Gaby's story

« Pas de problème Mademoiselle Sangster. Vous avez une sacrée poigne »

Elle descendait de la voiture en observant Manhattan, c'était un sacré quartier par rapport au Bronx, elle avait l'impression d'entrer dans un autre monde. Elle se retrouvait au pied d'un immense immeuble tout en verre, il était sacrement imposant, elle se sentait comme Harry quand il a vu Poudlard pour la première fois. Elle prenait des sacs à l'arrière de la voiture, et la un jeune homme arrivait à la hauteur de la blonde, prenait ses sacs de ses mains. Elle se sentait aussitôt agressé, et répliquait immédiatement. Elle menaçait le jeune homme, Luke arrivait en courant.
Gaby ! C'est Scott, il bosse ici. Criait le blond, pas habitué à ce genre de comportement, mais de là où venait Gaby, si quelqu'un prenait tes affaires, tu pouvais être sur de ne jamais les revoir. Elle lâchait alors le jeune homme encore secoué. Malgré son entraînement intense d'homme de main, il n'était pas préparer à ce qu'une fille de cette taille ait une telle force. Il se remettait sur pied rapidement.
Je suis désolé Scott, je savais que vous bossiez ici.
Pas de souci mademoiselle Sangster. Vous avez une sacrée poigne.
Elle riait en observant le jeune homme, il devait être à peine plus âgées que Gaby, il était musclé, et plutôt mignon. Elle lui tendait la main.
Gaby. Enchantée.
Scott Mc Call. Pour vous servir. Répondait il en serrant la main de la jeune fille en face de lui. Luke intervenait d'un peu plus près.
Scott est dans l'immeuble un peu partout, sécurité, il m'aide pas mal à garder tout en ordre ici. Il s'occupe des gens qui rentre. Il gère l'entreprise avec moi en faite.
Je vois. Répondait la blonde en récupérant les sacs. Je vais m'en charger, mais merci.
Il y a pas de quoi mademoiselle Sangster. Disait il en attrapant d'autres sacs et en suivant Luke qui était au téléphone. Cela lui rappeler qu'elle devait charger son portable, et appeler JJ rapidement.

Elle pénétrait dans le hall, elle était impressionné par la taille de celui ci. Des tas de gens allaient dans tout les sens, ils bossaient sans doute ici aussi. Luke parlait rapidement à Scott avant de disparaître, Scott se rapprochait de la blonde.
Mademoiselle Sangster, Monsieur m'a chargé de vous dire qu'il avait une affaire urgente à régler. Il revient rapidement. Je vais conduire dans votre chambre. Disait il en appelant l'ascenseur.
Il travaille beaucoup ? Demandait la blonde.
Oui, c'est d'ailleurs la première fois que je le vois disparaître aussi longtemps.
Ah d'accord.
Il m'a appeler après le coup de fil des flics. Je suis désolé pour votre mère.
Merci. Disait elle, elle ne savait jamais vraiment comment réagir lorsque cela arriver, c'était surement trop tôt. Il vit dans son bureau ?
Le jeune brun riait
Il a tout l'immeuble, donc il y a les bureaux de l'entreprise presque partout, sauf au dernier étage, là il y à son appartement.
Ok. Disait elle. Ça fait longtemps que vous bossez pour lui ?
5 ans. J'ai finis le lycée, il m'a proposé un stage ici, et trois mois après, il m'a engagé et payait toutes les formations dont j'avais besoin, je suis un peu son bras droit.
Je vois, c'est cool. Il souriait à la jeune femme. Et vous vivez ici ?
Oui, en faite, j'ai un petit appartement en dessous du votre.
D'accord, vous quittez jamais le boulot. Une fois de plus il se mettait à rire, sans que Gaby comprenne la raison. Elle avait de plus en plus l'impression d'être Harry quand il débarquait sans rien comprendre.
La sonnerie de l'ascenseur indiquait qu'ils étaient arrivés au dernier étage de l'immeuble. Elle prenait les sacs dans ses mains et suivait Scott.
Bienvenue chez vous Mademoiselle! Disait il, la bouche de Gaby s'ouvrait un peu plus à chaque seconde. Un appartement hyper moderne, elle n'en croyait pas ses yeux. Elle les frottait pour être sur de ne pas rêver.
C'est incroyable ici ! Disait elle. Ce qui fit rire le jeune homme, il lui montrait les alentours, il aimait bien la blonde, en plus d'être très jolie, elle était marrante, et c'était surement la seule personne de son âge et du sexe opposer qui n'était pas la pour tenter d'épouser Monsieur Sangster.
Et voila votre chambre. Disait il en ouvrant la porte.
Wahou! C'est plus grand que le placard d'Harry Potter. Disait elle en entrant.
Je vous laisse Mademoiselle. Je vais retrouver votre père. Si jamais il y a besoin, appelez moi.
J'ai pas votre numéro. Répondait elle.
C'est vrai. Donnez moi votre téléphone.
J'ai plus de batterie.
Ok, bon votre père ne sera pas long. Disait il à court d'idée. Elle lui souriait, il commençait à partir.
Merci beaucoup Scott.
Je vous en prie Mademoiselle. Disait il avant de disparaître à la Anastasia dans cinquante nuances de Grey. Cette référence fit rire la blonde, elle regardait sa chambre, elle très classique, mais l'immense qui trônait auprès des fenêtres qui offraient une vue imprenable sur New York. Lui donner envie de sauter de joie dessus.
Elle posait ses affaires dans la chambre et s'allongeait sur le lit, elle sortait son chargeur et le mettait dans la prise près du lit, elle y branchait son portable et priait pour qu'il s'allume rapidement. Pendant ce temps, elle commençait à déballer ses affaires dans l'armoire afin d'y ranger le tout. Elle sortait la photo d'elle et son amie, la photo de sa mère tombait. Elle la prenait dans ses mains et s'asseyait sur le sol avec. Elle l'a regardait longuement, elle ne partageait pas une relation idéale avec sa mère, mais elle avait fait ce qu'elle avait pu. Elles avaient partagées beaucoup de fous rires, elle ressentait un pincement au coeur quand elle se rendait compte qu'elles n'en partageraient plus jamais. Elle sentait une larme coulait le long de sa joue, et rapidement la larmes fit rejointe par des tas d'autres. La pression de cette journée retombait enfin, et Gaby craquait. Elle était épuisée de se battre pour garder le sourire.
La porte s'ouvrait d'un coup sur son père, il entrait rapidement.
Salut Gaby, désolé je devais faire un truc. Alors comment. Il s'arrêtait de parler lorsqu'il voyait la jeune fille effondrait au sol. Il ne savait pas comment gérer ce genre de situation. Il était à deux doigts d'appeler Scott pour gérer le problème, mais il savait qu'il fallait qu'il le fasse. Il s'asseyait alors auprès de la jeune fille.