@MadeInCongo_ production🥂
Huitième.
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Je suis rentré chez-moi vers 21 heures un bail comme as. J'ai récupéré le daron, je l'ai aidé à faire ses bails. Tout est carré.
Je l'ai laissé avec mes reufs.
Je me suis posé sur mon lit après avoir pris une douche et je suis resté immobile, bras derrière la tête à regarder le plafond dans le noir.
Des fois je me demande comment c'était avant. Comment j'étais, si j'étais toujours le même.
Peut-être que j'ai changé ? En bien ou en mal.
J'en sais rien.
Ça m'arrive souvent de repenser à ma meuf. La seule chose qui me revient à l'esprit, c'est son parfum. Je me souviens seulement de son parfum.
Et ça m'a pris du temps ça. Ça doit faire quoi ? Deux/trois mois que j'ai l'impression de sentir une odeur m'étant familière, et je sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que c'est la sienne. J'ai l'impression que son odeur ne me lâche plus.
Mais son visage... j'ai beau rêvé d'elle, dans mes rêves je vois jamais son visage. Juste sa voix et ses caresses.
Je souffle en fermant les paupières.
Elle devait être belle de ouf, c'est sûr. Elle devait envoyer du lourd ma miss...
Je soupire à nouveau avant de rouvrir les paupières pour checker l'heure sur mon téléphone.
22 heures 13.
Je me suis baladé sur les réseaux viteuf et j'ai eu un déclic.
J'ai le numéro de la miss, pourquoi pas l'appeler.
Je suis allé dans mes contacts et ai cliqué sur l'emoji «🍑» dans la barre de recherche.
J'avais changé son blaze dès qu'elle avait tourné le dos.
J'ai enfilé ma capuche par habitude et ai appelé son numéro.
J'ai mis haut-parleur et ai déposé mon téléphone sur mon torse.
Ça a sonné une fois, puis deux.
Et une voix de meuf m'a répondu «Allô ?».
J'ai froncé les sourcils.
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«Par Amour»
General FictionTerminée. Défendons ce que nous ne pouvions plus défendre. (TW : Violences)