Le début d'une grande histoire

La tromperie

Au fil des jours qui passent Alice était de plus en plus mal et de plus en plus jalouse, car Fred dormait plus chez Alice et il passé ses soirées avec Léa. Léa était contente que Fred laisse tomber Alice pour elle. Fred lui, était partagé entre ses deux femmes ; Alice qui est une femme souriante, heureuse et très jolie avec ses yeux verts et Léa qui est mince ce qui est sexy, grande brune et tout aussi souriante. Il avait déjà couché avec Léa une ou deux fois mais Alice en savait rien jusqu'à aujourd'hui en fin de journée.

[Flashback]

Fred et Alice venait interroger le mari de la victime, en rentrant dans le bureau du commandant, Fred savait que ça allait mal tourner.

Léa: (en l'embrassant) Coucou Fred
Fred : (mal a l'aise) Coucou...
Alice: On se voit demain commandant.

Elle partie les l'après aux yeux et presque en courant, Fred l'appelait mais elle l'ignorait.

[Fin du Flashback]

En arrivant chez elle, elle se mit sur son lit et pleura à chaude larmes.

Alice: (en larmes) Je m'en doutais... Comment il a pu faire ça, c'était le seul qui me calmait quand j'étais en colère, le seul qui puisse me comprendre,...

Son portable sonna tout le temps qu'elle le coupa, elle alla prendre un pot de glace et se mit devant un film.

Du côté de Fred :

Il l'appela plusieurs fois mais tomba sur la messagerie à chaque appel. D'un cote il se sentait mal d'avoir fait ça et d'un autre il voulait essayer une histoire simple, sans embrouille pour rien, car oui avec Alice il y avait des enguelades pour rien se qui l'énerve beaucoup.
Léa, elle voyait qu'il était stressé, alors elle décida d'aller lui naître une bonne soirée pour lui faire oublier tout ses soucis.

Fred : (Léa pris son portable) Qu'est ce que tu fais ?
Léa : ( l'enlaçant) Je veux te détendre et qu'on passe une bonne soirée tout les deux.
Fred : (craquant) J'aime bien l'idée....

Il la plaqua contre le mur et la déposa sur le lit tout en l'embrassant passionnément, en 2min tout les vêtements étaient au sol. Ils passèrent une nuit magique et Fred avait oublié tout ses soucis de la journée.

Alice arriva à son bureau les yeux rouges et gonflés, elle avait dormi très peu, elle sentait que ses jambes allaient pas tenir longtemps. Victor était surpris de voir sa juge dans cette état.

Alice: Victor l'ex-mari de la victime arrive à quelle heure ?
Victor: A 9h30, Mme le juge, vous devez allé vous maquillez les yeux, vous avez une tête à faire peur.
Alice: Merci Victor c'est super sympa dès le matin !

Elle parti de son bureau en claquant la porte qui a fait trembler tout le palais. Victor sentait que la journée ve être longue et que la juge allait libérer sa colère sur le mari...
Alice se regarda dans le rétroviseur de sa voiture, elle avait vraiment une tête à faire peur, heureusement qu'elle avait toujours une trousse de maquillage pour les cas d'urgence. Elle essaya de calmer sa colère mais elle n'y arriva pas. C'était l'heure du rendez-vous dans 15min, alors elle décida de revenir dans son bureau.
Quand elle rentre les larmes de colère lui montèrent aux yeux

Alice: Pourquoi vous êtes là ?
Marquand: Parce que Victor pense que c'est mieux si je reste pendant l'interrogatoire pour que vous évitiez de tapé sur l'ex-mari.
Victor: Et même Mme le juge vous êtes mal, vous êtes fatigué...

Victor fut coupé par l'ex-mari qui était arrivé. Alice ignora le commandant et essaya de calmer sa colère, mais quelques fois le ton monta, elle s'arrêta avant que le commandant intervienne.
A la fin de l'interrogatoire, Marquand voulut parler à Alice, mais elle était partie en l'entrepôt sans que personne ne le sache.
Marquand préparait les équipes d'intervention pour rentrer dans l'entrepôt. Quand ils arrivèrent, un coup de feu se fit entendre. Dans l'entrepôt le tueur planqua le corps de la femme, quand la police rentra il monta les escaliers et commença à tirer mais une équipe l'attrapa.

Policier: Commandant le corps est ici !!!
C'est Madame le juge !!!
Marquand: ( courant, hurlant) Mme le juge ! Alice ! Alice ! Reveille-toi s'il te plaît ! Appelez les pompiers vite !!!!

Marquand stressait car elle était dans un état critique, elle fut pris par les pompiers et les médecins pour l'opérer de suite....

J'espère que vous avez aimé ce chapitre 😉