Une jeune femme, diplômée de Poudlard, étudie les objets magique pour le ministère de la Magie. Mais un jour, elle tombe sur un étrange parchemin, où sont dessinées les portes de la Moria. Lorsqu'elle trouvera son emplacement, et qu'elle les travers...
Dans un monde magique, rien ne parait impossible. Impossible ? En réalité, plein de chose le sont. Tout n'est pas toujours explicable, tout ne peut pas être révélé.
Elanor, une jeune adulte, montait dans le train rouge, le Poudlard Express. Elle tirait sa valise derrière elle, lançant un dernier regard au magnifique château enchanté. En effet, la jeune fille venait d'obtenir son diplôme de fin d'étude dans la plus grande école de magie au monde.
Elle était une élève modèle, comme lui avait dit plusieurs fois Mcgonagal, bien qu'elle ne l'ait que rarement en cours.
Cela faisait déjà quelques années que la paix régnait enfin sur l'école. Harry Potter avait battu Lord Voldemort, il y a déjà 9 ans. La vie dans le monde des sorciers était à présent plus joyeuse. Enfin, pas pour elle.
Ses parents sont morts durant cette guerre. Tous les deux, la protégeant du mieux qu'ils le pouvaient. Ses parents avaient été tués devant ses yeux, alors qu'ils tentaient de la protéger, sans pouvoirs, sans aucunes défenses. Elanor s'efforçait de vivre avec ce poids sur la conscience.
Mais elle se sentais seule.
Si seule.
Sans amis. Sans famille. Ses seules relations étaient celles avec ses camarades de classe, auxquels elle parlait peut, et aux autres enfants de l'orphelinat, l'été.
Tout ceci serait fini désormais. Elle travaillerait pour le ministère de la magie, en tant que scientifique des objets magiques, c'était-elle dit.
C'est alors que les mois passèrent, dans une monotonie lassante.
Elanor passait beaucoup de temps sur ses études d'artéfacts. Et souvent, les papiers s'accumulaient sur son bureau, car ils n'étaient pas nombreux dans ce secteur. Enfin, elle aimait ce qu'elle faisait, c'est le principal.
Un an à présent qu'elle travaillait activement. Qu'elle vivait seule au centre de la capitale française magique. Elle se sentait toujours aussi seule qu'avant, mais ce ne la dérangeait plus.
Un soir, alors qu'elle allait sortir de son bureau, une pâle lueur attira son regard dans l'obscurité naissante. Intriguée, elle reposa son sac et son écharpe sur sa chaise.
Elle poussa les papiers qui jonchaient son bureau, jusqu'à tomber sur un vieux parchemin.
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Il y avait un dessin, qui luisait d'une faible couleur bleutée. D'après ce qu'elle pouvait voir, il y avait deux arbres, entourant des piliers, et des étoiles, sept pour être précise. Au-dessus, il y avait une écriture qu'elle ne sautait lire. Mais elle remarqua la légende en dessous.
« Ici est écrit en caractères feänorien selon le mode Beleriond : Ennyn Durin Aran Moria : pedo mellon a minno. Im Narvi haine chant : Celebrimboro o Eregion teithant i thiw hin. »
