__Point de vue d’Harry__
Je reste devant la fenêtre la regardant, elle était devant la porte attendant ce con, quand il arrive elle monte avec lui et le serre par la taille et il l’a prend, loin d’ici, loin de moi.
« Tu n’as pas essayé la comprendre, Harry. Contrairement à lui… » Me dit Zayn.
« Va te faire foutre, Zayn ! » Dis-je en frappant le mur.
Je voulais tuer Zayn, parce qu’il avait raison. Je prends ma jacket, les clefs de la voiture et je sors de la villa. Je me dirige vers le bar le plus proche, je prends une chaise et commande deux verres à la fois, je termine mon premier et le remplace par le deuxième verre, à peine j’ai bu la moitié du verre, j’entends une voix féminine assez familière à mon gout avec le mélange d’alcool qui commence déjà à prendre le contrôle.
« Tu devrais ralentir avec l'alcool », je repère avec le coin de mes yeux des cheveux blonds. «Tu sais très bien où tu vas terminer la soirée. » Me dit Kathy en secouant la tête.
« C’est un moyen d’assurance », lui dis-je.
« J’ai l’impression que le vieux Harry revient. », dit-elle en souriant et en fait je peux vous confirmer que c’est le sourire le plus hypocrite que je n’avais jamais vu.
« Le bon vieux temps, te manque, j’imagine ? » Je termine mon verre et demande un autre.
« Je prends ce silence comme un ‘oui’ ? »
« Tu me gonfles. »
« C’est le but. » Elle prend une gorgée de mon verre, et je lui lance un regard noir. « Tu n’as pas changé. », me dit-elle.
« Le devrais-je ? »
« Peut-être. Plus de sex dans ta vie ? »
Pute. Pute. Pute.
« Et ça te fais quoi, toi ? Ma bite entrain d’enfoncer dedans toi, te manque ? »
« Ma langue enroulée autour de toi, te manque ? »
« Non. »
« Toujours le même Styles. Je n’ai pas menti. »
« Ferme ta chatte. »
« Ça te manque ? Pas vrai ? »
« Quoi ? »
« Ne fais pas semblant d’être sourd. »
« Qu’est-ce que tu fais ici ? Je croyais que ne t’aimais pas ce bar ? »
« Un rendez-vous. »
« Avec qui ? »
« Une fille. »
« Quoi ? T’es devenue lesbienne ? »
« Pas forcément, je veux changer de routine, un peu. »
« T’en as marre des bites, ou quoi ? » Dis-je en rigolant.
« Je peux dire ça parce que j'en ai rien à foutre de vos pauvres bites de branleurs et que j'en ai pris d'autres dans le ventre et que je les emmerde. C'est comme une voiture que tu gares dans une cité, tu ne laisses pas des trucs de valeur à l'intérieur parce que tu ne peux pas empêcher qu'elle soit forcée. Ma chatte, je ne peux pas empêcher les connards d'y rentrer et j'y ai rien laissé de précieux. Tu vois le rapport ? »
J’ai reçu ton message Kathy, je lui fait un doigt d’honneur,
« Fourre-le là où je pense. » Me dis Kathy.