Diane Malefoy [TERMINÉE]

La Coupe du Monde de Quidditch

Bon, je retire ce que j'ai dit dans le dernier chapitre publié de "De deux mondes différents", je peux pas attendre une semaine de plus 😁 ! Je vous laisse découvrir ma nouvelle histoire 🤗 !

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Je suis Diane Malefoy, sœur jumelle du célèbre Drago Malefoy. J'ai toujours détesté mon père, surtout à cause des mauvais traitements qu'il nous infligeait, à Drago et moi. C'est pour cela qu'avant de recevoir ma lettre pour Poudlard, j'ai supplié ma mère de m'inscrire à Beauxbâtons. Drago m'en a énormément voulu de l'avoir abandonné mais il a fini par comprendre que c'était mieux pour moi de partir. Il ne le sait pas encore, mais cette année, je vais faire mes études à Poudlard, avec lui.

Ce matin, ma mère me réveilla à l'aube. Une surprise de mon père, m'a-t-elle dit. Étonnant, père n'est pas vraiment du genre à offrir des présents, et encore moins à ses enfants, qu'il méprise. Une fois habillée, je descendis déjeuner, saluant père et Drago au passage.

" Au fait, père, pouvez-vous nous dire où nous nous rendons ? lui demandais-je.
- Diane Narcissa Malefoy, combien de fois t'ai-je répété de ne pas parler à table, sauf si quelqu'un t'adresse la parole ?
-Veuillez m'excuser.
- Pour répondre à ta question, nous allons à la Coupe du Monde de Quidditch. M. Fudge m'a invité et votre mère m'a convaincu de vous y emmener. Maintenant, si tu as fini de manger, monte mettre ta plus jolie robe, je ne veux pas que tu me rendes ridicule devant toutes les personnes les plus importantes du Ministère en portant ces haillons ", me dit-il sans même un regard pour moi.

Humiliée, je montai dans ma chambre me changer. Je fus rejoint par ma mère. Elle entra, un air désolé sur le visage.

" Ma chérie, ne croit pas qu'il ait fait ça pour t'humilier.
- Non, c'est plutôt clair qu'il ne m'aime pas et ne m'a jamais aimé, répliquais-je.
- Ne dis pas ça, s'écria-t-elle, il a juste une manière différente de vous le montrer.
- Il doit nous aimer plus que tout au monde pour nous torturer, nous enfermer dans nos chambres pendant trois jours sans manger et pour nous frapper au moindre faux pas. "

Elle alla répliquer quand mon père l'appela.

" Va, ton mari t'appelle. Tu ne devrais pas le faire attendre, ça pourrait retomber sur moi. "

Je la mise à la porte et m'allongeai sur mon lit. Je m'en voulais d'avoir parlé ainsi à ma mère, mais elle sous-estimait la cruauté de mon père. Jamais je ne l'avais vu lever la main sur elle, pas une seule fois. Alors que Drago et moi avions le dos remplit de cicatrices. Je me changeai et redescendis voir mon jumeau. Père posa la main sur l'épaule de mon frère et ce dernier me prit le bras. Notre père transplana et nous atterrîmes dans une forêt.

" Périmètre de sécurité anti-moldus, ou plutôt anti-vermine ", nous expliqua-t-il.

Il nous mena ensuite à notre tente où nous pûmes poser nos affaires et nous reposer. Quand vint l'heure du match, nous nous dirigeâmes vers les tribunes.

En montant, je remarquai que le regard de Drago et celui de père c'était assombri. Je tournai la tête pour voir la raison de leur mécontentement quand j'aperçus un groupe de personnes majoritairement roux avec une jeune fille et un garçon bruns. Je supposais qu'il s'agissait des Weasley, de Hermione Granger et de Harry Potter. Mon frère m'avait parlé d'eux dans ses lettres, il m'avait confié à quel point il les détestait. Père leur adressa une remarque méchante (pour changer) et menaça Harry. Drago m'avait dit que Harry avait libéré Dobby, notre elfe de maison. J'avais été très déçue car Dobby avait toujours été très gentil avec moi, et moi, je lui rendais la pareille.

Une fois dans la loge du Ministre, père me conduisit à lui afin de me présenter.

" M. Fudge, je voulais vous présenter ma fille, Diane Narcissa Malefoy.
- Je suis ravie de vous rencontrer Monsieur le Ministre, dis-je en m'inclinant, comme me l'avais appris ma mère.
- Moi de même, Miss, me répondit-il avant de s'adresser à mon père, votre fille est très bien élevée, Lucius.
- Il y a intérêt ", dit mon père avant de me pousser vers ma place.

Je m'assis calmement et tourna la tête vers mon jumeau. Voyant qu'il semblait heureux, je me dis que c'était peut-être le bon moment pour lui annoncer la nouvelle.

" Drago ?
- Oui, Diane ?
- J'ai une bonne nouvelle... Je vais étudier à Poudlard pour le reste de ma scolarité !
- Quoi ! s'écria-t-il.
- Ça ne te fais pas plaisir ? demandais-je déçue.
- Tu plaisante ! Je suis trop content !
- Drago ! Calme-toi ! Arrête de te donner en spectacle ! le réprimanda père.
- Veuillez m'excuser ".

Nous ne discutions plus avant le match, de peur de nous attirer les foudres de père. Le match commença et je pariai discrètement avec Drago. J'ai misé 10 gallions sur l'Irlande et lui, sur la Bulgarie. Quand Krum attrapa le Vif d'or, il explosa de joie en tendant la main.

" Minute, regarde le score final," lui dis-je malicieusement.

En effet, Krum avait peut-être attrapé le Vif d'or, mis les Irlandais avait plus de 150 points d'avance. Par conséquent, c'était les Irlandais qui avait gagnés ! Drago me tendit l'argent de mauvaise foi alors que je souriais à pleine dents.

" Tu es maléfique, me lança-t-il.
- Les enfants ! Ne me dites pas que vous avez joué de l'argent ! s'énerva père.
- D'accord, nous ne le dirons pas ", lui répondis-je.

Furieux que je lui réponde de la sorte, il s'avança vers moi, menaçant.

" Nous en reparlerons à la maison jeune fille, fit-il.
- Père, non ! C'est moi qui lui ai proposé ! Punissez moi à sa place, se sacrifia Drago.
- On verra ça plus tard, rejoignez la tente. Immédiatement ! nous ordonna-t-il.

De peur de ce qu'il pourrait nous faire, Drago me prit par la main et m'entraîna jusque dans notre tente. Une fois là-bas, il s'assit sur un fauteuil.

" Qu'est-ce qu'il t'a pris de me défendre ! J'aurais pu me débrouiller toute seule, m'écriais-je.
- Je suis aussi responsable que toi ! Tu ne vas quand même pas m'en vouloir parce que je t'ai aidé quand même ! s'indigna-t-il.
- Tu as raison, je suis désolée. Mais, tu vois, étant donné que j'étais à l'étranger, je ne pouvais pas rentrer toute les vacances. Je me faisais donc punir uniquement pendant les vacances d'été alors que toi, tu pouvais être puni à chaque fois que tu rentrais à la maison. Je suis vraiment désolée de t'avoir abandonné.
- Tu es pardonnée, petite sœur.
- Eh ! Je te signale que nous avons le même âge !
- Il n'empêche que je suis né cinq minutes avant toi, ce qui fait de moi ton grand frère, me dit-il d'un ton supérieur.
-Pfff

Nous allions nous coucher lorsque des cris retentirent dehors. Et le carnage commença.

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Voilà ! Je suis super fière de vous présenter mon travail, j'y ai vraiment mis tout mon cœur alors j'espère sincèrement que ça vous plaira 😊

Bonne lecture 🤗❤