Jusqu'à Mon Dernier Souffle {Hisoka x female reader}_finis

37) deuil

Tu as assez parlé avec mon ange petit blond

-Hisoka ? À quel moment tu t'es dit que sauter dans le vide c'était une bonne idée?!

Hisoka : bungeegum

- ça me rassure quand même pas!

Hisoka : regarde autour de toi plutôt

- comment ça?! Qu'est-ce que tu veux que ça me fasse-

Au moment où tes yeux se posèrent sur la ville, tu fus émerveillée. Paris n'était rien comparé à ce que tu voyais. Ça, c'était la vrai ville lumière. Les bâtiments brillés de milles couleurs chatoyantes mais malgré toute ses nuances, les couleurs te reposaient. Tu n'avais jamais fait attention à quel point c'était beau, à quel point c'était libérant. Tu te sentais bien. Le vent effleurait ton visage et tu te sentais comme libérée, comme une Colombe prenant son envol.

Hisoka : c'est beau hein?

- c'est même magnifique.. Je n'avais jamais vu la ville sous cette angle!

Hisoka: tu as raison. Je suis heureux de voir ça avec toi.

Il regarda au loin, le grand clocher qui indiquait 21h. Il faisait déjà nuit depuis longtemps à cette période de l'année.

Hisoka : Il est tard. Beaucoup de choses vont se passer cette nuit. Mais tu n'y es pas convié malheureusement petit ange.

- beaucoup de choses.. attend comment ça -

Une aiguille se planta dans ton cou, tes paupières devinrent lourdes et tu t'endormis.

PDV HISOKA

À la fin de notre chute, j'atteris avec grâce au sol, portant toujours tp dans mes bras.

Kuroro: je vois que tu lui a déjà administré le somnifère

- pas que ça me plaise mais tu me l'as demander et je suis obligé d'obéir

Kuroro : c'est une question qui porte bien des débats. Laissez faire les choses en la sachant impuissante dans le combat qui vas suivre? Ou devoir juste lui annoncer la nouvelle. Comment savoir ce qui fait le plus mal? C'est une bonne question.

- Ce n'est pas faux mais je pense sur la laissez dormir et le meilleur. Vue comme ça, j'ai aussi l'impression qu'une certaine personne a la flemme de raconter toute la nuit... en même temps vue son retard sur l'histoire..

J'te permet pas hisoka c'est moi qui fait tes répliques à la base

Kuroro: à qui tu parles?

- oh personne. Je suppose que je la raccompagne à la base et que si elle se réveille je la garde fermé dans sa chambre?

Kuroro : c'est probablement le mieux à faire. Si elle se réveille, dis lui que c'est ma décision pas la tienne.

- bien.

Elipse de 2 ou 3 jours, ton PDV

La lumière dans les yeux, tu te réveillas difficilement. Ton corps était engourdis comme si tu n'avais pas bougée depuis des jours. Tu avais faim et soif. En tournant la tête tu vis un plateau de petit déjeuner sur ta table de nuit. Tu ne pus t'empêcher de sourire à l'idée de manger. Une fois le miam miam fini ( j'appelle ça le miam miam Ok?) , tu ouvris enfin la porte de ta chambre, le plateau à la main. Ils faisaient du bruit en bas. Les cris des personnes raisonnaient jusqu'à tes oreilles .  Un long bruit sourd coupa l'ambiance avant que la voix de Nobunaga retentie.

Nobunaga : encore une fois... Prêt? Partez . .  Dites, quel est mon classement au bras de fer dans la brigade ?

Franklin : septième ou huitième je crois.

Machi : en faite, tu n'es pas fort mais pas faible non plus.

Nobunaga : en faite, le plus fort d'entre nous c'était Uvoguine. Mais il se serait fait tuer par le type à la chaîne.

Kirua : on vous a déjà dis que on le connaissais pas !

Comment ça c'était? Type à la chaîne? Tué ? Pourquoi Kirua est la?
Tes jambes qui était restées bloquées répondirent à nouveau est se dirigèrent vers la salle principale

Nobunaga : gamin! Si tu l'ouvres encore sans permission, je te trucide.  Encore une fois. Prêt ? Partez.

Tes jambes accélerent le rythme de tes pas.

Nobunaga : il était du renforcement.
C'était quelqu'un de simple et de toujours discret. Il était très à cheval sur la ponctualité. À chaque fois qu'on était en retard, il s'énervait contre Franklin et moi. Quand on en venait au mains il nous mettait toujours ma raclé. On se connaissait avant la brigade. Je le connais mieux que quiconque. Il n'a..

Tu courrais presque à présent. Tu arrivais presque à l'angle des escaliers qui donnaient sur la pièce principale

Nobunaga : Uvo...n'a pas pu perdre au combat! Il a du tomber dans un sale piège. Jamais je ne le pardonnerai. Je tuerais autant de gens qu'il faudra pour le retrouver. Le type à la chaîne doit nous vouer une grande haine. Il a récemment été engagé par le clan nostrad.  Même si tu ne le connais pas, tu as peut être entendu parler de lui. Réfléchis bien. Si tu as une idée, parle!

Gon : je ne le connais pas. Et même si je le connaissais, je ne vous dirai pas! Je pensais que vous étiez dépourvus de sentiment. Mais vous savez pleurer la mort d'un camarade. Alors pourquoi ne comprenez vous pas, ne serait ce qu'un peu, un tout petit peu ce que peuvent ressentir ce que vous avez tué !

En même temps que tu arriva face à la pièce, le bras de Nobunaga retentit sur la table. Il pleurait. Gon avait gagné un bras de fer face à lui

Feitan: tu t'emballes un peu trop

En une fraction de secondes, ce dernier tenait le bras de Gon dans son dos de sorte à pouvoir lui casser à tout mouvement. Kirua fis un pas vers Gon mais la carte de Hisoka vint se loger dans son cou l'insitant à ne plus bouger. Un bruit de verre cassé retentit et les regards se tournèrent vers toi.

Gon : {Tp}? ..

Ton corps était paralysé face à la scène. Tu avais laché le plateau et ne bougeais plus, une larme coulait le long de ta joue

Uvoguine était mort

Et tu n'avais rien fait

~À suivre ~