Prologue : Une promesse brisée...

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Août 2006 :

PDV Esteban :

« Alors, quand est-ce qu'on arrive ??! » m'exclamai-je, impatient.

« Calme-toi, Esteban, il reste encore 20 minutes de trajet. » me répondît ma mère, à moitié agacée et amusée.

« Deauville ne va pas s'envoler, et eux non-plus ! » ajouta mon père, les deux mains sur le volant.

« Mais comment voulez-vous que je sois tranquille, c'est mon meilleur ami ! »

« Oui, mais tu nous poses une question toutes les 2 minutes ! Ne t'inquiète pas, on arrive bientôt ! » répliqua mon père.

Je hausse les épaules et je regarde par la fenêtre de la voiture. Soudain, j'entends un klaxon derrière nous, puis une autre voiture qui se met à notre niveau. Je ne peux contenir ma joie lorsque je comprends de qu'il s'agit :

« C'EST PIERROT ! »

Mon ami me regarde en souriant. Je peux voir que c'est Pascale, la mère de Pierre, qui conduit. Jean-Jacques, son père, fait un signe de la main à mon père, qui hoche la tête, pour que nous les suivions.

Lorsque nous nous arrêtons 10 minutes plus tard, j'ai à peine pris le temps de sortir de la voiture que je saute dans les bras de Pierre, qui venait à peine de poser pied à terre.

« Tu m'as manqué, Este ! » me dit-il. « J'ai tellement hâte de passer la journée ici ensemble !! »

« Moi aussi, Pierrot ! » m'exclamai-je en le serrant un peu plus contre moi.

« On dirait que ça fait des années qu'ils ne se sont pas vus..., alors qu'ils étaient ensemble il y a encore 2 jours...» constata Jean-Jacques, sur un ton ironique.

« En tout cas, on a bien compris que c'était vous ! » s'exclama ma mère.

« Ne m'en parle pas ! J'ai cru que j'allais lâcher le volant quand Pierre a hurlé de joie ! » renchérit Pascale, et les quatre parents éclatèrent de rire ! « Et je crois que c'est le seul à me faire ça ! »

Pierre a 4 demi-frères, 2 du côté de son père et 2 du côté de sa mère, je pense que c'est à cela qu'elle faisait allusion.

« Et maintenant, la plage !! » nous crions et commençons à courir, mais mon père nous barre le passage.

« Pas si vite ! Vous n'oubliez pas quelque chose ? » demanda-t-il en pointant du doigt les sacs de plage des deux familles.

Nous nous regardons et prenons deux cabas chacun. Puis nous allons vers la plage :

 Puis nous allons vers la plage :

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Tout n'est pas perdu...[Formule 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant