[ Ce chapitre contient des passages Lemon *(scène décrivant un rapport sexuel explicite). Mais si il vous choque ou vous indispose : Sachez que je ne suis pas responsable de ce que vous lisez, donc ne venez pas vous plaignez après .. Par contre ce chapitre est très important ! ]
__PDV EXTERNE__
Il prend son sac en cuir qui était posé sur le sol, la prend par la main et ils sortent des back stages. On se dirige vers sa voiture, la Range Rover, les paparazzis étaient au rendez-vous. À peine ils montèrent dans le véhicule, qu’ils se faisaient bombarder de tous les côtés. Harry demanda à la jeune charmante fille de baisser sa tête si elle ne veut pas être prises en photos et ne pas avoir des problèmes, elle accepta alors. Arrivée finalement à l’hôtel et Léna sortit du véhicule étant aidée d’Harry, et ce fut sans surprise que tous les photographes se jetèrent sur le couple. La brune avança rapidement jusque l'entrée laissant son petit copain en leur compagnie pour faire les photos. Il posait tel un mannequin pour un magazine, c'était vraiment amusant. Mais le jeune bouclet les lâche pour rejoindre sa petite copine secrète.
Le Corinthia Hôtel London mêlait avec élégance grandeur traditionnelle et fraîcheur moderne, cet établissement de luxe était idéalement fait pour eux. Ils se dirigent alors vers le restaurant Massimo pour diner.
__Fin du PDV__
Léna : Alors, qu’est-ce que tu me gardes comme surprise ?
Harry : Tu verras.
Léna : Rooh, je n’aime pas ça ! Hein, dis-moi s’il te plait !
Harry : Non, non, même pas dans tes rêves mon amour.
Léna : Pff !
Harry : Tu vas adorer, je te promets.
Léna : Je le sais, chéri. Mais je veux savoir !
Harry : *Rire* Ca se voit que t’es pressée hein !
Léna : Oh oui !
Harry : Bah allez, viens, je te montre ta surprise !
Il se lève et prends ma main, malgré le fait que le dîner était délicieux, on a préféré se retrouver seuls. Il me prend la main, nous nous dirigeons vers cette grande dame de fer qui apparemment me réserve quelque chose que j'ignore. Nous y montons. Harry pose un regard indéchiffrable sur moi. Oh, il est tellement magnifique, ses cheveux en bataille, son chandail blanc et son pantalon noir serré. Et soudain, c'est là, qui sort de nulle part, cette sensation. « Oh mon Dieu » l'envie, le désir, l'électricité. Une sensation qui, si elle était perceptible, se matérialiserait en une aura d'un bleu intense entre et autour de nous ; c'est tellement fort. Il entrouvre les lèvres en me regardant.
Harry : Tu sens ça ? souffle-t-il.
Léna : Oui.
Harry : Oh, Léna.
Léna : Mmm, presser Styles ?
Il m'attrape en grognant, enroulant ses bras autour de moi, une main sur ma nuque, rejetant ma tête en arrière alors que ses lèvres trouvent les miennes. Mes doigts jouent dans ses cheveux et caressent sa joue tandis qu'il me repousse contre la paroi de la cabine.
Harry : Tu m’as tellement manqué. * souffle-t-il tout contre ma bouche.
La passion et le désespoir de son baiser font écho aux miens. Le désir explose dans mon corps, toute la tension de la journée cherchant une sortie, se pressant contre lui, en attendant plus. Nous ne sommes que langues et souffle et mains et caresses et sensations douces, si douces. Sa main est sur ma hanche et, brusquement, il remonte ma jupe, ses doigts effleurent mes cuisses. Il gémit sous le coup d'une stupeur appréciatrice pendant que ses pouces frôlent la chair au-dessus de la soie.
