Chapitre XII :

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On était arrivé à l'hôpital avec mon père et Chris, on s'avança directement vers l'accueil.

Femme de l'accueil (FA) : Bonjours, que puis-je faire pour vous ?
Chris : Agent Argent et voici agent Hotchner FBI. Nous avons appris qu'une jeune fille avait était admis ici il y a quelque heures.
FA : C'est exacte, elle est en ce moment au bloc d'opération.
Chris : Comment s'appelle-t-elle ?
FA : Nous l'ignorons, c'est un joggeur qui la trouver, nous ne savons pas du tout qui elle est.
Chris : Si je vous montre une photo pourriez-vous me dire si c'est elle ?
FA : Malheureusement non, je ne l'ai pas vu et les seuls personnes à l'avoir vu sont soit avec elle au bloc soit ils ont terminé leurs service.
Aaron : S'avez-vous dans qu'elle états elle est ?
FA : Tout ce que je sais c'est qu'elle a une blessure, provoqué par une arme blanche, au ventre. Et qu'elle est entre la vie et la mort.
Aaron : On va aller en salle d'attente dès que vous avez du nouveau vous nous appeler.
FA : D'accord.

On se dirigea donc vers la salle d'attente, je m'installe entre mon père et Chris, prenant leurs mains dans les miennes, d'un côté, mon père, je prenais sa main pour lui faire comprendre qu'elle s'en sortira, même si la personne au bloc n'était pas Ariel. Et de l'autre, Chris, je voulais le rassurer, lui dire que tout iras bien, qu'Ariel aller survivre à ce cauchemar.

Les heures passèrent, toujours dans la même position, ont attendais, encore et encore, on s'inquiéter, on ne s'avait rien. Puis au bout d'un moment, qui parut une éternité, un médecin apparus dans la salle d'attente, il se dirigea vers nous.

Médecin : Vous êtes les agents du FBI ?
Chris : Oui.
Médecin : La jeune fille s'en est sortie de justesse. Vous voulez la voir ?
Chris : Oui !
Médecin : Chambre 234.
Aaron : Merci.
Médecin : Je vous en prie. Et si vous connaissez cette jeune fille pourriez-vous nous donner son nom ?
Chris : Bien sûr.
Médecin : Merci.

On se dirigea vers la chambre, avant de rentrer ont pris tous une grande inspiration et on entra dans la chambre. On regarda la jeune fille qui commençait à se réveiller doucement et nous regarder d'un air interrogatif.

PDV Ariel :

J'avais mal à la tête, je ne comprenais pas ce qui ce passer, puis je décidai d'ouvrir les yeux, en me réveillent j'étais dans un lit d'hôpital, en regardant autour de moi je vis mon père, Lynda et Aaron. Je l'ai regardé d'un air interrogatif ne comprenant pas ce que je fessais là. Puis mes souvenirs revenaient peu à peu.

Lyn : Comment tu vas ?
Moi : J'ai un peu mal à la tête mais ça va, et toi ?
Lyn : Je vais bien ne t'inquiète pas.
Chris : Ma chérie, tu ma t'en manquer !
Moi : Toi aussi tu ma manqués.
Aaron : Tu te souviens de ce qui s'est passé ?
Moi : Oui...
Chris : Ne t'inquiète pas ma chérie, on va retrouver ce fumier et on va le foutre en taule !
Moi : Pas la peine.
Lyn : Comment ça pas la peine ?
Moi : Il est mort...
Aaron : Que s'est-il passé ?
Moi : En voulant m'enfuir je me suis battu avec lui, il m'a enfoncé son couteau dans le ventre et je lui ai tranché la gorge, ensuite j'ai couru le plus vite possible pour me barrer et après je sais plus trop ce qui c'est passer.
Chris : Tu pourrais retrouver la planque ?
Moi : Non... Désoler.
Chris : Ce n'est pas grave ce qui compte ce que tu ailles bien.
Moi : Oui, j'imagine.

On continua a discuter quelque minutes, puis je voulais me reposer mais j'ai demandé à Lyn de rester, je voulais qu'on parle de ce qu'elle avait appris, mais j'ai était agréablement surprise qu'elle en est parler avec Aaron et que c'était ok pour elle. Ensuite elle m'a laissé me reposer.

J'étais resté un mois à l'hôpital, mon père, Lyn, Aaron et l'équipe venaient souvent me voir. Après cela j'étais resté deux semaines à la maison avant de reprendre les cours. J'avais appris que Lyn avait souffert sans moi, les élèves étaient que des cons, ils c'était moquer d'elle par ce qu'elle avait était enlever, trop faible de ce que j'ai compris. Oui je sais ça n'a aucun sens. Maintenant on souffre à deux, et bien sûr comme d'habitude les adultes ne voyaient, soit disant, rien. On était donc deux contre tous, mais on allait gagner, après ce qu'on avait vécu ce n'est pas trois gamin qui nous fessait peur.

Ce qui me fessait peur en revanche c'est que mon père ou qui que ce soit d'autres apprennent pour mes autres blessures et aussi qu'ils apprennent mon secret...

Je t'aime malgré toutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant