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Instagram : Elisa_bensab

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Trois jours plus tard

Lorsque l'on échapper de très près à la mort, toujours était-il de n'pas oublier à travers ce soulagement que ce miracle n'avait pas de revers à la médaille de son mérite. Dans la vie, tout était un peu lier sans nécessairement avoir à l'être dans la logique. Lorsque l'on agissait mal vis à vis d'autrui, on en payait les conséquences, lorsqu'on échappait au pire, on le payait aussi. Un peu comme l'après d'un accident aggravé causant la mort de certains et pas de la nôtre, on échappait certes à la fatalité mais rarement au séquelles que laissaient le après de ce que l'on juge de "cadeau" de la vie.

- il faut la mettre sous coma artificiel, elle souffre beaucoup trop, décida le médecin traitant de la jeune miraculée.

- elle souffre à c'point la ? S'inquiéta le grand frère de cette dernière.

- bien plus que vous n'le croyez, lui répondit-il alors, désolé de sa réponse, elle ne vous en a pas parler à vous ? Lui retourna t'il ensuite, étonné.

Cette question là ne concernait pas vraiment le "vrai" frère de la patiente concernée par cette douleur mais plutôt pour celui qui se référait plus à être son "beau frère". En réalité, après s'être assuré que la jeune brune allait "bien" dans un temps premier, Isaac avait bien plus eu à faire avec sa femme dont la grossesse torturait depuis l'entame du sixième mois de celle ci. Amener par nécessité à la faire rentrer se reposer, les choses avaient fait qu'il n'avait pas forcément eu autre choix que de rester à sa veiller pour subvenir à ses soudains besoins. De ce fait, c'était en partie avec Tarik que la brune avait à passer ses journée d'hospitalisation bien plus que douloureuses.

Malgré l'étreinte meurtrière que la douleur lui procurait, comme à sa fâcheuse habitude, Elvira n'avait rien laisser paraître. Elle souffrait, bien plus que le mot "souffrance" ne connaissait lui même de la vraie signification, mais en silence. Encore dans l'interminable attente que son père se sorte enfin de ce néant à son tour, Tarik n'avait pas daigner à quitter les lieux. Il ne rentrait chez lui qu'une petite heure dans la journée. Il se douchait, se faisait plaisir au près de sa femme dans un court laps de temps puis repartait vers la ou les deux membres de sa famille l'attendaient. A ce même moment, il s'en voulait, de n'pas avoir remarquer que celle qui était tout fraîchement devenu sa véridique belle sœur souffrait.

- non, souffle t'il, honteux.

- c'pas grave frère t'inquiète, tempera alors son ami, t'sais très bien qu'elle est impossible à cerner, poursuit-il.

Si Anwar se serait trouver au parage de ce couloir, il en aurait bien ri, mais il n'était pas là, ou du moins, plus la. Seulement venu pour lui faire face une dernière fois, le grand brun s'était volatiliser dans les heures qui avaient précédés la bonne nouvelle qui s'était entre temps transformer en souffrance intense pour la jeûne concernés ainsi que pour ceux qui l'entouraient, maintenant au courant. Malgré son côté mentalement persécuté, il n'avait qu'une seule parole, et une nouvelle bonté d'esprit qui s'y était ajoutée. Lorsqu'il s'était assurer qu'elle était bien vivante, et surtout bien entourée, il avait ensuite re disparu, ne laissant de sa trace que la succession des chiffres de son numéro de téléphone à Nedia.

[PNL] mon ange Où les histoires vivent. Découvrez maintenant