Holydays: Noah Centineo

Chapitre 25

- Je ne sais pas Noah... Répondis-je dans un soupir.

Sérieusement j'ai vraiment pas la tête à penser à ça maintenant tous ce que je veux c'est de profiter de chaque instant avec lui avant son départ.

- Je veux seulement t'entendre dire que tu vas m'attendre... C'est tout. Murmure t-il.

Bien sûr que je vais l'attendre, c'est le moins que je peux faire pour nous deux, en plus il ne va pas rester là bas pour cinq ans quand même.

- Oui je vais t'attendre. Lui dis-je en souriant.

Il laisse échapper un soupire de soulagement, comme s'il a peur de la réponse que je vais donner.

- Attends Noah ? T'as vraiment cru que...

- Shut... M'ordonne t-il. Et si on profite de nos deux semaines ensemble ?

ça c'est une excellente idée que faire de mieux que d'en profiter aux maximum tant qu'il est là.

Nous terminons et part nous promener à la plage sous la nuit étoilé, je dois dire que c'est le meilleur moment de toute ma vie quand il me prend la main.

***

J'arrive toujours pas a y croire que le grand jour est arrivé, j'ai vraiment essayé de ne pas y penser mais c'est encore plus dur, je suis trop habitué à mon pot de colle que c'est impossible de penser qu'il parte.

- Arrête un peut cette mine désespérer Laura on dirait que ton mari part pour une mission suicidaire là. S'énerve Taylor en me voyant ainsi.

- T'imagine Taylor ? Il sera là bas et nous on va continuer notre vie à New York... Il me manque. Râlé-je sous le regard choqué de Taylor.

- Il est même pas encore partie et toi tu pleure déjà...

Nous sommes interrompu par un Noah tout souriant, son visage se décompose en voyant le mien il s'approche et m'embrasse en essayant de me calmer.

- Tu sais que t'es trop chou là ? Sourit-il.

Je ne sais pas comment il fait mais il arrive toujours à me faire sourire.

- Le chauffeur est arrivé, je vais partir d'accord souviens-toi de ce que je t'ai dis Ok ?

Je hoche la tête en embrassant pour la seconde fois, j'en profite de ce baiser car ça va être long de l'attendre, en effet j'ai décidé de ne pas l'accompagner jusqu'à l'aéroport, je ne veux pas augmenter ma tristesse de le voir partir.

- Je t'aime... Me susurre t-il.

- Je t'aime aussi. Soufflé-je.