𝕌𝕟𝕖 𝕒𝕚𝕕𝕖 𝕚𝕟𝕒𝕥𝕥𝕖𝕟𝕕𝕦𝕖 ⁽ᴿᵘˢˢⁱᵃⁿ ˢᵃᵍᵃ ³/ᵀᵉʳᵐⁱⁿé⁾

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Vlad :

De la sueur perlait sur son front, du sang coulait le long de ses quelques plaies. Je ne pouvais m'empêcher de sortir un sourire machiavélique qui refroidit d'avantage Pavel. Je m'étais bien défouler dessus mais cela n'était pas assez pour moi. Il doit morfler.

Je lui crache dessus et lui tire une balle dans l'épaule, puis une autre dans les jambes. Je le frappe, enchaîne avec des coups de pieds et de poings. Je m'amuse même parfois à couler de l'alcool sur ses plaies.

Je veux qu'il souffre, qu'il agonise, qu'il me supplie d'arrêter, qu'il regrette sa naissance.

-"Vas-tu assumer ce que tu as voulu faire ?" Fis-je pince sans rire.

Ses yeux remontent vers moi, il grimaça lorsque je lui donnai un coup de poing au visage. Il se pencha et cracha du sang sur ses chaussures, qui coûtent une fortune, mais elles ne valent plus rien.

-"Je ne te donne aucun droit de me regarder dans les yeux petit merdeux."

Il ne répondit rien, je pris l'un de mes couteaux et le lui planta dans la jambes. Il hurla de douleur mais je coupais son cri insupportable avec une gifle. J'attrapais ensuite son menton en le serrant le plus fort possible, rapprochant mon visage de son oreille.

-"Qu'as-tu tenter de faire dans mon dos Pavel ?" Susurré-je près de lui.

-"Faire...tomber...ton..."

-"Mon ?"

-"Entreprise."

Je riais amèrement en lui donnant un autre coup de poing dans le ventre, cette fois-ci. Je lui arrachais sa chemise et lui plantais le couteau dans son bas ventre. Il hurlait de douleur mais je n'en pris pas compte et me redressai de toute ma hauteur. Les yeux noirs, je prends un bouteille d'eau de deux litres et me retourne vers lui.

Je ne pouvais toujours enlever mon sourire... J'étais bien trop satisfait de l'avoir sous ma main.

-"Tu sais, je déteste que l'on tente de me faire des coups bas. Je trouve cela insupportable, ne penses-tu pas ?"

Il s'empressa d'acquiescer mes dires. Je me levais et débouchonne la bouteille. Je lui tire les cheveux et le contraint à ouvrir la bouche, je fais couler l'eau dans sa bouche jusqu'à la fin de la bouteille. Il doit avoir une impression de se noyer mais bon je n'en ai rien à faire.

|Il pleure comme un chien ce salop. Pfff mais quel mauviette !|

Je te le confirme.

Alors que je jetais la bouteille au sol, mon cousin entra en trombe dans la pièce. Je me tournai vers lui et croisai les bras sur mon torse. Vitali était essoufflé, peinait à reprendre son souffle.

-"Tu devrais rentrer chez toi cousin..."

-"Que se passe-t-il Vitali ?"

-"C'est Paola..."

-"Quoi Paola ?!"

-"Elle a appelé sur ton cellulaire mais comme tu ne l'avais, je me suis permis de décrocher."

-"Qu'a-t-elle Vitali bon sang ?!"

-"De grosses douleurs au ventre, elle vomit beaucoup et elle a de nombreux tremblements cousin. Elle te réclame..."

Des rires se firent entendre. Je braque aussi mes yeux vers leur sources et vois mon passe-temps depuis deux semaines en train de rire. La colère monta en moi, sachant très bien qu'il se moquait de la situation. Je prends alors la dernière bouteille d'alcool et me dirige vers lui.