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Ma grande soeur m'a offert un repas dans un restaurant gastronomique haut de gamme.
J'habite dans un belle appartement en plein coeur de Paris.
Dans le XVI arrondissement pour être précis.
J'ai eu cette demeure en héritage à la mort de ma grand mère.
Pour ma part je travail en temps qu'avocate dans l'entreprise familiale encore une fois.

Enfin bon.
Je prend donc mon offre au restaurant et me dirige vers l'adresse.

J'arrive devant le bâtiment.
Luxueu.

On m'installe comme une reine.
Sa a l'air d'être un restaurant assez sélect.

Mais je ne regarde pas vraiment le monde alentour à vrai dire.
Je suis plutôt plongé dans les innombrable texto de mon copain.
Enfin mon ex copain.
Thomas.
Il l'a trompé il y a un peu moin d'un mois. Et avec mon fort caractère. Même très fort caractère, il ne fallait pas s'attendre à se que je me comporte comme la sainte Marie Joseph vierge.

Mais visiblement le garçon et du genre tenace.
Après 3 ans de relation j'avoue que sa pique quand même mais y a pas écrit bouffon sur mon front.
Je coupe la conversation encore et encore mais il revient à la charge.

Le problème en faire c'est qu'une partie de mes affaires d'avocat son partagé avec lui. C'était mon collaborateur.
Et il joue sur ça pour ne pas le laisser le choix.

Il m'insupporte.

Je finis pas tout de même poser mon téléphone pour manger le menu qu'on m'amène.
J'aime beaucoup.
Mais bon sa reste du gastronomique... autrement dit une assiette un peu trop vide à mon goût.

Je mange assez furax à cause des messages incessant de Thomas.

Il fait des avances, des excuses, parle du boulot, blablabla.

On m'apporte le dessert.

Délicieux. Rien à redire.

Je deverouille mon téléphone.
"De : Thomas.
Tu ne semble pas disposais à faire des efforts. Dans de cas je pense qu'on va laisser tombé l'affaire Stanley"

QUOI ?!
C'est ma plus grosse affaires du moment.
On peut gagner gros.
Mon père compte sur moi.
Si je n'est pas Thomas dans la poche pour ce coups ci je suis morte.

Mais évidemment se n'est pas le côté sage et réfléchis qui réagit en premier.
Non non.

Je prend mon téléphone avec rage et appelle monsieur.

Il répond rapidement.
J'essais d'être le plus discrète possible.
Heureusement que je suis en coin de terrasse, assez isolée parce que je commence vraiment à m'énerver au téléphone.
Sa voix amusé de la situation à l'autre bou du file me tend encore plus.

Je crois que quelques insultes sortent toutes seul.
Mais je préfère envoyais des petits (gros) pique qui font mal.

Mais il m'énerve tellement !
Arrrrr !

Je raccroche balance mon téléphone donne mon ticket cadeau et pars rapidement de se restaurant à la recherche d'apaisement pour mon esprit qui vient de s'emballer.

Calme. Calme. Calme.

Sa se répète en boucle mais sa ne s'effectue pas.

Je marche dans les rues de la nuit éclairée par tous un tas de néon et lampadaires.

Je finis par rentrer chez moi. Je pars faire couler un bon bain.
Rien de mieu pour oublier.
J'allume l'eau chaude et fait diffuser des huiles essentielles.

Puis je me dirige vers la fenêtre du salon pour attendre que le bain se remplissent.

Je regarde la tour effeil.
Il y a un très bon point de vue ici.
Cette appartement coûte vraiment bonbon.

Un simple téléphoneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant