chapitre 42

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Samedi...

Je me réveille, il est 08:50 je vais prendre une douche et m'habit. À mon retour les filles sont dans la cuisine à préparer le petit déj'; en gros des bols de céréales.

On fini de manger puis on débarrasse et elles vont se préparer car elles viennent avec moi chez ma mère...

On descend et on tombe sur Amine qui descend aussi.

Amine: ah Stéphanie, on se retrouve encore une fois dans ces escaliers... rire. Ça va?
Moi: oui très bien et toi? T'es venu rendre visite a ta famille?
Lui: ça va ça va, euh... ouais mais ils sont pas là, j'ai envoyé un message à mon frère et il dit qu'ils sont partis à Lyon rendre visite à la sœur de ma belle mère pour le weekend.
Moi: ah je vois, tu voulais leur rendre visite?
Lui: pas vraiment, j'aimerai les insinuer à m'aider à retrouver ma sœur.
Moi: ils veulent pas?
Lui: non ils veulent pas... dommage.
Moi: hmm... bon je te laisse je dois rejoindre mes amies... bye.
Lui: bye Steph...

Entre temps les filles sont sortis de l'immeuble je les suis et leur raconte ce qu'il m'a dit puis on prend le bus.

[...]


Je jette un dernier regard aux filles et met mon doigt sur la sonnette. Quelques secondes plus tard, la porte s'ouvre sur ma daronne.

Elle: Imane... enfin. J'ai attendu ce jour tellement longtemps... rentrez je vous en prie.

On rentre et on s'assoit dans le salon, elle va dans la cuisine et reviens avec du jus et des cookies.. ils m'avaient manqués ces cookies qu'elle me servait à chaque fois que je venais, ils sont délicieux...

Elle: qui sont ces jeunes filles?
Moi: ce sont mes meilleures amies; elle c'est Jade et elle Célia.
Elle: enchantée de vous connaître les filles.
Jade/Célia: nous sommes toutes aussi enchantée que toi elles rient quand elles se rendent compte qu'elles l'ont dit au même temps.
Moi: quoi qu'il en soit, nous sommes venues pour parler de... ta disparition...
Elle: je suis désolée benti, je l'ai promis à ton père que même si tu me retrouve je ne te dirais rien, faut juste que tu sache qu'on s'est disputé pour un sujet précis et je ne pouvais plus continuer de garder ce lourd secret, on s'est disputé violemment il a osé lever la main sur moi je me suis énervée et j'ai fait ma valise et ce jour tu venais de rentrer de l'école, je me souviens comme si c'était hier je t'ai regardé les larmes aux yeux et je t'ai dis la phrase que je te disais tout le temps; même si la nuit est tombée, les étoiles seront toujours la pour te guider. Je voulais que tu te rende compte que tu n'a besoins de personne pour avancer et que tu ne dois pas laisser tomber, je suis peut être partie mais tu peux continuer d'avancer. Les larmes viennent noyer ses yeux. Je suis désolée, je voulais pas vous abandonner mais j'étais obligée je savais pas qu'ils allaient te faire ça..
Moi: ils étaient gentils, j'avais commencé à grossir mais ils n'y voyaient pas d'inconvénients jusqu'à ce que cette pouffe leur retourne leur cerveau.
Elle: les gros mot ma chérie... Elle dit comme un rappel.
Moi: pardon
Célia: t'a dis quelque chose qui m'a marqué là, ça peut nous emmener à quelque chose.... elle dit pensive
Jade: Célia tu pourrais pas les laisser parler tranquillement et arrêter de faire ta détective?
Ma mère: non laisseparler. Que veux-tu dire par là ma chérie?
Célia: Imane, tu dis que depuis que ta belle-mère est arrivée ils ont comme changé de visage?
Moi: euh... oui mais je vois pas où tu veux en venir.
Célia: c'est peut être une sorcière et elle les a ensorcelés avec un sortilège super fort...
Jade: t'a commencé avec intelligence t'a fini avec stupidité... Elle dit épuisée de la stupidité de notre meilleure amie.
Moi: je lâche un rire je vois où tu veux en venir, elle leur a fait du chour (Du mal).
Jade: on devrait aller inspecter la maison.
Ma mère: c'est vrai je connais ton père, c'était la première fois qu'il lève la main sur moi mais il ne m'a pas frappé, c'était juste pour que je me taise car je criait et tes frères aussi, Karim est violent mais jamais il aurait pu te frapper. Quand vous étiez petits on aurait dit que vous êtes tous jumeaux...
Célia: tata je sais que vous ne voudriez pas qu'on... ma mère la coupe.
Ma mère: on va inspecter la maison.
Célia: j'aurais jamais crû qu'une mère pourrait dire ça... je vous kiffe déjà vous.

De Bagra Mal-Traitée À Peufra Admirée -chroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant