Vacances d'enfer!

Un AnniNoël...d'enfer ( 2 )

A chapitre événementiel... Une musique... Pas d'inquiétudes... Comme d'hab, je vous donnerai le top départ pour en profiter pleinement. ; )

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Il est tout pâlichon le chéri... Faudrait pas faire quelque chose ? S'enquit plein de compassion Aphrodite, détaillant Ikki qui avait été installé sur une chaise, à l'écart.

Le temps de reprendre ses esprits. Et de faire le tri dans ses pensées. Drôlement bousculées.

- Je me dévoue, enchaîna Angelo, se préparant à balancer au Phoenix une énergique paire de baffes.

Me dites pas merci ! C'est pour moi, c'est Noël, ça me fait plaisir ! Cadeau !

- Angelo ! Stop ça immédiatement !

Le ton doux et angélique de l'homme le plus proche de Dieu avait claqué comme un coup de fouet.

Aphro et Angelo le regardèrent. Médusés.

- JE m'occupe d'Ikki. Je vais l'aider a surmonter cette épreuve. Il a besoin de se recentrer... Laissez nous.

Les deux complices ne se le firent pas dire deux fois.

Et laissèrent Ikki au bon soin de Shaka.

Angelo glissant à l'oreille du Poisson :

- Ca fait combien de temps qu'il crame pour le Phoenix, Bouddha ?

- Longtemps il me semble...

- Serai t'y pas le moment parfait pour zieuter le ciel de plus près, alors ?

Aphrodite ne retint pas un gloussement extatique, imaginant les ébats de Shaka et Ikki.

Cependant son Cancer l'entraîna vers la sortie...

Et le plaqua contre le mur pour lui arracher un sauvage et torride baiser.

Qui fut interrompu par une voix non loin d'eux...

- Julio Mi Amor !! Oh oui...

Et merde... La Castafiore et son Titi gueule d'ange... 'Tain ! On peut pas être tranquille cinq minutes ! Se lamenta Angelo.

- Angie ?

- Quoi... grogna le concerné.

- Le parc est a nous... Regarde là bas... Quel joli endroit. Fit Aphro en désignant la grotte artificielle non loin.

Parfait !

Ni une ni deux, le Cancer embarqua son Poisson. Plus décidé que jamais.

C'était sans compter sur la malchance légendaire d'Angelo.

En effet quand ils arrivèrent vers le havre où bruissait une petite cascade, des bruits parfaitement reconnaissable et ne laissant aucun doute parvinrent à leurs oreilles...

Deux silhouettes s'activaient avec ardeur. L'une, robe retroussée sur ses reins, l'autre la besognant, maintenant sa partenaire contre la parois rocheuse.

Angelo se frappa le front, sous l'oeil narquois d'Aphro, qui ne put retenir sa remarque :

- Y'a pas à dire. Pégase s'épanouit totalement à Paris...

Seul le hululement de plaisir de Jane lui répondit. Suivit de peu par le râle victorieux de Seiya.

Angelo abandonna... Et reprit sa marche en sens inverse, Aphro sur les talons .