si je venais de traverser le désert.

— Plus vite Avery, je veux que tu m'avales !

— Putain ! Je vais te croquer si tu me cherches !

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