Chapitre XI :

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La pilule n'étais pas passé, mon père non plus ne voulait pas mais ils n'avaient pas le choix, le boulot c'est le boulot. J'étais de retour au lycée. Mon père avait demandé a deux personnes de confiance de me suivre partout où j'allais, et le soir je rentrer au bureau de mon père, je m'enfermer à double tour et je dormais dans son canapé. Après deux longues semaines ils étaient enfin rentrés.

Moi : Alors l'enquête ?
Aaron : Fatigante...
Moi : Viens te coucher.
Aaron : Désoler ma puce mais on va faire des recherches pour retrouver Ariel.
Moi : Papa je veux autant que vous la retrouver mais faut vous reposez sinon vous n'allez pas tenir longtemps. Maintenant je veux tous vous voir au lit.
Aaron : Tu as raison... On travaillera demain. Aller tous au lit, à l'aube demain on continuera les recherches.

Tout le monde obéis, mais un peu plus tard dans la nuit je me réveille par une lumière, je me dirige vers la salle de briefing, Chris était là.

Moi : Tu devrais aller dormir.
Chris : Pas avant de l'avoir retrouver.
Moi : Tu vas pas tenir si tu continues, va dormir, au moins pour quelque heure.
Chris : Je ne peux pas.
Moi : Chris, je comprends que tu veux la retrouver mais tu n'y arriveras pas comme ça.

Il soupire, me regarda et ferma son dossier. Je l'accompagne jusqu'à son bureau lui souhaite bonne nuit puis commence à partir. Je m'arrête dans mon élan et rentre dans son bureau et le prend dans mes bras. Ces larmes coulant le long de mon coup, on reste là pendant quelque minute puis on s'assoit sur son canapé. On commence à parler, il s'allongea pendant que je m'étais installais dans une chaise, une heure après il s'était endormi. Je repartie dans la salle de briefing et éplucha les données qu'on avait.

... : Qu'est-ce que tu fais déjà là ?

Je n'avais pas vu l'heure, le matin c'était levé et mon père était planter là à me regarder suspicieusement.

Moi : Je n'arrivais pas à dormir donc je me suis rendu utile.
Aaron : Hmm. Depuis quand tu bois du café ?
Moi : Depuis quelque semaine.
Aaron : Tu sais que tu dois penser au lycée ?
Moi : J'ai déjà fait tous mes devoirs et j'ai révisé toute mes leçon, et puis j'ai de la faciliter à apprendre donc c'est bon.

Aaron : Dans ce cas, tu as trouvé quelque chose ?
Moi : Toujours rien...
Aaron : Je ne sais plus quoi faire...
Moi : Papa, il faudrait qu'on ait une discussion par rapport à... Tu sais.
Aaron : Je croyais que tu voulais attendre.
Moi : J'ai changé d'avis, je veux comprendre.
Aaron : Très bien, ce soir dans mon bureau.
Moi : Ok.

On avait tous passé la journée à faire des recherches, le soir était arrivé et mon père et moi étions partie dans son bureau.

Aaron : Je t'écoute, que veut tu savoir ?
Moi : Tu sors vraiment avec elle ?
Aaron : Oui, nous voulions t'en parler mais j'ai étais appeler par une affaire et... il c'est passer ce qui ce passe...
Moi : Tu l'aimes vraiment ?
Aaron : Oui. Dès que je l'ai vu, dès que j'ai posé le regard sur elle j'ai compris que c'était elle et personne d'autre.
Moi : Et l'âge ?
Aaron : C'est vrai que l'âge ma un peu freiner mais quand je la revoyais, je...
Moi : D'accord... Raconte-moi comment vous vous êtes connu.
Aaron : C'était une semaine avant ton anniversaire. Tu m'avais parlé des livres sur le surnaturel et je me suis dit que ce serais un bon cadeau alors je suis allé à la librairie, j'étais en train de fouiller quand on m'a rentré dedans, en levant les yeux je l'ai vu, c'était elle. Elle m'a conseillé le livre que je t'ai offert. Puis je suis revenu plusieurs fois, au bout d'un moment elle est venue vers moi et on a discuté puis on a échangé nos numéros. Je la voyais seulement à la librairie mais on se parler beaucoup par message puis un an après j'ai pris mon courage à deux mains et je l'ai invité au restaurant, c'est ce soir-là qu'on...
Moi : Je sais que vous vous êtes embrassé, elle m'avait parlé de toi, sans dire ton nom et tout mais elle t'avait décrit, et elle m'a donné les détails, enfin bref continue...
Aaron : Le lendemain quand on s'est vu au restaurant avec l'équipe et qu'on a appris qu'elle était la fille de mon collègue et que j'étais ton père, on c'est donner rendez-vous le lendemain et elle m'a dit très clairement que si tu n'accepter pas notre relation sa serais fini, elle ne pouvait pas se permettre de te perdre et d'ailleurs moi non plus.
Moi : Papa, je ne dis pas que ça va être facile mais je suis d'accord, je veux bien que vous soyez ensemble mais au début ne vous bécoter pas devant moi.
Aaron : Merci ma puce vraiment. Et t'inquiète pas, on serait trop gêner de toute façon.

Deux semaines plus tard, une jeune fille avait était retrouver devant chez moi, elle a était emmener à l'hôpital. Entre la vie et la mort, elle était en soin intensif, on attendait ce demandant si c'était elle, si c'était possible que ce soit ma meilleure amie, Ariel.

Je t'aime malgré toutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant