L'obscur milliardaire (En correction )

Partie 8

-j'ai un truc à te demander.

J'avais peur de ce qu'il allait me dire et j'étais un peu surprise parce qu'il m'avait tutoyé pour la première fois.

-oui...monsieur.

Il inspira.

-on va aller tout de suite chez moi.

-Chez vous ? comment ça chez vous ?

-ma mère veut me voir.

Sa mère ? J'étais complètement déstabilisée et larguée par la tournure des événements.

-votre mère? Monsieur...je...suis bien ici....suis-je obligé de venir avec vous?

-bien sur que vous êtes obligé! je dois encore vous rappelez notre contrat.

-non monsieur c'est bon.

-bien allons-y mon chauffeur va venir nous chercher.

J'étais plus que perdue j'aurais aimé rester ici profiter de ce moment et de ce beau paysage mais visiblement ça ne va pas être possible Alexander semblait réfléchir sur quelque chose.

Apres quelques minutes d'attente le chauffeur est venu nous chercher on est passé à l'hôtel pour récupérer nos affaires ensuite je crois qu'Alexander avait parler de se rendre à Sicile j'en croyais toujours pas mes oreilles on a dû prendre le jet pour y aller y'avais un silence pesant dans l'avion il me regardait même pas il semblait plutôt plonger dans ses pensées puis à un moment nos regards se sont croisés  et bizarrement je n'avais pas détourné le mien je le regardais droit dans les yeux et lui faisait de même à cet instant mon coeur battait à la chamade puis subitement il prit la parole.

-Vous allez bien?

Sa question me fit presque sursauter.

-O...Oui je vais bien monsieur Alexander.

Puis c'était le silence absolu je me contentais de  regarder le paysage à travers la vitrine de l'avion.

Apres moins d'une heure de vol on était à Sicile c'était tellement magnifique.

Une limousine est venue nous cherché j'étais obnubilé par le paysage de cette ville j'avais même du mal à le cacher.

-vous aimez ma ville natale?

La voix d'Alexander me fit sortir de mes pensées.

-c'est magnifique.

-oui je sais.

Il avait le sourire aux lèvres on voyait bien qu'il était heureux d'être né  ici on était enfin arrivé devant une sorte de manoir on aurait dit un château encore plus impressionnant que ce que j'avais vu à Los Angeles lorsqu'on est descendu le voir j'en croyais pas mes yeux.

-voilà mademoiselle robbers voici ma maison d'enfance.

Moi qui ai grandi en banlieue dans des conditions misérables j'étais complètement abasourdie.

-venez mademoiselle robbers.

Je mêla ma main à la sienne puis on entra dans le manoir c'était moins moderne que celui de Los angles néanmoins c'était très beau.

Ensuite j'entendis une voix derrière nous on se retourna puis j'aperçus une dame elle était très belle et très classe elle semblait heureuse et parlait en Italien puis elle vint faire un câlin à Alexander qui ne m'avait pas lâché pour autant et à cet instant j'ai compris que cette dame était peut être la fameuse mère d'Alexander.
Puis ils se séparèrent ensuite Alexander pris directement la parole.