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Instagram : Elisa_bensab

- c'est trop tard ? Demandait une voix brisée dans l'écho du couloir hospitalier

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- c'est trop tard ? Demandait une voix brisée dans l'écho du couloir hospitalier.

- c'est trop tard, appuyait un chuchotement.

Malgré l'atrocité de ce sentiment, l'humain était malencontreusement parfois contraint à ressentir la pire des récompenses a certains dilemmes dont le choix final ne se résume qu'a être un échec, le regret. Malheureusement, dans la vie, nous n'avions souvent pas le choix de décider c'que bon nous semblerai de faire. Pour accéder au bout du chemin, à l'étape suivante, la solution était promise par défaut, la seule, l'unique, loin d'être celle qui aurai eu à nous enchanter de choisir en terrain libre. Cet obligation de ressentis rendait ce dernier bien moins agréable à vivre, bien moins qu'il ne l'ai déjà en forme et dû de soi-même même.

La tristesse aussi, faisait partie intégrantes des sensations dévastatrices humaines que l'on souhaite tous parfois éviter, mais que l'on ne parvient jamais à esquiver. Certaine personnes en connaissance de cause savent qu'il est parfois meilleur de se jeter dans la moindre envie d'avalanche de pleurs plutôt que d's'en abstenir en se créant cette fausse paroi de force que l'ont n'assumait jamais vraiment jusqu'au bout comme l'on pourrait le souhaiter. Au final, les personnes souvent jugées de fragilité mal place en cause de leur pleurs incessants étaient certainement bien plus près de la clef du calme émotionnel que ces personnes fortes.

- viens la frère, s'allumait une voix bienveillante raccordé a de longs gestes.

Lorsque l'on se sentait défaillir, la question qui tranchait à nous faire choisir dans quels bras allions nous nous réfugier ne se posait même pas. Qu'ils puissent appartenir à notre ennemi, notre proche, ou même celui d'un inconnu importait bien peu. Cette sensation de mal qui nous submerge n'est pas un mince ressentis. Il nécessitait d'ailleurs de la personne qu'il tenait prisonnière une force inestimable rien que pour lui laisser libre et apte courage à ne pas s'écrouler sous le poids de cette décharge d'amas négatif déstabilisantes et destructrice. Il fallait non seulement être fort, mais aussi conscient de la réalité, car au fond, le mal de surface n'est rien comparé à celui du fin fond.

Ça n'était pas dans les longs membre de son grand frère que l'âme en démolition de Nabil s'était loger, mais plutôt dans celle du frère de son âme sœur. Avant d'être un frère pour Elvira jusqu'à lors insoupçonné de n'être en réalité que le demi de ça, il était humain. Il était typiquement le genre de sensible sous une carapace d'homme en béton qui ne voyait le mal nul part, ou qu'il soit. Cette particularité lui avait d'ailleurs valu la cassure de la relation pourtant si fusionnel au départ partagé avec sa petite sœur mais il ne pouvait rien y faire, déjà incruster dans les troncs de sa personnalité. Et pour le coup, ça arrangeait bien cette âme peinée, menaçant les limites de son explosion.

- el.. elle a..

- l'opération a pas encore commencer, répondit le grand frère à cette question infini, mais elle est sous anesthésie générale, contraigna t'il en crainte d'espoir douloureux.

[PNL] mon ange Où les histoires vivent. Découvrez maintenant