Chapitre IX

246 6 0
                                    

... : Tu es enfin réveiller. J'ai cru que tu étais morte tu m'as fait peur.
Moi : Quoi ? Qu'est-ce qui ce passe ?
... : J'ai cru que tu étais morte putain !
Moi : Mais vous êtes qui ?
... : Ouvre les yeux Ariel.
Moi : Jack l'éventreur ?!

Homme (Jack) : Oui c'est bien moi.
Moi : Où sommes-nous ? Et qu'est-ce qui c'est passer ?
Jack : Nous sommes dans un endroit sûr. Et ta petite famille nous a retrouver mais nous sommes partie avant leur arriver dans la pièce.
Moi : Ils avaient compris...
Jack : Je ne sais pas comment ils ont fait, et ce que tu leurs a dit pour qu'ils comprennent où nous étions, mais oui ils ont compris.
Moi : Et maintenant ?
Jack : Tu vas te lever gentiment et on va t'installer.

J'étais dans un lit avec les mains attacher à des chaines, je me lève et il m'installe dans la même position que dans l'autre planque mais cette fois il y a un tabouret qui me permet de toucher le sol et être plus alaise. Il m'emmener au toilette et me donner de la nourriture et de l'eau.

Moi : Tu vas me tuer ?
Jack : Tu ne me vouvoie plus ?
Moi : C'est fini ce temps-là.
Jack : Je préfère de toute manière.
Moi : Tu n'as pas répondu à ma question.
Jack : Non, j'ai changé d'avis, je ne vais rien te faire.
Moi : Dans ce cas, pourquoi me garder ici ?
Jack : Ce n'est pas toi que je veux tuer mais ton père et ton chéri.
Moi : Je ne te laisserais pas faire.
Jack : Et que vas-tu faire pour m'en empêcher ?
Moi : Je ne sais pas encore. Mais tu peux t'en assurer je trouverais.

Il sort de la pièce en referment la porte derrière lui. Il faut que je trouve un plan mais avant ça il faut qu'il me fasse confiance. Pourquoi je lui ai dit que j'allais l'empêcher ? Je suis trop conne !

Les jours passa sans que quoi que ce soit de particulier ne se passe, puis des semaines. Cela fessait un mois que j'étais là. J'étais si fatiguer à être suspendu au poignet, j'ai tellement mal.

Moi : Jack.
Jack : Oui ?
Moi : J'aurais deux faveurs à te demander...
Jack : Je t'écoute.
Moi : Je voudrais prendre une douche.
Jack : Hmm... C'est d'accord. Et la deuxième ?
Moi : Laisse-moi dormir dans un lit, je suis fatiguer.
Jack : Je vais y réfléchir.
Moi : D'accord.

Il était assis en face de moi à lire un livre comme deux fois par jour, 2heures le matin et 4heures l'après-midi. Il disait que c'était pour me surveiller mais j'avais l'impression que c'était plutôt pour me tenir compagnie.

Depuis ces derniers jours, il avait extrêmement changé, il était devenu... Humain ? Il fessait attention à ce que je ne tombe pas du tabouret, il regarder mon état, j'avais était malade et il m'avait soigné comme une personne proche. Même si c'était un monstre qui m'avait kidnappé je me retrouver pas avec la même personne en face de moi.

Il m'avait laissé prendre une douche aujourd'hui, évidement c'était des vêtements d'homme que je porter mais qu'importe, au moins j'étais propre et sa me fessait du bien.

Jack : Je ne te laisserais pas dans le lit ce soir. Peut-être plus tard. D'accord ?
Moi : Je comprends, j'ai pris une douche c'est déjà ça.

Le lendemain matin, j'attendais qu'il arrive, la routine matinale puis vient au moment de la garde de deux heures.

Moi : Enfaite, on est le combien aujourd'hui ?

Sa fessait longtemps que je n'avais pas la notion du temps, je savais que sa fessait un mois que j'étais là mais je n'avais aucune idée de la date.

Jack : Le 3 novembre.

Je baissa la tête, une larme que je réussis pas à garder pour moi coula le long de ma joue.

Jack : Que ce passe-t-il ?
Moi : Je devrais être chez moi aujourd'hui, à pleurer.
Jack : Mais pourquoi ?
Moi : C'est le jour où ma mère est morte...
Jack : ... Je suis désoler Ariel...
Moi : Sérieusement, c'est toi qui la tuer.
Jack : Je sais, mais j'étais en colère...
Moi : Raconte-moi ton histoire, comment tu es devenu Jack l'éventreur ?
Jack : Je n'ai pas envie d'en parler...
Moi : Tu me dois bien ça.
Jack: ... Il y a neuf ans de cela, j'avais une femme et une fille à mes côtés... Mais un jour je l'ai est retrouvée morte, 48 coup de couteau dans le ventre de ma fille et 64 pour ma femme... Je n'étais pas le premier Jack l'éventreur, j'étais le second. Le FBI, l'équipe de ton père et d'Aaron qui venait de commencer, ont pris l'affaire, et n'ont jamais retrouvé le meurtrier. N'ayant plus aucune piste ils ont arrêté de chercher mais moi pas. Je l'ai retrouvé et je l'ai tué, 112 coup de couteau, tu sais ce que c'est de donner 112 coup de couteau à répétition. Et après cela, après ce meurtre j'ai compris que j'adorer ça. J'ai donc continué en laissant des énigmes aux deux agents du FBI, j'ai commencé à apprendre le corps humain et j'ai tué vos mères avec Lynda, j'ai failli tuer Lynda et Aaron mais je n'ai pas eu le temps.
Moi : C'était une vengeance ?
Jack : Exactement.
Moi : Mais nos pères ni sont pour rien ils ont essayé mais ils n'ont pas réussi, ça peut arriver à tout le monde. Alors pourquoi ?
Jack : Par ce que c'est leurs fautes.

Il partit, ferma ma porte à clés, signe qu'il partait de la planque. Une demi-heure plus tard, j'en pouvais déjà plus, le tabouret tomba quand j'avais essayé de rester éveiller, après cela je tombe dans les vapes, je n'entendais, je ne voyais, je ne sentais et je ne sentais plus rien...

Vous vous êtes déjà demander ce que c'était de suffoquer ? Moi non mais aujourd'hui je le ressentais, c'est comme quand vous plonger dans l'eau et que vous ne pouvez plus remonter à la surface. Je me noyer sans eau, j'étais si fatiguer, et puis tout d'un coup plus rien.

Vousvous êtes déjà demander comment vous alliez mourir ? Moi oui, et plus d'unefois, je me suis dit que mourir dans mon sommeil serait pas mal, mais pour moila meilleur façon de mourir était de sauver une vie. J'avais sauvé la vie de mameilleure amie avant de mourir c'était quelque chose de bien. Donc c'est bonpour moi ange de la mort, tu peux m'emporter à jamais. Je suis prête, J'ai dità mon père que je l'aimais, donc aujourd'hui est le jour idéal. Je vais enfinpouvoir rejoindre ma mère.

Je t'aime malgré toutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant