Chapitre VIII:

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Moi : Par ce que Lyn est en sécurité et que vous, vous êtes dans la merde.

Homme : C'est ce que tu crois.
Moi : Non, je le sais.
Homme : On verra bien.

Il me laissa seule pendant des heures, je n'arriver plus à ternir, j'avais tellement mal au poignet. J'ai envie de le tuer mais comment, je ne peux rien faire... Plusieurs heures passent et il revient face à moi.

Homme : Je vais m'amuser avec toi.

Il déchira mon tee-shirt et balade la lame de son couteau sur les courbes de mon corps puis transperça certain endroit sur mon torse, je crie de douleur, j'ai envie de pleurer mais je résiste pour ne pas le faire. A la fin de la torture il enlève son haut et prend un miroir, il m'avait fait exactement les mêmes traces que lui.

Homme : Tu sais quand un homme est poignarder on le prend pas pour un suspect mais pour une victime. Alors quand j'ai tué ma petite amie j'ai appelé une ambulance et je me suis fait ces marques. Maintenant tu les as aussi tout comme Aaron, nous sommes tous les trois lier a vie désormais.
Moi : Vous êtes un grand malade...
Homme : Mais non.

Il soigne mes plait puis parcours à nouveau sa lame de couteau sur ma peau. Je suis si fatiguer, mais j'essaye de rester éveiller pendant sa présence, j'ai tellement peur qu'il me fasse quelque chose de plus même si je ne peux rien faire pour l'empêcher. Il arrache une bretelle de soutien-gorge avant d'entendre un bruit étrange. Il part en direction du bruit et moi je m'évanouie de fatigue et de douleur.

J'étais réveiller, je n'arriver pas à ouvrir les yeux mais je sentais que je n'étais pas au même endroit que tout à l'heure. J'étais allongé dans un lit confortable. Après quelque minute j'ouvre enfin les yeux, mon père était dans un fauteuil, endormi, à côté de moi.

Moi : Papa...

Il se réveille en sursaut. Me regarde puis appel un médecin.

Chris : Ma puce, comment tu te sens ?
Moi : Je vais bien papa...
Chris : Ma chérie, j'ai eu tellement peur. Je t'aime tellement ma puce.
Moi : Moi aussi papa. Moi aussi...

L'équipe et Lyn entre dans ma chambre.

Moi : Lyn comment tu vas ?
Lyn : C'est plutôt à moi de te demander ça tu ne crois pas ?
Moi : Je suis tellement contente que tu ailles bien, et tellement désoler...
Lyn : On parlera de ça plus tard. Pour le moment repose-toi d'accord ?
Moi : D'accord mais on en parlera tous les trois.
Lyn : Oui.
Moi : Enfaite comment vous m'avez retrouvé ?
Chris : C'est grâce à Lynda. Je lui ai fait passer ton message, qui en passent n'avait aucun sens mais elle s'est creuser les ménages et elle a compris que...

... : Réveille-toi ! Ariel réveille-toi !

Qu'est-ce que ? Qui voudrais me réveiller je suis réveillée, je ne comprends pas...

... : Aller, tu vas te réveiller ? Et merde !

Moi : Papa ?
Chris : Oui ma chérie ?
Moi : Qu'est ce qui c'est passer ?
Chris : Tu as étais enlever ma chérie.
Moi : Je sais, mais pourquoi tu me demande de me réveiller.
Chris : Qu'est-ce que tu racontes ?
Moi : Je ne comprends rien...

... : Aller Ariel réveille-toi !

Aaron : Je suis si content que tu ailles bien mon amour.
Moi : Mais tu es malade de m'appeler comme ça !
Chris : Ce n'est rien ma puce, on a parlé avec Aaron.
Moi : Et ça te vas ?
Chris : Oui, pourquoi ça ne m'irais pas ?
Moi : Peut-être par ce qu'il à bientôt 44ans et qu'il est ton patron.
Chris : Et alors ?
Lyn : Ton père a raison, ce n'est rien.

Mais qu'est-ce qu'ils leurs arrive ?

... : Tu es enfin réveiller. J'ai cru que tu étais morte tu m'as fait peur.
Moi : Quoi ? Qu'est-ce qui ce passe ?
... : J'ai cru que tu étais morte putain !
Moi : Mais vous êtes qui ?
... : Ouvre les yeux Ariel.
Moi : Jack l'éventreur ?!

Je t'aime malgré toutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant