partie 49

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Puis je dépose un chaste baiser sur son oreille. Je descends jusqu'à son cou en approfondissant mes baisers.
Sa respiration devient de plus en plus irrégulière, et la mienne aussi.

_Je t'aime.

Au même moment, elle laisse échappé un gémissement, ce qui a pour effet de réveiller le loup endormi.

Je pense qu'elle l'a senti.
Elle se retourne pour me faire face avec un regard à la fois choqué et plein de malice.
Je n'ai pas le temps de réagir, qu'elle me pousse sur le lit, tandis qu'elle monte sur moi.

_Elodie qu'est-ce...

Elle me coupe la parole en posant ses lèvres sur les miennes.
Choqué au début, j'intensifie le baiser ensuite.
J'aime le goût de ses lèvres. Je m'attèle à mémoriser, la forme, le goût et la douceur.
Elle abandonne mes lèvres et descends ses baiser jusqu'à mon cou.

Oh, la vache...J'aime ça.

Elle continue ses baisers et pose ses mains sur ma poitrine.
Je ressens comme un choc et la retourne pour prendre place au dessus d'elle.
Elle me regarde et souris. Ses lèvres ont un peu gonflé à cause des baiser. Elle est si sexy.

_Tu aimes ce que tu vois? Me demande t-elle.
_Oh Oui.

Je m'attaque une nouvelle fois à ses lèvres, ses croissants que je désire tant, quand nous entendons un petit cri étouffé.

On stoppe brusquement nos gestes pour regardé d'où vient ce bruit.

_Désolé monsieur. Dit la domestique qui venait d'entrer dans la chambre. C'est que j'ai tapé et j'ai entendu "oui" donc je suis entrée.

Elle nous regarde encore choqué, avant qu'on réalisé, Elodie et moi, que nous n'avons pas changé de position.

Je descend du lit, pendant que la domestique nous fais dos.

_Vous êtes venu pour quoi?
_Désolé madame m'a demandé de vous appeler. C'est l'heure de passer à table.
_merci, vous pouvez disposez.

Elle s'en alla presqu'en courant.

Elodie quitta le lit en riant.
_Si seulement tu voyais ta tête. Elle est à tomber de rire.

_Ah Ah! Très drôle.
Je m'approche d'elle et la prends dans mes bras pendant qu'elle s'arrange.

_Qui sait jusqu'où on serait aller si elle n'étais pas entrée.
_Mon je sais (elle me fait face). On serait aller nulle part. Maintenant descendons.

_Orh ! T'en sait rien.

MA COLOCATAIREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant