Vicky?

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Des mois après.

Des jeunes femmes accompagnées d'une autre plus âgée se tenaient devant des tombes inscrites M. et Mme Aragan Saldoran. L'une des 2 jeunes avait une béquille qui l'aidait à se déplacer et l'autre un enfant dans ses bras. Elles étaient là pour leurs défunts parents, tous les deux étaient morts dans des circonstances atroces. Ce souvenir rendait leurs visites plus douloureuses. A leur retour à la maison elles s' isolaient
Pour discuter du bon vieux temps, et des évènements qui s'étaient déroulés chacune de leurs côtés durant leur séparation.

Les éclats de rires sur des sujets futiles envahissaient la maison telle une gracieuse mélodie. Reine n'avait jamais cru redécouvrir les plaisirs de la vie, l'amour fraternel et maternel. Sa fille lui faisait pitié parce qu'elle ne savait pas s'y prendre avec elle. Et de cette pitié est née petit à petit une  flamme et une fierté d'avoir mis une jolie petite chose au monde. Un lien invisible fraya un chemin entre leurs 2 coeurs.  Azel était beaucoup plus à l'aise dans les bras de sa maman. Dans les bras des autres elle ne trouvait pas facilement la paix, mais dans ceux de sa mère elle retrouvait rapidement les bras de Morphée. Ses agissements ammusaient beaucoup Reine et la comblait de bonheur.

Des fois la nuit elle observait cette petite humaine gigoter dans son berceau les yeux aux bords des larmes. L'avenir de cette petite n'allait pas être très radieux avec un danger ambulant comme elle. Reine avait pris la décision de laisser son passé derrière elle et s'installer dans cette ville auprès des siens. Christ quant à lui, quitta la ville où se trouvait son enfant et la femme qu'il aimait et Retourna à Black Cruz. Le but était d'éviter de révéler la position de cette dernière avec ses allées et venues.

Quelques mois plus tard.

Reine se baladait avec son enfant dans les jardins de la demeure Saldoran, alors qu'une servante la suivait de prés, elle lui présenta son portable.

Servante : Madame vous avez un coup de fil.

Reine: Merci prends la petite.

Notre héroïne s'éloigna un peu pour répondre à son coup de fil.

Reine: Allô ?

...: Nous avons avons votre sœur, fit une voix étrange à l'autre bout de fil.

Le coeur de Reine ratta un battement.

Reine : Pourquoi ? Je vous préviens si vous touch...

...: Vous n'êtes pas en mesure de proliférer des menacer, nous sommes en position de force. Alors vous allez la fermer et suivre les instructions. Surtout ne mêlez pas la police à notre petit secret, vous en serez plus perdante que nous.

Le protagoniste raccrocha et le visage de Reine se décomposa alors qu'elle voulait enfin mener une vie correcte, son passé venait une fois de plus lui barrer la route.

La tante arriva expressément en larmes pour lui raconter l'enlèvement de Vicky.

Reine : Ma tante fit elle en larmes en prenant sa tante dans les bras.

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