Chapitre 75

3.5K 179 4
                                    

Notre appartement était parfait. Grand, meublé et lumineux. C'était bizarre de voir une télévision aussi grande, pareille pour la douche on pourrait y entrer à dix dedans. Je regardais Minho donner le biberon à Chloé. Il était tellement concentré que ça me fis rire.
- Quoi ?
- Tu verrais ta tête.
- Chut ne me déconcentre pas.
Je m'assieds à côté de lui et regarda Chloé. Elle fixait Minho avec de grand yeux. Une fois qu'elle a terminé et qu'elle a fait son rot, elle bougea dans tous les sens en poussant des petits cris. Je l'aimais plus que tout au monde, elle était toute ma vie. Minho aussi bien sur. Il la déposa dans son transat et vient me rejoindre.
- J'aimerai bien en avoir un deuxième, dit-il en me faisant un clin d'œil.
- On a tout le temps tu crois pas ?
- Oui mais je te préviens en avance.
Il se pencha vers moi et m'embrassa. C'était exactement comme la première fois qu'il l'avait fait. J'avais l'impression que mon cœur s'était arrêté de battre. Je sentais ses mains derrière mon cou et mon dos. J'entendais son souffle qui était saccadé. Il commençait à me déshabiller quand on sonna à la porte. Je m'écartais de quelques centimètres et remarquais que j'étais à califourchon sur lui.
- On a qu'à faire comme si on était pas là, dit-il.
Mais on resonna à la porte avec impatience. Alors je me levais et alla ouvrir.
- Je ne vous dérange pas ? Demanda Gally
- Non, qu'est-ce qu'il y a ?
- Quoi tu as déjà oublié ?
- Ah oui c'est vrai ! Je vais te la chercher.
Gally et Sarah voulaient garder Chloé cette soirée car ils voulaient faire un essaie pour eux plus tard. Je n'eu pas besoin de bouger car Minho l'amena.
- Tu n'oublies pas de lui donner à manger et de la changer, dit-il. Elle a besoin de dormir alors tu ne l'as met pas au lit trop tard. Et...
- Ca va aller Minho, dit Gally, j'ai les bases quand même.
Il prit Chloé.
- Bonne soirée vous deux, dit-il avec plein de sous entendu.
Je levais les yeux au ciel même si je savais comment allait terminé cette soirée. A peine refermais-je la porte que Minho me porta et m'enmena dans notre chambre.
- Où est-ce qu'on en était ? Demanda-t-il en me posant sur le lit.
- Viens là que je te montre, dis-je en m'allongeant sur lui.

FICTION, Le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant