Mise au point de votre vie

🍔🍟KFC🍗

Je vais vous raconter une histoire, qui vous prouvera que votre réussite n'a aucun rapport avec votre âge. On peut triompher à tout moment dans la vie, si on accepte de travailler dur sur sa propre personne pour savoir en quoi on excelle et faire de cela notre gain.

C'est l'histoire d'Harland David Sanders, plus connu sur le nom de « Colonel Sander's ». Né le neuf (9) septembre 1890 à Henryville, en Indiana et mort le seize (16) décembre 1980 à Louisville, Kentucky. Sander's à abandonner l'école à 15 ans, perdu son quatrième emploi à 17 ans, il s'est marié à 18 ans et sa fille est née à l'âge de 19 ans. Néanmoins sa femme l'a quitté en emmenant l'enfant avec elle quand il avait vingt (20) ans. À l'âge de 26 ans, il a été renvoyé d'un autre emploi. Il a pris sa retraite avec cent-cinq (105) dollars en poche à soixante-cinq (65) ans, vu sa situation il a voulu se suicider. Mais soudain, il s'est souvenu qu'il y avait une chose qu'il savait faire mieux que quiconque, c'était rôtir. De ce fait, il s'est mis à faire du porte à porte pour vendre son poulet à ses voisins du Kentucky. Souvenez-vous qu'il avait voulu se suicider à soixante-cinq (65) ans, il est devenu millionnaire à quatre-vingt-huit (88) ans, et ceci grâce à son talent, cuisiner.

Comme je l'avais insinuer dans le chapitre précédent, une analyse en toute circonstance est essentielle, alors fessons une analyse de cette petite histoire qui s'avère être magnanime.

Vous avez la chance d'aller à l'école, lui il n'avait pas cette aubaine. Sameul Jhonson avait dit un jour : " Quand un homme sait qu'il doit être pendu dès le lendemain, cela lui remet les idées merveilleusement en place " . Il n'a pas eu tort de déclarer cela, Sanders n'allait pas être pendu certe, mais au moment de passer à l'acte dans son suicide cela lui a remit les idées en place pour savoir qu'il y avait une chose qu'il savait faire mieux que quiconque, cuisiner. Ainsi, à quatre-vingt-huit (88) ans, il a connu la réussite, il était au sommet. À soixante-cinq (65) ans, il a su ce qu'il fallait faire de sa vie. Alors la question qui me brûle les lèvres c'est : " Quand vous dites, que vous êtes jeune, et que vous avez toute la vie devant vous, est-ce que c'est cet âge que vous attendez ? Ou peut-être le suicide ?

Imaginez s'il avait votre opportunité en ce moment, la chance d'apprendre sur des gens qui ont réussis, une bonne éducation, internet, de vrais amis pour l'épauler dans les moments néfastes. Il terminerait ses études à dix-huit (18) ans, tout en sachant que la cuisine c'est son point fort et poursuivrait ses études en art culinaire, et dès quarante et un (41) ans il serait déjà millionnaire.

Une autre hypothèse qui est assez cohérente, dès seize (16) ans il sait que la cuisine c'est son meilleur atout, tout en allant à l'école, il fait du porte à porte après les cours. Je vous garantis qu'à trente-neuf (39) ans, il serait millionnaire, et qu'à quatre-vingt-huit (88) ans, multi-millionaire, qui sait, milliardaire aussi, et ceci avec des diplômes en main. Parce qu'à soixante-cinq (65) ans, il n'avait rien, pas de BACK, pas de diplôme, même pas un emploi. Néanmoins il a battit son empire avec le minimum qu'il avait pour avoir le maximum qu'il y a dans la vie. Sanders c'est dit mieux vaut tard, que jamais. De toute façon, il n'avait rien à perdre à son âge.

Alors, posez-vous ces questions : " Avait-il reçu une éducation telle que vous? / Avait-il Internet pour savoir l'histoire de ceux qui ont réussis pour en faire pareil ?

Il s'est crée sa propre histoire, qui reste et demeure une légende. Au 21ième siècle, vous avez tout les moyens possible de réussir, mais vous vous trouvez trop jeune, vous lambinez. Dites-vous aussi que si le Colonel Sanders avait Facebook, Instagram, ou Twitter pour la promotion de ces poulets, quelle serait l'ampleur de sa fortune ?
Ne venez pas jaser qu'il est né dans un pays développé en qu'Haïti n'est pas similaire. Il n'est pas question de pays, en outre la majeur partie des haïtiens aiment le poulet, il aurait aussi fait fortune en Haïti.

Commencer plus tôt, pour un avenir meilleur. Ce n'est pas parce que vous savez que la fortune de Sanders se repose sur le poulet et que c'est forcément la base de votre réussite. Nous avons toujours tendance à confondre la réussite, des autres à la notre. Pour réussir il faut connaître son potentiel, sachez ce que vous aimez, ce que vous savez faire de mieux et faites de cela votre arme de réussite en s'améliorant chaque jour, en travaillant plus dur.

D'après une analyse que j'ai pu faire la majorité des gens qui réussissent n'ont pas forcément de diplôme ou ne finissent pas leurs études. Ce n'est pas pour autant qu'il faut méjuger l'éducation. Les riches et les pauvres ont un point commun, ils n'ont pas parachever leurs études. Le succès n'est pas le résultat d'une seule grande décision, c'est le résultat de milliers de petites décisions de tous les jours. Leonard de Vinci avait énoncé que : « Les détails font la perfection, néanmoins la perfection n'est pas un détail. »

Votre réussite se base sur les petites décisions que vous allez prendre chaque jour, chaque détail compte, mais votre réussite n'est pas un détail. Négligez de faire à bien les petites choses c'est négliger votre réussite.

Le manque d'action mène au manque de résultat, les deux sont carrelés, plus d'actions égales à plus de résultat. N'oubliez pas que même l'inaction à ses conséquences. Si vous procrastinez et que vous délayez le moment où vous allez enfin passer à l'acte, vous limitez votre succès.

Votre temps est limité, chaque jour gâché à ne rien faire est un jour ou vous auriez profiter des fruits de votre succès. Mais si vous vous bougez maintenant, vous aurez la capacité de vivre à votre plein potentiel, d'écrire votre propre légende et on se souviendra de vous parce que vous êtes la version courte de vos idoles, vous réussirez plus tôt et cela avec un diplôme en main et que votre histoire sera citée des années après votre mort, comme celui d'Harland David Sanders fondateur de KFC ( Kentucky Fried Chicken )