Libération

16 4 0
                                    


Les hurlements étouffés de mes amis s'arrêtèrent d'un seul coup.
Il y eu un bruit de verre qui se brise et un crie résonna dans mes tympans.
Je rouvris les yeux pour constater que le sang qui me recouvrait n'était pas le mien, mais celui de mon tortionnaire.
Une flèche traversait son bras de par et d'autres. Encore attachée, je ne pue que tourne la tête pour apercevoir les hommes et les femmes armées d'arc et de flèches qui venaient de rentrer par la petite fenêtre.
Dans leur dos, l'immense symbole me confirma leurs identités. Les renards.

Je ne les avais jamais vues, mais je connaissais les légendes et elle été bien fade face au combat auquel j'assistais à présent.

Il ne leur fallut que quelques minutes pour immobiliser les deux adolescents et leur père. L'un d'entre eux amena la mère ligoté, elle semblait s'être bien débattue et les griffures sur le visage de l'homme qui la tenait en été la preuve.

Celle qui semblait été la cheffe du groupe s'approcha de moi tout en détachant mes liens. 

- Félicitation Miss Holt vous avez trouvée la pire famille de psychopathe que possède cette ville, la prochaine fois essaye de pas venir avec seulement des neurones

- on n'est pas tous des assassins surentraînés. Souffla Logan, Athénaïs, je te présente ma cousine Daphnée, A la tête de l'organisation criminelle familiale

- Commandante des Renard, fit-elle en levant les yeux au ciel et je te signale qu'on vient de te sauver abrut...

Elle ne finit pas sa phrase, Mélissa avait apparemment pris le pendentif dans la bataille, l'avait attaché autour de son cou et se mis à cracher d'immenses gerbes de glaces. Je me retrouvais plaquer au sol par une épaisse couche gelée. Les renards tentaient de fuir ses gerbes, mais la pièce été étroite et les flèches, même les mieux aiguisées ne faisait pas le poids face au surnaturel.

- La pierre ! Hurla Logan avait qu'une main de glace enserre sa gorge.

Je ne vis rien, mais en quelques minutes tout fut terminer, encore une fois. L'emprise du froid disparue de mon corps et je relevais le visage de la neige fondue. 


Je vis d'abord Gabriel une main sur la plaie de Maya et l'autre encore en l'air, tremblante. De l'autre côté de la pièce Mélissa tel une poupée de chiffon été effondrée contre le mur. La lame qui elle avait amené quelques minutes plus tôt au milieu de la poitrine, au centre de la pierre qui vola en éclats libérant une puissante onde de choc.

 C'était fini.

Quelques instants plus tard, j'étais assise à l'arrière d'une voiture de police, enroulée dans une couverture de survie, je regardais s'éloigner l'ambulance qui emportait Maya et Logan glissa sa main dans la mienne. 

Il n'y eu pas besoin de mots, nous étions en vie et c'est tout ce qui comptait.

Meurtres à HalseyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant