Chapitre I

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1939

La guerre éclate, A.H fait former de jeunes soldats afin de s'emparer de l'Europe. Parmi ces jeunes se trouve un blond au regard rouge sang et au technique de combat remarquable. Son nom Katsuki Bakugou plus connu sous le nom de "Bonberkill" car, en effet, il est doué en matière d'explosifs, à lui seul il a fait exploser une dizaine de ponts.

1940

Après de nombreux exploits le jeune soldat est envoyé dans la Normandie, afin d'occuper un petit village.

Arrivé dans ce village, le blond ressens de la nostalgie, il ressemble énormément au village de son enfance. Et dire qu'il va devoir piller des pauvre gens innocent qui n'ont pas voulu ce qui arrive. Lui non plus n'a pas voulu ça, personne ne l'a voulu à part ce fou qui sert de dictateur à son pays. Mais il va devoir jouer son rôle infâme si il veut survivre.

Ils arrivèrent à la mairie déjà occupé, le colonel l'envoya avec deux autres soldats réquisitionné une petite ferme. Katsuki alla vers son groupe et ils partirent vers la ferme en question.

Arrivé à cette maison en pierre, une femme sortie elle devait avoir une quarantaine d'années et avait de magnifique cheveux blanc comme de la neige. Elle les dévisagea, ce qui insupporta un des soldats, qui commença à lever son bras pour la frappé. Katsuki voulu agir mais quelqu'un le fit avant lui. C'était un jeune homme qui devait avoir l'âge du blond, il était grand et solidement bâti, il avait des yeux hétérochrome tout comme ces cheveux qu'il cachait sous une casquette, il avait une grande cicatrice autour de l'œil gauche. Il attrapa le bras du soldat fermement avant de le jeter à terre et de les regardé avec haine et mépris.

_Ne vous aviser pas de toucher à un seul cheveux de ma mère, cracha t-il.

Un autre soldat voulu s'en prendre à lui mais Katsuki l'arrêta lui murmurant d'éviter les ennuis. Puis le blond se tourna vers la femme.

_Je vous prie d'excuser mon collègue, il ne savait pas ce qu'il faisait, dit le blond avec un accent allemand.

La femme le regarda d'un œil mauvais avant de les inciter à entrer.
Après avoir mangé Katsuki sorti fumé, sa famille lui manquait alors fumé le détendait et lui permettait de ne pas trop y penser. Le bicolore sorti et vint se campé à ces côté. Ils restèrent un moment comme ceci avant que Katsuki ne brise le silence.

_Je suis désolé que vous soyez obligé d'enduré tout ceci.

_Arrêtes avec tes excuses à deux balles t'es comme les autres boche, répondit le bicolore.

Katsuki finit sa cigarette et tourna les talons puis s'arrêta.

_Je peux au moins savoir ton prénom ? Demanda le soldat

Shoto se noya dans ses yeux rubis avant de détourner le regard.

_Shoto Todoroki et toi?

_Katsuki Bakugou.

Le blond rentra et alla dans sa chambre, il s'allongea dans son lit avant de soupiré. Il regarda les autres dormir, et mis ses mains sur son visage. Il allait devoir être très discret, si il voulait vivre il devrait rester impassible.

Katsuki se réveilla dans la nuit, il se leva sans faire de bruit, pris son paquet de cigarettes et sorti prendre l'air. La lune était haute dans le ciel. Le blond pris une cigarette et l'alluma.

_Tu dors pas ? Lui fit une voix

Katsuki sursauta et se retourna, c'était Shoto.

_Et toi? Lui répondit le blond avec un sourire

Le silence lui répondit, le bicolore le toisai restant impassible. Le blond soupira et regarda les étoiles d'un air songeur.

_Pourquoi as-tu l'air si triste? Demanda le bicolore, tu devrais être content que ton pays reprenne des forces au dépouillement des autres.

_Tu sais j'ai jamais voulu cette guerre, tu crois que c'est drôle de chasser et tué des personnes innocente tout sa par ce qu'elle corresponde pas au "critère de la race aryenne"? J'ai jamais voulu de mal à ces gens, ils m'ont rien fait.

_Et c'est qui les gens "hors critères" ?

_Les juifs, les tziganes, les handicapés, les prostituées et... Les homosexuels...

La voix de Katsuki s'était brisé au dernier mot, Shoto le remarqua mais ne fit pas de commentaire.
Un silence pesant s'installa, le bicolore s'approcha du blond et lui demanda une cigarette, que le soldat lui tendit. Ils fumèrent sans rien dire, puis retournèrent se coucher.

•••

Ensemble On Va SurvivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant