🧸Kaede X (Demon) Reader🧸 [Danganronpa v3]

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Ohayo <3 !
Commande de glancy____hunter2
Bonne lecture

Point de vue Omniscient.•

Dans ce monde, les démons sont libres de choix d'avoir un humain, sous leur sélection personnelle, qui leur seront dévoués jusqu'à leurs morts. C'était le cas de (T/P), un jeune démon, qui avait pris l'initiative d'accueillir en tant que servante, Kaede Akamatsu. (T/P) était un être satanique aux propriétés d'un humain, il ressemblait parfaitement à un adolescent, ce qui lui offrait une couverture parfaite. Puis enfin Kaede, une adolescente d'une beauté inégalée, avec le magnifique don de jouer une mélodie plus qu'harmonieuse via un piano, grâce à ses doigts de fées.

Une jeune fille belle comme un ange, et un garçon demon,  une paire peu commune.

Alors que (T/P) voulait la faire sombrer dans le désespoir, afin de manipuler ses émotions et de se délester de ses réactions, Kaede ne bronchait jamais. Pas une seule fois, son sourire angélique ne s'était assombrit. Pas une seule fois, son ton s'était élevé. Et tout ça mettait le demon hors de lui, il n'avait qu'une envie à chaque fois, briser le coup de la belle blonde, pour ensuite entailler son corps, pour ne laisser aucune parcelle de peau.
Mais il se retenait toujours, quelque chose au fond de lui, l'empêchait de même lever la main vers la pianiste angélique.

Après tout ça, il était toujours étonné de voir que Kaede restait aussi dévouée à lui, malgré la torture, qu'est de rester avec lui. Tout les matins, elle était là pour assister à son réveil, elle lui jouait du piano, toujours avec son miraculeux don, ou bien même restait a ses côtés toutes la journée. Mais il avait récemment découvert un moyen de faire assombrir son sourire, et il s'en languissait d'avance.

Il devait être 3h du matin, et (T/P) marchait dans le long couloir, reliant à la chambre de sa servante, ses pas brisant le silence torturant de l'endroit. Il se léchait les lèvres, d'impatience. Mais alors qu'il tenait la poignée de la porte dans l'une de ses mains, il entendit une douce mélodie émaner de la pièce. Il se bloqua, ses muscles refusaient de lui obéir, et son corps se laissait envahir par la douce musique, sûrement composée par sa servante.

Il se laissa glisser le long de la porte, lâchant au passage la poignée, avant de s'asseoir par terre. Il écoutait attentivement, comme ci sa vie en dépendait. Chaque note lui faisait ressentir quelque chose de différents, lui donnant comme des petits coups de jus, affreusement agréables à son goût.

Sa servante était comme son rayon de soleil, et il ne laissera quiconque lui voler. Il tuera et tortura en enfer, n'importe qui, osera la toucher. Elle lui appartient.

Soudainement, il entendit la musique s'arrêter, sous un horrible enchaînement de notes, puis un silence totale, tandis que quelque chose tomba lourdement au sol. (T/P) pénétra rapidement dans la pièce, presque en décrochant la porte d'un coup. Il sentit une odeur qu'il ne connaissait que trop bien désormais. Celle du sang.

Dans la pièce, sous un silence tonitruant, où il y a quelques minutes encore, résonnait une douce musique, apparaissait un piano et pas loin de là, le corps de Kaede, au sol. Alors qu'il eut un horrible frisson, qu'il n'avait pas ressentit depuis longtemps, il vit avec soulagement que la belle n'avait qu'une coupure au doigt, mais ce qu'il l'inquiétait était son état. Que lui est-il arrivé ?! Alors qu'il sentait la colère prendre possession de lui, une main se posa sur sa joue, le calmant instantanément.

Et il l'a vit, Kaede, les yeux parsemés d'un cristal, retenant de grosses larmes.

Kaede :
« Je suis désolée maître, je ne mérite point votre inquiétude... »

Devant le regard plus qu'insistant de son démon, la pianiste ouvrit son sac.

Kaede :
« J-je me suis pris un gros coup de fatigue, et je me suis écroulée. J'implore votre pardon. »

Avant qu'elle ne puisse rajouter quoi que se soit, elle se fit serrer dans des bras qui lui semblaient plus que jamais, remplis d'affection. Elle gémissait de surprise, et de douleur, suite à la petite pression qu'exerçaient les bras de son maître sur son frêle corps de simple humaine.
(T/P) ne bougea pas d'un poil, et il sentit Kaede se nicher dans ses bras. Il caressa timidement, le dos de sa servante, l'invitant à se loger contre son corps, ce qu'elle ne refusa pas.
Il resta comme ça, jusqu'à ce qu'il sentit un souffle contre son cou, il rouvrit soudainement les yeux, et il la vit, endormie.
Le démon sourit, pour de vrai, un sourire qui s'était fait rare depuis des années. Tandis qu'il continuait à caresser le dos de sa petite pianiste.

Fin.•

𝐈 𝐖𝐈𝐒𝐇 𝐓𝐇𝐀𝐓 𝐈 𝐂𝐎𝐔𝐋𝐃 𝐅𝐑𝐄𝐄𝐙𝐄 𝐓𝐇𝐄 𝐏𝐈𝐂𝐓𝐔𝐑𝐄 [OS]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant