L'annonce

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- Chapitre 40 -

Je m'isole un peu plus loin pour répondre au téléphone.

- Oui, bébé. Décrochais-je avec le sourire.

- Comment tu vas, mon amour ? Me demande Michael.

- Ça va super et toi ?

- Très bien. Dit-il, je peux presque entendre son sourire à travers le téléphone. Alors ? Comment s'est passé la rencontre avec ma chère maman ?

Il rigole à moitié en me disant ça, comme si il se foutait de moi.
Il savait le stresse que j'avais du fait de la rencontrer, surtout seule.

- Ça s'est bien passé. Riais-je doucement. Elle m'a rapidement mise à l'aise.

- Je le savais que tout irai bien. Ria doucement Michael. Elle ne t'a pas posait de question sur nous deux ? Me demande-t-il.

- Non, aucune. Répondais-je. Nous sommes de bon amis, quoi. Riais-je.

- Nous devrions lui annoncer avant que le bébé naisse. Me dit tendrement Michael.

- Je suis d'accord.

- Et avec les enfants, comment ça se passe ? Demande-t-il un brain amusé.

- Super, on a commandait des pizzas et nous étions entrain de regarder un film tous ensemble. Souriais-je.

- J'adorais être avec vous. Dit Michael.

- Je vais te les passer. Le prévenais-je en rejoignant les enfants dans le salon de la suite.

- Merci, baby.

- Votre père est au téléphone. Dis-je en tendant mon portable.

C'est Paris qui se lève la première est saute sur le téléphone avant même que Prince et Blanket n'est eu le temps de réagir.
Elle est heureuse de pouvoir parler à son père. Alors Paris s'éclipse alors un peu plus loin pour être tranquille pendant que moi, je rejoins les trois garçons pour terminer ma pizza et suivre le film.
C'est 10 minutes plus tard que Paris vient nous rejoindre et c'est au tour de Prince qui reste également quelque minutes au téléphone mais en restant dans le salon. Puis c'est au tour de Blanket, qui continu de manger sa pizza tout en restant au téléphone. Lorsqu'il termine, Michael veut aussi parler au petit dernier, Aaron. Qui était très content de pouvoir aussi avoir son tour.
Je le sens toujours un peu plus sur la retenue en la présence des trois enfants.
Il comprend très bien que ce n'est pas exactement la même relation et pourtant, Michael ne fait aucune différence. Nous l'avions déjà remarqué la dernière fois que l'on nous sommes retrouvés tous les six.
Je suis d'ailleurs toujours agréablement surprise de la manière dont fait preuve Michael pour inclure Aaron dans son clan, dans sa famille.
Il est irréprochable.
Lorsque Aaron a terminé son appel avec son papa, il me redonne mon téléphone avec Michael toujours au bout du fil.

- Qu'est-ce qu'il a Aaron ? Me demande Michael.

Je vais alors un peu plus loin pour parler plus tranquillement.

- Pourquoi ? Il t'a dit quoi ? Lui demandais-je.

- Rien, il avait l'air d'être un peu... Fait-il en cherchant ses mots. Timide, sur la retenue, je ne sais pas.

- Tu sais comment il est.. Lui dis-je.

- Oui. Fait Michael. Il faut qu'il arrête avec ça, il est autant mon fils.

- Laisses lui un peu de temps, ça viendra avec le temps. Lui dis-je. J'en suis sûre.

- Tu as raison. Me répond-t-il doucement. Je peux le comprendre.

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