The noble: Suicidal *hopekook*

30*

Externe, dans un endroit perdu aux alentours de Séoul.

-Bien, nous pouvons donc commencer la réunion.

-Nous n'attendons pas votre fils madame Jeon ?

Un blanc. Puis elle reprend, sans même ne daigner répondre à l'homme qui pourtant, à le même statut qu'elle.

-La réunion concerne donc les graciés choisis par les membres du conseil et leurs familles.

Elle jette un rapide coup d'oeil à la liste. Puis aux membres du conseil, une vingtaine de noble au sang pur et à la richesse sans égale se trouvent devant elle, habillés tous de façon très chic et élégant.

-Il semblerait qu'il n'y en ait qu'une dizaine ?

-Oui madame, répond un autre.

-Nous avons tous rempli, je pense, ici, toutes les conditions. Dit un autre.

-Je vois et vous avez tous choisi la date pour la transformation de votre hôte ?

Le commencement de la réunion se fesait dans le calme, enfin jusqu'à l'apparition d'un élément perturbateur.

Enfin, d'après les autres.

La porte de la salle s'ouvrit dans un fraqua assourdissant qui a valu l'attention de tous.

-Mère !

La dite mère souffla un grand coup, se demandant quand aller-t'il finalement arriver, elle s'y était préparée.

-Mon fils...

-Où est-il ! Dit il en s'approchant à grande enjamber.

-Mais- qui donc, répond-elle un sourire forcé aux lèvres, essayant de rattraper le moral de tous.

-Ne fais pas l'idiote !

Hoseok avait la rage aux yeux, maintenant plis de 5 heures qu'il cherchait son aimé.

-Voyons, tu me fais honte, assis toi et calm-

-Ferme-là ! Il tapa rageusement du poing sur la table en verre qui se fissura jusqu'au sol.

Je ne me répeterais pas.

Ses yeux étaient rouges de colère, alors que les veines sur son bras pulser à ne plus tenir.

-Je l'ai choisi, il est un gracié !

-Pfu un gracié ? Ne raconte pas n'importe quoi ! La femme perdait patience devant ses convives, qui eux semblait interloquée face à cette mascarade.

Tu ne comprends donc pas ?

Le fils fronça les sourcils attendant des explications.

-Il sait tout, il savait pour toi, il t'a berné pour qu'il puisse vivre aussi, il ne t'aimait pas.

-C'est faux.

Un silence s'abat jusqu'à la parole d'un autre.

-Parlez-vous d'un humain ? Dit l'homme de première catégorie.

La mère avait un avantage, la parole des autres.

Et elle allait l'utiliser.

-Justement. Ha c'est idiot, mais mon fils semble avoir trouvé sa perle... Un humain ! Elle le pointa du doigt comme un criminel.

Celui-ci recula d'un pas choqué de l'action de sa propre mère.

-Co-comment peux-tu...