Je t'aime malgré tout

Chapitre XV :

Le lundi arrive rapidement, j'arrive au lycée et Lyn passe à mes côtés comme si je n'existais pas. Aaron a dû lui raconter sa partie de l'histoire... Je lui parlerais a la pause. Les deux premières heures passent et je rejoins Lyn juste après.

Moi : Je peux te parler ?
Lyn : Comment tu as pu faire ça ?
Moi : Je n'ai rien fait. Evans est un ami et rien d'autre donc je n'ai rien à me reprocher.
Lyn : Je ne sais pas qui croire... Mais si tu veux régler le problème montre lui les messages.
Moi : Si je pouvais je le ferais... Mais malheureusement c'est impossible.
Lyn : Pourquoi ?!
Moi : Il m'a parlé de certaine chose de sa vie bien trop personnelle, je ne peux pas.
Lyn : Sérieux ?! Il s'en fou de sa vie, il veut s'assurer que tu ne le trompe pas.
Moi : Je ne le trompe pas et si il ne m'aime pas assez pour me croire... Et si toi non plus tu ne m'aime pas assez et bien... Tant pis... Moi je sais que je n'ai rien à me reprocher donc maintenant faites ce que vous voulais moi je vais a notre banc rejoins-moi si tu veux.

Elle ne m'avait pas rejoint de la journée, les élèves m'avait fait la misère, l'un d'eux avait commencé à me frapper après le repas, il m'avait tous donner des coups dans le ventre, j'avais eu tellement de mal à me relever. J'étai arriver à mon premier cour de l'après-midi et j'avais tellement mal... Mais je ne dis rien, enfin rentrer chez moi je pris une douche rapide et m'endors avant même d'avoir mangé.

Le lendemain je ne réussis pas à me lever tellement j'avais mal. Je soulève mon tee-shirt et là je voie un énorme hématome. Impossible de bouger de ma position, et j'ai un mauvais pressentiment. Je prends mon téléphone sans bouger, j'appelle l'hôpital, je ne savais pas trop si c'était grave mais je voulais être sûr.

Femme : Allô ?
Moi : Oui, bonjour madame.
Femme : Bonjour.
Moi : J'appel par ce que je n'arrive plus à bouger, j'ai extrêmement mal au niveau du ventre où j'ai un énorme hématome.
Femme : Que vous est-il arrivé ?
Moi : Je suis tombée hier et là j'arrive plus à bouger sauf que j'ai cour et faut absolument que j'y aille.
Femme : Donner moi votre adresse je vais vous envoyer quelqu'un.

Je la remercie, lui donne mon adresse et elle raccroche. Une vingtaine de minute plus tard j'entends quelqu'un ouvrir la porte d'entrer.

Homme : Il y a quelqu'un ?!
Moi : Oui ! Dans la chambre !

Deux hommes me rejoins, on se salut et ils m'examinent. Puis ils se regardent puis les deux hommes posent les yeux sur moi d'un air suspicieux.

Moi : Il y a un problème ?
Homme 1 : Mademoiselle que vous est-il arrivé déjà ?
Moi : Je suis tombée.
Homme 1 : Comment ?

J'essayer de trouver un mensonge à dire, mais quoi ? Puis une larme m'échappe et je détourne le regard quand je remarque qu'ils ont vu que je retenais mes larmes.

Homme 2 : Il faut nous dire la vérité pour qu'on puisse vous aidez.
Homme 1 : Vous vous êtes fait frapper n'est-ce pas ?
Moi : Oui...
Homme 2 : Qui vous a frappé mademoiselle ?
Moi : Je ne peux rien dire... Sinon ça ce reproduiras...
Homme 1 : Est-ce votre père ? Ou votre mère ?
Moi : NON ! Mon père ne ferais jamais ça et puis en plus il est au travaille donc sa risque pas d'être lui.
Homme 2 : Votre mère ?
Moi : Ma mère est décédée il y a six ans...
Homme 2 : Désoler...
Moi : C'est rien. Bref vous pouvez me dire ce que j'ai ?
Homme 1 : Faut vous emmenez à l'hôpital pour être sûr par ce que comme ça on ne peut pas vraiment donner de diagnostic.
Moi : Ok...

J'étais l'hôpital en train de faire une radio, j'attendais les résultas quand je reçu un sms.

Par Sms :

Aaron : Lyn m'a dit que tu n'étais pas au lycée aujourd'hui. Tout va bien ?
Moi : Je suis malade.
Aaron : D'accord, ça me rassure.
Moi : Bref, je vais dormir.
Aaron : D'accord, on se reparle plus tard.
Moi : Mouais.

Docteur : Mademoiselle Argent ?
Moi : Oui ?
Docteur : Nous avons les résultats de votre radio.
Moi : J'écoute.
Docteur : Je ne sais toujours pas ce qui vous est arrivé mademoiselle mais je dois vous dire qu'en plus d'un énorme hématome vous avez une côte cassé et une autre fêlée.