𝙳𝚎𝚙𝚞𝚒𝚜 𝚚𝚞𝚎 𝚓𝚎 𝚜𝚞𝚒𝚜 𝚗𝚎́𝚎, 𝚓'𝚊𝚒 𝚝𝚘𝚞𝚓𝚘𝚞𝚛𝚜 eu 𝚕'𝚒𝚖𝚙𝚛𝚎𝚜𝚜𝚒𝚘𝚗 𝚍𝚎 𝚗'𝚎̂𝚝𝚛𝚎 𝚚𝚞'𝚞𝚗 𝚙𝚒𝚘𝚗...
Les uniques souvenirs que j'ai de mon enfance sont : la torture, les entraînements, la douleur, le désespoir, les...
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PDV Gwen :
Une porte claqua et je pu aisément deviner qui venait d'entrer.
- Il va s'en sortir ? demanda Nat.
- Je sais pas. répondit le Captain d'une voix neutre.
Une larme solitaire coula sur ma joue à l'entente de cette phrase. Je l'essuyait d'un revers de la main en essayant de garder la tête haute.
Pourtant, la scène se déroulant devant mes yeux, me donnait la nausée.
Fury, allongé sur une table d'opération et les infirmiers et chirurgiens s'activant autour de lui comme dans une fourmilière.
- Parles-moi du tireur. ordonna la rousse, le regard toujours rivé sur Fury.
- Il est rapide, puissant... Steve soupira avant d'ajouter. Il a un bras en acier.
Quand cette information parvint à mes oreilles, je failli m'étouffer avec ma propre salive, m'attirant le regard curieux de Nat et Steve.
Je leur fis un signe de la main pour les rassurer mais l'espionne rousse remarqua mon trouble, enfin, si c'était le cas, elle ne le montra pas.
Ce fut ce moment que Maria Hill prit pour entrer dans la pièce avec un air préoccupé.
- L'analyse balistique. voulut s'informer l'ancienne espionne du KGB.
- 3 projectiles, signature mécanique inexploitable. répondit Hill, la voix tremblante.
- Fabrication soviétique. ajouta Nat.
- Oui. affirma Maria, étonnée.
Alors que Hill allait lui demander comment avait-elle eut cette information, un bip sonore plus fort que les autres retentit, piquant notre attention.
Les chirurgiens paraissaient s'affoler autour de Nick, me donnant encore plus la nausée. Les quelques mots que je réussit à capter furent : défibrillateur, chargez...
Alors que, devant moi, le corps de Fury convulsait, deux agents du S.H.I.E.L.D. dont Rumlow, entrèrent dans lapièce.
Alors que je pensais que les chirurgiens avaient retrouvé une ligne stable, un son strident jaillit de leur machine.
Un long bip sonore.
Un long bip sonore et la question du chirurgien suffirent à faire couler plusieurs larmes salées sur mon visage.
- Heure du décès ?
Je n'attendis pas la réponse des autres et sortit précipitamment de la pièce.
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Je courus à travers les couloirs de l'hôpital jusqu'à arriver devant une chambre vide. J'entra dedans sans réfléchir et fondit en larmes.
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