Chapitre VI :

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Vous avez déjà pensé à la mort ? Moi, une fois à la mort de ma mère mais sinon jamais jusqu'à ce jour en tout cas. Aujourd'hui Lyn et moi sommes en danger de mort et je ne sais pas comment faire pour remédier à ça. Comment changer la donne et sortir d'ici vivante ?

Homme : Je sens qu'on va bien s'amuser tous les trois.
Moi : Allez-vous faire foutre enfoiré !
Homme : Attend avant de me dire ce genre de chose. On va attendre que Lynda ce réveille et on va pouvoir commencer.
Moi : Commencer quoi ?
Homme : Le jeu de la vérité bien sûr.
Moi : Le jeu de quoi ?
Homme : Tu comprendras bien assez tôt.

Il se dirige vers la seul porte présente dans la pièce, ce retourne me regarde avec un sourire de psychopathe et sors de la pièce. J'ai envie de pleurer mais je me concentre pour rester calme, il ne faut surtout pas qu'il sache qu'il me fait peur, il faut que je reste forte, mon père et Aaron vont venir me chercher. Cet enfoiré avait envoyé une lettre à nos pères respective, la même lettre qu'il avait envoyé pour toutes ces autres victimes, un mot croisé avec des mots cacher.

Au bout d'un moment je commencer déjà à fatiguer mais je résister pour Lyn. En parlant d'elle, ces yeux commencent à s'ouvrir difficilement.

Moi : Lyn, c'est Ariel.
Lyn : Où sommes-nous ?
Moi : Je ne sais pas vraiment...
Lyn : J'étais chez moi et d'un coup plus rien...
Moi : J'ai ressenti la même chose...
Lyn : Qui nous à enlever ?
Moi : Un ennemi de nos pères... Je ne sais pas si tu as entendu parler de Jack l'éventreur...
Lyn : Jack...

Lyn commence à pleurais, elle était terrifier. Qu'est-ce qui ce passe ?

Moi : Lyn, qu'est-ce qui ce passe ?
Homme : Lynda et moi, on ces déjà rencontrer. N'est-ce pas ?
Lyn : ...
Homme : Tu m'avais manqué tu sais. J'ai pensé à toi tous les jours, je voulais te retrouver.
Moi : Comment vous vous connaissez ?! Qu'est-ce que vous lui avez fait ?!
Homme : Lynda, dit lui.
Lyn : Il... Il a essayé de me tuer il y a six ans... Le même jour où il a tué... Ma mère...
Moi : Lyn...
Homme : Assez parler de ça. Maintenant on va jouer A vérité ou torture. On va commencer par des questions simple, si vous répondez tout ce passeras bien si vous mentez ou si vous ne dîtes rien vous serez torturer.
Moi : Pourquoi vous faites ça ?
Homme : Par ce que c'est drôle. On va commencer par toi. Comment as-tu appris la mort de ta mère ?
Moi : ...

Je pris une grande inspiration et raconte ce qui c'était passer.

Moi : Mon père était au boulot, je me fessais donc garder par une femme le temps que ma mère rentre du boulot... Un soir le téléphone à sonner et j'ai toute suite compris en voyant cette femme se décomposer sur place, on est parti à l'hôpital mais ils n'ont jamais accepté que je la vois... Mon père me la interdit aussi, je n'ai jamais pu lui dire au revoir...
Homme : J'aurais voulu que tu la voies. Comme Lynda à vue sa mère.
Moi : Vous êtes un monstre, Lyn n'aurais jamais dû voir sa mère comme ça, moi la mienne a eu une crise cardiaque elle était encore la même.
Homme : Une crise cardiaque ? Sérieusement ton père n'a pas trouvé mieux ?
Moi : Qu'est-ce que vous voulez dire ?
Homme : Ce n'est pas une crise cardiaque qui à tuer ta mère mais mon œuvre.
Moi : Ce n'est pas vrai ! Vous mentez ! Ma mère est morte d'une crise cardiaque !
Homme : En es-tu sûr ?

Je n'arriver plus à dire quoi que ce soit d'autre, il fallait que je remettre de l'ordre dans ma tête pour ne pas péter un câble.

Homme :A toi. A tu pensais à moi depuis la dernière fois qu'on ces vue ?
Lyn : Non.
Homme : Je te laisse une chance de te rattraper.
Lyn : ... Oui...
Homme : Plus de détail.
Lyn : Je... J'ai fait des cauchemars de vous pendant des années et c'estgrâce à Ariel que ma vie a changé et que j'ai réussis à dormir et vous oubliez.
Homme : C'est excitant ! Ariel j'ai encore une question pour toi.
Moi : Je n'ai pas vraiment le choix...
Homme : Qui est l'homme avec qui tu sors ?
Moi : Je ne sors avec personne...
Homme : Vraiment ? Pourtant je vous ai vu vous embrasser, je voudraisque tu donnes son nom.
Moi : Non.
Homme : Dans ce cas tu vas souffrir.
Lyn : Dit lui, on s'en fou !
Moi : Je ne peux pas. Je suis prête à souffrir.

Je t'aime malgré toutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant