Hannah Potter

Révélation partie 2

PDV Harry

La rage bouillonnait en moi. Il l'avait tuer. Ce n'était pas assez de tuer mes parents, mon parrain, il fallait encore qu'il tue ma soeur. Ma moitié. Ma jumelle. Il l'avait tuer. Alors que je criais le sortilège de désarmement, cette ordure cria celui de mort. Son sort ricocha, avant de l'atteindre, lui. Il tomba au sol, tandis que je le regardais avec haine. Je venais de comprendre. Ce n'était pas moi qui devait mourir. Mais Hannah. Ce n'était pas en elle qu'il devait avoir toute la haine suffisante pour tuer Voldemort, mais en moi. Dumbledore c'était trompé. C'était ma soeur qui était destiné à mourir. Pas moi. Une larme coula de ma joue. Une seul. Elle avait un gout amère. Un gout désastreux. Nous avions gagner la guerre. Nous l'avions vaincu. Mais a quel prix ? au prix d'un bon millier de vies. Elle avait le gout de la tristesse, la colère, la haine, le désespoir, du troue béant que je ressentait en moi. Je venais de la perdre. Jamais dans ma vie je ne me sentais aussi mal que maintenant. Jamais.

PDV Hannah

J'avais horriblement mal à la tête, j'ouvrais peu à peu les yeux pour voir Seamus en larme un léger sourire au lèvre.

Seamus : Tu...Tu...Tu es en vie ...

Moi : Tu croyais pas que j'allais te laisser là tout seul si ? Réussis-je a dire difficilement.

Seamus : Je t'aime Hannah...

Moi : Je t'aime aussi Seamus..

Il m'embrasse avec tristesse tandis que des larmes dévalaient ses joues.

Seamus : Pourquoi tu m'as jamais dis ce que tu savais faire ?

Moi : Je ne le savais pas avant de le faire...

En reprenant peu à peu mes esprit je m'écris.

Moi : Harry !!

Seamus : Il est allez se battre contre Voldemort. Si tu avais vu la haine qu'il avait en croyant que tu étais morte.

Je réfléchie à ses paroles avant de froncer les sourcils et de demander.

Moi : Depuis quand tu dis son nom sans avoir peur ?

Seamus : Depuis que j'ai crus qu'il t'avait tuer..

Je souris tendrement avant de l'embrasser. Je me relève avec difficulté et me tourne vers l'entrer du chateau.

Moi : Allons retrouvé mon jumeaux avant qu'il ne détruise tout sur son passage.

Seamus : Allons y.

Nous nous engouffrons dans ce chateau. Il y régnait un silence de mort. Nous nous avançons vers la grande salle, alors que j'aperçois un corps, allongé, sans vie. Je regarde de plus près et fut soulager de voir que c'est Voldemort. En face se trouve mon frère, le regardant avec tant de haine que cela m'en donne des frissons. J'avance légèrement avant de crier.

Moi : Harry !!

Tous se retrouve vers moi, et quand mon jumeaux croise mes yeux, les siens s'illuminent. Il sourit de toute ses dents et court me prendre dans ses bras. Je ressers l'étreinte si fort que je manque de l'étouffer.

Moi : C'est fini. Dis moi que c'est fini.

Harry : C'est terminer. On a ganger.

Pile à ce moment là tout Poudlard s'en rend alors compte et cris de joies. Des personnes qui se détestaient se prennent dans les bras, les blesser sont soigné par des infirmiers, et tous se rassemblent sur les tables de Poudlard, mais cette fois ci sans ce soucier de l'appartenance aux maisons. Les Weasley, se regroupe et pleur la mort de Fred, Louna et Neuville s'embrassent, alors que Seamus vient à coter de moi et me prend par la taille. Harry sourit à cette image en questionnant :

Harry : Vous êtes de nouveau ensemble ?

Moi : Je crois bien que oui.

Sam sourit derrière mon épaule et me force à me retourner pour m'embrasser. Hermione et Ron en font de même tandis qu'Harry s'exclame mécontent,

Harry : Arrêter, maintenant je suis le seul à être seul.

Ginny : Et ben tu ne l'es plus.

Tous se retourne vers elle alors qu'elle prend la tête de mon jumeaux entre les mains et l'embrasse. Je souris en voyant la scène. Ron voulant pas voir cela se tourne vers moi me demande.

Ron : Sinon Hannah, tu peux enfin nous expliquer toute cette histoire ?

Pas mal de monde se tournent alors vers nous, sans doute intriguer par cette prestation que j'avais faite il y a moins d'une heure.

Moi : Ma mère, Lily, était une gardienne. J'ai eu le don de ce pouvoir.

Beaucoup de personnes avait compris, et était soit choqué, soit admiratifs. Sauf mon cher jumeaux qui cherchaient toujours ce que cela voulait signifier.

Harry : Gardienne ?

Moi : Tu peux protéger une personne au prix de ta propre vie.

Hermione : C'est comme ca que votre mère a sauver Harry de Voldemort. C'est comme ça que tu as survécue alors que tu n'étais qu'un nourrisson.

Moi : Exactement. Notre mère t'a sauver la vie en utilisant son pouvoir. Dis-je à l'attention de mon frère.

Seamus : Mais il reste encore un mystère. Tu as sauver Harry, mais tu n'es pas morte. Comment c'est possible ?

Moi : Je dois avouer que je n'en ai pas la moindre idée, dis-je perplexe.

Ron : Je t'ai fais boire la potion « furious Minegta » grace à un sortilège.

Moi : tu m'as forcé a prendre une potion ?

Ron : Ton frère m'a dis de te la faire prendre et je suppose qu'il m'aurait tuer si tu ne l'avais pas prise et que tu serais morte par ma faute.

Harry : Tu supposes bien.

Tous rigolent alors que je sourie faiblement.

Moi : Merci. Tu m'as sauver la vie.

Harry : Bon maintenant j'aimerais bien savoir ce que tu as fais pendant tout ce temps alors qu'on chercher les Horcruxes.

moi : Disons que je suis partie au Manoir Malfoy.

Harry : Quoi ?

Moi : J'ai fait exprès de me faire capturer. Ils m'ont enfermer dans une cave, et tous les soirs Narcissa descendait et m'aider a contrôler mon pouvoir.

Harry : Je te suis plus là..

Je regardais trois personnes au fond de la piece. Drago et Lucius regardaient intensément ma marraine qui se leva.

Narcissa : Je suis moi même une gardienne. Et en tant que marraine mon devoir était d'aider Hannah à avoir accès a ce don.

Plus personne ne parlait trop choqué par ce qui se passait. Quand Drago prit sa mere dans ses bras, Lucius eu un léger sourire, et Fleur cria a toute l'assembler.

Fleur : Voldemort n'est plus là. Nous sommes libres. Grace a chacun d'entre vous.

Et tout Poudlard ce mit a crier, tapper des mains, chanter et rire. Tous riait. Car c'était la fin. On avait vaincu Voldemort. Le bien avait triomphait. Et nous pourrons, aujourd'hui, être heureux. Nous pourrons construire une vie. Nous étions libre. Enfin.