Voilà pour Pathos

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   C'était un doux après-midi d'été lorsque le Magenmagot fut rassembler pour juger Albus Dumbledore pour ses crimes. Personnellement, Harry aurait préféré organiser un pique-nique avec ses amies pendant les vacances d'été. Mais le désir de voir enfin Dumbledore condamné pour ces crimes l'avaient remporté. Comme Harry était l'une des victimes de ses manipulation, il ne participait pas au jugement, cependant il était présent dans les tribunes prêt à donner son témoignage et tout les détail nécessaire pour s'assurer que Dumbledore soit condamné. Il ne put dissimuler sa joie lorsqu'il vit le vieux directeur l'air misérable, affalé dans le fauteuil à chaînes magique pour retenir les délinquant dangereux dans son genre.

   La situation après la nouvelle bataille était redevenu normal et les plus grandes menaces à la vie et au bonheur de Harry Potter avaient été correctement neutralisées. Dumbledore allait être envoyé en prison, Voldemort n'était rien de plus qu'une flaque de bout sous un poids de 16 tonnes (qui avait été transformer en monument national) et quand à Ron et Ginny... enfin disons qu'ils ont de la chance de ne pas être mort pour se qu'ils ont provoqué. Ils furent tout les deux officiellement renvoyés de Poudlard, et peut importe ce qu'il leur après Harry s'en moquait.

- Que tous les partisans de la condamnation se désigne, dit le procureur.

   La décision était unanime.

- Albus Dumbledore, avait vous quelque chose à dire avant que nous rendions notre jugement ? dit Amelia Bones.

- Oui, madame Bones, j'ai quelques mots à dire, répondit Dumbledore avec hauteur. J'admets que depuis environ un siècle j'ai menti, que j'ai était escroc à deux visages mais je n'avais pas le choix, j'était en politique. Si vous le permettez, je vais me lancer dans les explication fastidieuse pour que vous sachiez que tout ce que j'ai fait été dans l'intérêt de tous et pourquoi je devrais rester libre malgré tout mes crimes.

   Il eut un gémissement parmi l'assemblée.

- Très jeune, je savais que j'avais le pouvoir changer la Grande-Bretagne voir le monde de la magie. Tout cela a commencé par un bel après-midi d'été, alors que je venais de mettre la bouilloire...

   Les gens sortirent des magazines et des romans pour passer le temps.

- Enfin, je ne pouvais tout simplement pas demander le renvoie de Tom Jedusor de Poudlard simplement parce qu'il était diabolique. Même si j'était le professeur le plus respecter, je ne pouvais pas ouvrir une enquête a l'époque, même si je savais que les Acromentule n'avaient pas le pouvoir de pétrifier...

   Certaines personnes somnoler sur place tandis que d'autre c'était déjà endormis. Et ainsi, Dumbledore passa en revue toutes sa vie en passant des moment particulier à chaque accusations qu'on lui reprochait et son discours parut tout aussi ennuyeux que le cours monotone du professeur Binns. Harry soupçonna que Dumbledore laisser son discours traînaient en longueur pour que le Magenmagot finissent par oublier la raison pour laquelle il était ici.

- Mais pendant combien de temps il encore parler ? murmura Fay à Harry.

- Aussi longtemps qu'il le voudra, gémit doucement Susan. Une lois veut que le témoins à le droit de faire une déclaration finales et sans limites de temps sans qu'on puisse interrompre.

    Harry remarqua que Hermione, d'habitude grande amoureuse des discours, commençaient à se taper la tête contre la table juste devant elle.

- Et bien sûr je nie totalement toute les accusations à propos de Harry Potter, peu importe ce que disent les rapport médicaux...

   Beaucoup de gens s'étaient endormis. Même madame Bones, qui devait être habituée à ce genre de discours de la part des accusées, se mit à somnoler.

Il n'est pas encore mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant