Chapitre 24 : La tragique mort de Jean-luc

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Bonjour, bonsoir!

J'arrive par miracle à tenir le rythme! Grâce à mes réserve de chapitres, mais j'ai toujours pas trouvé le moment pour écrire la suite de mes histoires, donc je vous garantis pas que ça reste comme ça les prochaines semaines, je verrais!

Mais j'espère que ces chapitres vous plairont quand même et sur ce...

Bonne lecture! 🥳

-Non Deidara, je ne trouve pas mignon d'avoir un mini toi qui se trimbale dans toute ma maison, donc non, je ne le garderai pas pendant tes vacances. Soupira Sasori. Et ce n'est pas un peu tôt pour parler de ça ?

Le rouquin était au téléphone avec son meilleur ami et celui-ci passait le plus clair de son temps à parler de son enfant, ce qui rendait fou le marionnettiste n'étant pas un grand sentimental. Il lui parlait d'objet tellement étrange qu'il avait pris l'habitude de répondre par onomatopée. Il commença alors la cuisine, sa petite amie étant allé se promener avec ses deux meilleures amies. Bien qu'il ait désapprouver totalement le fait qu'elle sorte faire encore plein de bêtises, la jeune fille bien que petite savait s'affirmer et avait remis à sa place le jeune homme.

Donc, il se retrouvait dans la cuisine à tenter de faire quelque chose de potable. Car s'il était doué avec les marionnettes et les travaux manuel, il n'avait jamais appris à bien cuisiner. Effectivement, ayant été une marionnette quelques années auparavant, il n'avait pas besoin de se nourrir. Du coup, au début, il avait souvent oublié et c'est pour ça qu'il s'évanouissait souvent. Il avait d'abord pris ça comme un affreux défaut, mais depuis qu'on lui avait montré les merveilles de la gastronomie, il se disait que c'est ce qui lui manquerait le plus s'il devait redevenir une marionnette.

-Et t'imagine ? Onoki a dit que j'avais trop de lolette...mais il n'y a jamais assez de lolettes ! Imagine, il en fait exploser une par jour, faut bien qu'il en ait une autre le lendemain.

-Oui, effectivement. Répondit le No Akasuna sans vraiment l'écouter tout en observant une poêle.

Objet qui pouvait se révéler extrêmement dangereux d'après Gaara. De ce qu'il avait entendu, Sari savait très bien s'en servir, était-ce une bonne chose d'en avoir dans sa maison ? Potentiellement que non...

-Bon, Saso, plus sérieusement, avoue que tu ne sais même pas ce que c'est qu'une lolette...

-Ouais, tout à fait. Répliqua en mode automatique le marionnettiste.

Deidara, à l'autre bout du fil, s'exaspéra en roulant des yeux. Il savait qu'il parlait souvent de son enfant, peut-être un peu trop au goût de Kurotsuchi, surtout qu'elle lui avait hurler que non, pas toutes les femmes enceintes ont envie de fraises. Lui qui en avait acheté deux kilos, il s'était retrouvé forcé à toutes les manger. C'est qu'elle avait du charactère la noiraude. Sasori ne l'écoutait décidément pas et il sut trouver les mots pour le faire réagir :

-Oh, d'ailleurs, tu sais, ta dernière création là, ta nouvelle marionnette. J'ai malencontreusement laissé une bombe à côté d'elle pour lui tenir compagnie et elle a malencontreusement exploser de joie à l'idée d'avoir un nouvel ami bien que glauque.

-Ouais, tout...attends...exploser au sens littéraire ?

Un petit silence s'installa et le blond fut content d'avoir enfin sortit son coéquipier du mode automatique. Il ricana :

-Dans tous les sens du terme.

Le No Akasuna en perdit littéralement la voix, avant que son ami ne lui ricane au nez que c'était faux et que c'était juste pour qu'il sorte de sa transe. Le rouquin n'avait vraiment pas apprécié la plaisanterie et boudait actuellement.

Chéri? Je suis enceinte!  [TERMINE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant