Harry : Je t’ai ramené ici pour te prouver que t’es la seule personne qui envahit mon cœur, je cru que je pouvais t’oublier mais c’était qu’un cauchemar qui me terrifiait chaque nuit, je t’ai ramené à cette place, enfin, je veux dire, notre place, pour te montrer à quel point je t'aime et que tu me manques, pour te faire réaliser que tu es la seule qui compte pour moi, je ne veux pas te laisser partir car je t'aime plus que tout.
Lena : Si je te manque, tu n'allais pas coucher avec cette pute.
Harry : Je n'ai pas pu résister aux tentations de Kathy. Je suis désolé.
Lena : Bah, bien sur, que tu ne pourras pas, parce que t'es juste un putain de salaud de merde.
Il se rapprocha encore une fois de moi en prenant mon poignet d'une façon agressive et me gifle.
Lena : Qu-quoi ? ... Non mais lâche-moi tu me fais mal putain. Lache-moi.
Harry : Je ... je suis désolé Lena, je n'ai pas pu me contrôler. Désolé, tu sais je t'aime et je ne pourrai jamais te faire du mal, je suis désolé. Pardonne-moi je t'en supplie.
Lena : C'est trop tard Harry, ramène-moi immédiatement!! Où je rentrerai seule.
Harry : Non, non, tu ne peux pas le faire.
Lena : Si, je peux le faire Harry, j'ai changé. Je ne serai plus la « Lena » que tu connaisse, tu verras bien.
Harry : Non, s'il te plait, ne me fais pas ça, tu sais que je t'aime et je ne pourrai point supporter ton absence.
Lena : Non mais putain d'où tu piges ? RAMÈNE-MOI TOUT DE SUITE A LA MAISON. *Criai-je de toutes mes forces.
Harry : Arrête, s'il te plait! J'ai changé.
Lena : Ah ouais. T'es passé du stade d'enfoiré à connard, c'est ça?
Harry : Arrête.
Lena : Non toi arrête. Arrête avec tes promesses, tes belles paroles, qui, au final, ne veulent strictement rien dire.
Harry : Je t'en supplie, reviens. Reviens vers moi et terminons ce qu'on a commencé. Tu me manques à m'en torde les tripes. J'ai besoin de toi. Ne pars pas. *Dit-il laissant une larme s'écouler de son œil.
Lena : Me tromper, me crier dessus, me faire souffrir, me gifler ; je ne peux pardonner toutes ces choses. Je lâche tout en ce moment Edward. Alors fou le camp et ne me touche plus. Je ne veux plus te revoir. Je ne veux plus de toi Harry. T'as compris ? Tu m'as appris à t'aimer alors aide-moi à t'oublier.
Harry : ...
Lena : T'es toujours là, dans mes pensées. Putain aide moi s'il te plait, aide moi à t'oublier, ou je vais finir par en crever.
Je me dirige vers la voiture en courant, ouvre la porte, y entre et verrouille toutes les portes, dès que je réalise ce qui vient de se produire, je commençai à s'exploser, à pleurer tel un nouveau né, je ne pu faire taire cette douleur qui brûlait, qui détruisait chaque partie de mon cœur, ainsi mon corps, je ne peux pas le haïr, car je l'ai aimée beaucoup trop pour arriver au point de le détester. Parfois, il vaut mieux ne pas croire en ces beaux rêves qui nous remplissent la tête et l'esprit. On peut vite s'y attacher et encore plus vite en souffrir... Aimer quelqu'un peut être une grande douleur. Mais c'est plus fort que moi, je ne peux pas m'éloigner de lui. Je l'aimais. Je l'aimais d'un amour aussi intense que l'explosion de l'univers. Aussi éternel que l'assèchement des océans. Même si mon âme doit être réduite en cendres. Je l'aime. Je l'aime de toute mon âme. Je le vis s'approcher de la voiture, les larmes aux yeux en courant.