FLAWLESS

Chapitre 17

Des fois je me demande comment les choses sont faites.
C'est vrai, depuis que je suis avec Zac je me sens changée.
Comme libre.

C'est un peu comme si les choses que je n'osait jamais faire avant, je pouvais les faire maintenant. Je suis tellement heureuse de l'avoir.
Avec lui j'ai l'impression d'être quelqu'un d'autre.

En parlant de lui, mon téléphone sonne.

Appel entrant : Baby 😍

Je répond aussitôt.

- hey ma puce ?

- oui ?

- tes où la ?

- dans ma chambre.

- ok, et les autres membres de ta famille ?

- ils se préparent pour le dîner.

- d'accord. T'es affaires sont prête non ?

- ouais.

- je suis au coin de la rue. Je t'attend bébé dépêche toi.

- J'arrive ! Mon lapin.

Je raccroche immédiatement et prend mes affaires.
Heureusement que j'avais préparer mon sac en avance.
J'ouvre doucement la porte et regarde aux alentour, il n'y a personne.

Je descend les escaliers en courant et guette avant de passer dans le hall.
Il n'y a personne ici non plus.
J'avance.

... : je peux savoir où tu vas, toi ?

Et merde ! Je me retourne, c'est Olga.
Elle porte une robe noire et un tablier blanc.

Moi : je sors.

Olga : ton père reçoit quelqu'un aujourd'hui alors s'il te plait, reste et mange avec tout le monde.

Moi : je sors je te dis.

Je m'avance de la porte et tourne la poignée.

Olga : Jenna Lynn Marshall, je te conseille de rester ici immédiatement. Tu n'iras nul part à cette heure.

Moi : qui va m'en empêcher ? Toi ?

J'avais mis ma main sur ma hanche et je l'avais toisé.
Olga était carrément blasée.

Olga : je ne comprend pas, que t'arrive t'il ?

Moi : j'y vais, salut.

Olga : je vais appeler ton père.

Moi : lâche moi putain, t'es pas ma mère.

Je sorti et claqua la porte d'entrée, puis me mît à courir vers le portail.
Je sais que je vais avoir des ennuis mais rien à faire.
J'ai envi d'être avec Zac et personne d'autre.

Je le rejoins dans sa voiture garée à l'angle de la rue.
Je monte, on s'embrasse puis il pose la main sur ma cuisse nue.
Je portais un short en cuir noir taille haute et un haut manche longue noire.
Avec ma paire de talon basket en cuir.

Zac : t'as mis long..

Moi : désolé bébé, mais la gouvernante elle m'a saoulé. Elle s'est prise pour ma mère ou quoi l'autre ?

Zac : quelle salope.

Ça me faisait bizarre, elle est comme ma mère en effet mais bon je dis ça, je ne dis rien. Zac avait raison.