Transmigrée en Ex-épouse d'un Parvenu dans les années 90

Chapitre 13 : Preuve physique (2)

" Nous nous sommes rencontrés par l'intermédiaire d'un entremetteur et on ses mariés après nous être rencontrés que deux fois. Peux-tu vraiment dire que nous étions amoureux de l'un de l'autre ? Shu Yan, je sais que tu t'es occupé de la maison toutes ces années et que tu t'occupes des enfants, c'est pourquoi j'ai décidé de te donner la maison et tout l'argent que nous avons à la maison. Au pire des cas... " Ye Zhiqiang serra les dents : " Je prendrai les enfants. Je n'y ai pas assez réfléchi. Il serait difficile pour toi de te remarier avec deux enfants. Sans eux et avec une maison et un peu d'argent, tu peux facilement trouver quelqu'un de meilleur que moi. "

Il n'avait vu les enfants que quelquefois, et avait serré son fils dans ses bras que rarement à sa naissance, c'était tout. Il n'a jamais été proche d'eux, c'est pourquoi il n'avait pas hésité de donner la gardes des deux enfants à Shu Yan lorsque Li Jiaojiao dit qu'elle craignait que son enfant soit victime d'harcèlement par ses demi-frère et sœur.

Ça ne dérangeât pas Ye Zhiqiang de dépenser une petite somme d'argent. Il paierait également leurs frais scolaire plus tard. Dans l'ensemble, il ne laisserait rien de mal arriver à l'enfant de Jiaojiao. Comme elle disait, cet enfant était le produit de leur amour.

Mais la situation avait changé. Maintenant qu'elle les dominait avec de telles preuves, il devait faire un pas en arrière. Dans le pire des cas, il pourrait toujours donner les enfants à ses parents au village. De cette manière, ils n'affecteraient pas du tout sa vie avec Jiaojiao.

Il était vrai que les deux s'étaient rencontrés par l'intermédiaire d'un entremetteur. Mais, ils avaient passé tant d'années ensemble, sans compter que le propriétaire d'origine lui avait donné deux enfants. Il devrait y avoir un peu d'amour entre eux même s'ils n'étaient pas amoureux. Après tout, c'est ainsi que tout le monde passait sa vie dans le village, non ? À la fin, Ye Zhiqiang avait de l'argent maintenant et il ne voulait plus de la femme qu'il avait à la maison. Il voulait avoir une femme plus jeune, plus jolie et plus cultivée.

"Nous pouvons divorcer", déclara Shu Yan directement, ne voulant plus tourner autour du pot, "mais je ne suis pas d'accord avec ce que tu as proposé plus tôt."

"Que-ce que tu veux dire ? Tu ne penses pas que c'était assez d'argent ? Tu sais que tout mon argent est relié à des projets et que je dois encore des frais de matériel à mes fournisseurs. Sans parler de tous les salaires des hommes qui doivent être payés. » En regardant Shu Yan, Ye Zhiqiang serra les dents et il dit avec beaucoup de difficulté :

"Et si on fessait comme ça ? J'irai emprunter de l'argent. Je devrais pouvoir obtenir 20 000 $ de plus. En plus des 10 000 $ que nous avons chez nous cela te fera 30 000 $. Combien de personnes dans ton village ont 30 000 $ sous leur nom, hein ? "

Shu Yan ricana intérieurement. Si elle n'avait pas connaissance de tous ses actifs, elle aurait peut-être craqué. Il voulait se débarrasser d'elle pour seulement 30 000 $. Aucune chance !

"Je vais divorcer. Et tu vas me laisser tout ce que tu possèdes. "

Ye Zhiqiang se leva avec surprise, "Qu'est-ce qui te fait penser que tu pouvais faire ça ?"

" Ta liaison ? Ou peut-être parce que tu as mis en cloque ta maîtresse ? Si nous devons aller au tribunal avec ses preuves, c'est comme ça que le tribunal t'aura condamné. Ye Zhiqiang, j'ai des témoins et des preuves physiques. Si tu sais ce qui est bon pour toi, tu vas me laisser tout ce que tu possèdes et tu partiras. Sinon, je te verrai au tribunal."