J’étais devant la porte de chez Louis avec mes bagages, si lourde, dans mes bras. C’est Phoebe, sa petite sœur trop mignonne, qui m’a répondu. Après avoir longtemps débattu avec Louis et sa famille, ils ont finalement accepté. Bien sûr que oui mais on n’a pas débattu autant que ça, il m’apprécie particulièrement. Phoebe me saute dans les bras et appelle sa jumelle Daisy. Elles me sautaient tous les deux dessus et pour défense, je les chatouillais. Louis arrivait derrière et les regardait d’un air décourager.
Louis- Les filles, lâchez- là un peu, elle vient juste d’arriver.
Phoebe- Mais là…
Les filles se détachèrent et comme de gentille petite fille de 5 ans, elles partirent. Je les adorais.
Louis s’approchait de moi et m’embrassait longuement. Je l’aimais tellement, tellement. Il me guidait vers notre chambre.
C’était tellement jolie, j’adore cette endroit depuis que j’y suis entré pour la première fois. Les murs blanc était simple comme bonjour mais tagué par Zayn, un artiste extraordinaire. Il y avait plein de couleur et de forme. C’est tellement beau. Les draps et la douillette du lit double sont blancs mais les oreillers sont de couleur différente. C’est peu mais ça donne un style. Pourtant, quelque boite s’entassait dans un coin de la chambre.
Louis- Quand j’aurais 18 ans, on déménagera dans un appartement que j’ai déjà choisi.
Moi- C’est super !
Son anniversaire, c’est le 24 décembre. Enfant de dieu, c’est le cas de le dire.
Il m’embrassa rapidement avant que sa mère ne l’appelle. Pendant ce temps, je m’installais rapidement ; les vêtements dans le tiroir, mes affaires de toilette dans la salle de bain et mes secrets dans ma valise que je glissais sous le lit. Il contenait en autre la photo de mes amis et ma dernière belle photo avec Leah. Par la suite, je suis descendu pour rejoindre les autres de la grande famille. J’y trouvais Charlotte, sa petite sœur de 11 ans et Felicite qui à 9 ans. Elles me font toute un gros câlin. Je m’assis à la table et discutais avec elles quand tout à coup, Louis arriva par derrière et me fit sursauté. Je me retournais brusquement avant qu’il ne m’embrasse.
Moi- Je vais te tuer !
Je lui courus après suivi de ses sœurs qui avaient un fou rire contagieux et nous terminons dehors sous la pluie verglaçante. Il m’embrassa longuement avant de me jeter par terre et de me chatouiller dans la neige qui fondait et la boue gelé qui faisait le même phénomène. C’est Charlotte qui est allé chercher leur mère pour quelle nous y enlève. Je suis allé me lavé et me changer avec un legging noir, un pull bleu foncé et mes vans préféré avant d’aller rejoindre les autre. Nous avons écouté un film avec les filles. Un film comique et romantique. Il était vingt-trois heure trente quand nous nous sommes couchés. J’étais collé contre Louis et il m’embrassa. Il se coucha sur moi et m’embrassait encore. Puis, il s’arrêta.
Louis- On ne peut pas faire ça.
Moi- Totalement d’accord avec toi.
Louis- Bonne nuit bébé.
Moi- Bonne nuit mon amour.
Il m’embrassa et se recoucha à mes côtés. Je me sentais bien et comblé. Un jour, ça arrivera et je serais prête…
Je me réveillais seule dans le lit. Où est Louis ? Moment de panique. Je me levais et le trouvais par terre. Il me semblait étrange. Je me jetais par terre et le secouais. Il ne bougeait pas, Je le secouais de nouveau. Rien. Je lui fis le bouche à bouche et, il se réveilla. Je l’enlaçais longtemps.
Louis- Qu’est-ce qui ce passe bébé.
Moi- Tu t’es évanouis cette nuit, j’ai eu tellement peur en me réveillant. Mais qu’est-ce qui s’est passé ?
Louis- Ce… Ce n’est rien. Ne le dis pas à ma mère.
Moi- Je ne crois pas que ce soit une bonne idée de lui cacher…
Louis- S’il te plait ?
Il avait l’air sérieux et son regard suppliant me fit tomber.
Moi- D’accord.
Nous nous habillons et allons rejoindre les filles. Nous passons la journée avec elles. Louis a aussi invité sa sœur Georgia de 10 ans à venir nous rejoindre. Elle habite chez le père de Louis. Louis adore ses sœurs. Dès qu’il voit Georgia, il la sert dans ses bras.
Cette journée était super et nous avons tout fait pour rendre les filles heureuses. J’en ai presque, et je dis bien presque, oublié l’incident de ce matin.