Chapitre 1 sur Atlantis

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Elizabeth Weir attendait avec impatience l'arrivée du Général O'neill et de SG-1 au complet et de nouvelles recrues pour Atlantis. Elle en demandait depuis un certains temps déjà mais vous savez bien que Jack O'neill et la paperasse.... Vous voyez le genre bien évidement. Plus on le presse plus il ira lentement, telle est sa devise sans doute, se disait tous les jours Elizabeth. Certes les soldats étaient nombreux ainsi que les scientifiques mais de nouvelles mains n'étaient pas de refus pour la cité. Comme à son habitude, elle était dans son immense bureau vitrée qui surplombait la salle d'embarquement. Un air de déjà vu, un air de la Terre. Bien qu'elle ne voudrait pour rien au monde retourner sur Terre. Ici, dans la Galaxie de Pégase, elle était chez elle. Avec ses amis et son amour du risque et de la diplomatie. Et... bien autre chose encore. Habillée comme la veille c'est comme cela qu'il la retrouva de bon matin. Il la trouvait toujours aussi belle. Il l'observa travailler. Hier soir au mess, elle avait parlé qu'elle allait travaillée encore quelques heures. John était persuadé qu'elle ne savait quelle heure il était. Il savait aussi qu'elle avait dû carburer au café fort. C'est pour cela qu'il entra sans frapper et s'assit sur le coin du bureau, un café et un thé à la main. Bien sûr, les boissons ne devaient pas être bien chaudes. En effet, il n'avait cessé de l'observer pendant un moment. Il aimait cela. La pile de dossier et de rapport de mission avaient considérablement diminué depuis la veille. Il était persuadé qu'elle ne l'avait pas vue mais elle le savait. Elle l'avait toujours su. Loin de s'en offusquer d'ailleurs. Elle aimait qu'il veille sur lui tout en restant discret. Il la surveillait pour mieux la comprendre. Et surtout pour qu'aucun lourdaud de sa section ne puisse la perturber et surtout lui faire les yeux doux. Ce que ne savait pas John, c'est qu'elle avait bien quelqu'un en ligne de mire. Lui bien évidemment. Mais en qualité de leader, elle ne laissait rien passée mais elle ne pouvait pas. La jeune femme sourit devant le beau chef militaire.

« Bonjour Elizabeth, comment allez-vous ? Demanda-t-il en essayant de capter toute son attention.
- à vrai dire, je n'ai pas dormi depuis 4H30 exactement.
- Elizabeth ! Que faîtes-vous de vos nuits ? Demanda t-il d'un ton taquin avec tous les sous-entendu du monde.
- Mais je travaille ! Dit-elle en rougissant.
- Vous le faîtes déjà le jour, il faut lâcher prise ! Vous savez ce que cela veut dire ? Demanda t-il ? Dit-il narquois, un sourire ravageur aux lèvres
- A peine, mais vous comprenez mon désespoir, quand vous serez vous aussi leader.
- Vous visez très haut !
- Pourquoi ? Vous pouvez aisément y arriver...
₋ Mais je préfère être sous vos ordres. »

Un nouveau sourire ravageur encore une fois avant de siroter son café pour une fois en silence . Elizabeth prit la boisson mi-chaude, mi-froide mais elle aimait ça. Il s'occupait d'elle, tous les jours et elle aimait plutôt ça. Elle soupira d'aise. Elle ne dormait pas bien depuis un moment et elle était fatiguée. Des cernes sous ses beaux yeux indiquait qu'elle ne prenait pas une minute à elle. Ses cheveux tombaient en cascade sur ses cheveux et cela lui donnait un certain charme. Et John SHEPPARD l'avait bien vu. Rien ne passait inaperçue quand il s'agissait d'elle.
« Aimeriez-vous partir sur le Continent avec moi . Demanda-t-il de but en blanc. Cela vous permettra de souffler un peu.
- Sur le Continent ? Cela aurait pu être une bonne idée si... Enfin vous voyez... Ils arrivent vers 10H.
- Ils n'ont qu'à venir ! Je leur fait visiter !
- On a du travail John. Peut-être une autre fois, je vous le promet.
- Une promesse est une promesse. Demain cela vous va ?
- D'accord si cela peut vous faire plaisir. »dit elle avec un sourire aux coin des lèvres en lisant la fin de son rapport.

Elle soupira d'exaspération en regardant le dossier. Décidément, elle ne comprendra jamais comment Rodney McKay pouvait mettre autant de jargon scientifique et de mots compliqué en une seule phrase ! Il devait parfois prendre l'exemple de John, il expliquait simplement les faits et rien que les faits dans des mots simples et des petites phrases.... Ah bien y réfléchir, elle aimait ce gros glouton comme il était. Et lui au moins, il lui rendait ses rapports à temps pas avec deux mois de retard !!!!

« McKay a encore parlé de façon exubérante ?
- A s'en fracasser le crâne sur mon bureau ! » grogna t-elle

John rit doucement ce qui fit sourire la docteur.

« Les autres nous attendent au mess, vous venez avec moi ?
- Pourquoi pas, dans 5 minutes.
- Rectification, dans 5 heure. Non, je vous kidnappe ! » dit-il en passant derrière son siège pour la pousser vers la porte sur son fauteuil. Elle râla, grogna, hurla contre lui et finit par se lever et de le suivre jusqu'au mess avant qu'il n'ai l'idée de l'emmener jusqu'au mess dans cette accoutrement. John aimait la voir râler contre lui car immanquablement elle finissait toujours par sourire. Elle ne pouvait pas tenir face à lui.





Voilà le premier chapitre ! J'espère que cela vous plaît et que vous vous rappelez et que cela vous fait plaisir d'avoir tous ses souvenirs. 

à la semaine prochaine ! Mercredi à  14 H ? 

Bon début de soirée....  

Un Vent D'amour Et De LibertéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant