une nouvelle vie à deux tome 2

Chapitre 22

Moi : ce qu'essaie de dire Alex, c'est que pour les enfants sa peut être compliqué à comprendre le fait que tu vives avec nous. Tu as toujours était là pour simplement plusieurs jours.
Alex : pour le bien de notre couple aussi.
Marc : En gros vous me virez.
Alex : on veut que tu prennes un appartement comme Ari de l'expliquer.
Marc : de toute façon, la question ne se pose pas, je suis toujours sur le départ de demain matin.
Moi : alors va à la caserne voir ton chef, après des années de service tu peux bien prendre une permission d'un mois au moins.
Marc : je ne vais pas aller pleurer pour avoir ma permission elle a déjà était refusé.
Moi : pourquoi tu ne la pas dis plus tôt.
Marc : car je te connais et j'étais voire pendant ta promenade je suis officier principale de la mission.
Moi : et bah demande à l'officier de réserve de partir à ta place.
Marc : tu connais Mills il ne voudra jamais il est réserviste à chaque mission maintenant.
Moi : il est sérieux lui.
Marc : arrangement avec le chef de brigade.
Moi : je vais aller le voir moi Mills.
Alex : tu va aller voir personne à cette heure-là.
Moi : bah demain première heures.
La journée fut langue avec tous, ses rebondissement, une fois les enfants couchés je monte directement me coucher aussi.
Alex : ça va faire 1 mois.
Moi : quoi ?
Alex : ça va faire 1 mois que l'on a perdu le bébé.
Moi : je sais, Mia ma encore demander quand elle va pouvoir ravoir une petite sœur ou un autre petit frère.
Alex : tu lui a répondu quoi.
Moi : que le bébé qui devait arriver n'avais pas assez de force pour grandir. Et que je pense que Mathys serait son seul frère.
Alex : tu penses ?
Moi : j'ai perdu le bébé mais tu as toujours voulu trois enfants et je n'ai pas pu te donner l'enfant que tu rêves.
Alex : je veux trois enfants, non je voulais mais on a déjà deux enfants magnifiques. Et notre troisième enfant on la eu.
Moi : mais pas en vie.
Alex : cela ne change rien en l'amour que je lui porte même si malheureusement on ne pourra jamais voir son visage de bébé, qui je suis sur qu'il t'aurai ressemblé.
Moi : je t'es privé de ça.
Alex : chérie on en à déjà parler tu n'y es pour rien. Notre bébé n'étais pas assez fort pour se développer.
Moi : mouais.