(Nda : Lémon dans ce chapitre, celui ci est plus long que d'habitude, vous êtes prévenu😏)
Le froid m'envahit entièrement, je presse mon blouson contre ma poitrine, essayant me réchauffer le plus possible. Je croise les bras, assise sur le siège de monsieur Carl grimes.
Une fois son tournage terminé, je lui dépose sa veste sur ses épaules. Ses joues sont toutes rouge comme le bout de son nez. J'attrape ses mains, vient les presser contre les miennes, et les approcher des mes lèvres, vint déposer un long souffle chaud dessus.
***
Nous sommes rapidement retournés à l'hôtel, Chandler est parti à son bain. Je me souviens l'avoir aperçu se rendre la pièce, en oubliant de prendre un pyjama,sous l'effet de fatigue. Je prend un caleçon et un t-shirt, de ce que j'ai pu constater la nui dernière, il dort torse nu mais la fin de l'après-midi à été très froide. Et je ne veux pas qu'il soit malade.
Je toque délicatement à sa porte.
Charlie : tu as oublier tes affaires..je veux pas que tu attrape froid..d'une faible voix.
Chandler : entre.Mes joues se mettent à chauffer immédiatement, je baisse le regard sur mes pieds et pousse la porte. J'essaie de déposer les vêtements sur le rebord de la baignoire en évitant de le regarder, voulant préserver son intimité.
Chandler : le bain est rempli de mousse, tu peux me regarder c'est bon..
Je fini par retirer ma main d'au dessus de mes yeux, et porte mon regard sur lui. Il se penche en avant et s'étire les bras, ses muscles sont contractés.
Charlie : bouge pas.
Je saisi la savon, et le gant que je mouille. Je parcoure délicatement son dos, et lave sa peau avec le plus de délicatesse possible.
Chandler : pourquoi tu me fais ça ?
Charlie : La question n'est pas là Riggs. Faut qu'on arrête de se le cacher Chandler.Il redresse sa tête vers moi, m'attrape les joues et m'embrasse sauvagement. Me faisant lâcher le gan qui s'affale dans l'eau, je sens qu'il se met debout, je me redresse sous ce baiser. J'entend ses pieds toucher le tapis, je réouvre les yeux.
Chandler : arrêtons alors. Dit-il avant d'enrouler une serviette à sa taille.
Nos yeux ne se quitte plus, nos doigts s'entrelace instinctivement. Chandler s'installe sur le lit, je finit par le rejoindre, et, contre toute attente, je vient m'asseoir à califourchon sur lui. Je ne sais pas ce qui me prend par la tête mais mon corps ne peux s'empêcher de se contrôler. Doucement, je passe mes petites mains sur son torse, les montant, les descendants, pour les remonter sur sa peau si douce. Malgré que mes mains soit froides, je vois à travers son regard qu'il ne peut qu'apprécier cette caresse sur son corps, brûlant. Je le constate à la seconde où il mord sa lèvre. Il essaye de contrôler sa respiration, et ferme les yeux. Il ne faut pas que je craque. Je ne veux pas, demain matin, me réveiller et être dégoutée de ce qu'il va se produire. Mais je n'ai pas l'intention d'abandonner.
Lentement, je penche ma tête et vint déposer mes lèvres sur son cou. Chandler, soupire d'aise.
Sa peau est tellement douces ! De plus, il peut sentir l'odeur de mes cheveux. Sauf que cette fois-ci il peut se concentré encore plus, par la proximité avec laquelle il se trouve près de moi. Je commence à lui faire un suçon, et j'entend Chandler gémir d'un son bas. L'entendre, me fais l'effet d'une étrange sensation au niveau du ventre. Il ne tiendra plus très longtemps. Lâchement, je sens qu'il est prêt à ne plus tenir en sentant son intimité gonflée contre mon bassin. Il me saisit par la taille et me retourne brusquement, de façon à ce qu'il se trouve au-dessus de moi. J'émet un petit sourire, satisfaite, en lui adressant un regard plus pétillant que jamais. Il s'approche rapidement de mon visage mais ne m'embrasse pas aussitôt, faisant durer le moment fatidique où nos lèvres vont se rencontrer. Je n'attend pas une seconde avant de rencontrer sa chair, l'embrassant amoureusement. C'est un baiser extrêmement doux et tendre. Je sens que Chandler se veut le plus gentil possible. Je passe mes bras autour de son cou, et je ressens une grosse bulle de bonheur m'enfler dans ma poitrine. Je suis subjugué par l'aisance avec laquelle il se débrouille. Il finit par lâcher mez lèvres, et descend vers mon cou, ne cessant de me parsemer la peau de milliers de petits baisers. Gracieusement, il fait tomber les fines bretelle de mon débardeur avec ses deux mains, et parcourut le chemin sinueux de mes épaules jusqu'au creux de mon cou avec ses lèvres. Je suis pleine extase...Une douce brûlure me consume de l'intérieur, et les baisers de Chandler n'arrange pas tellement les choses.
Incertaine, et pourtant brulante de désir, je passe mes bras derrière son dos, et le presse un peu plus contre moi. Chandler, ne tient plus, fait descendre sa bouche le long de ma clavicule, et couvre mon buste de bisous humides. D'une main experte, je sens qu'il vient caresser mes seins, je ne peux m'empêcher de me cambrer sous l'effet de la surprise. Chandler remonte lentement vers mon visage, et me murmure à l'oreille :Chandler : J'ai envie de toi, Charlie..je n'arrive plus à te résister..
Cette phrase aux allures érotiques me donne aussitôt des frissons dans tout le corps. Je le retourne brusquement pour me retrouver en position de force, ce qui lui laisse amplement le temps d'admirer la vue que je lui offre. Assise sur ses cuisses, je lui offre une vue imprenable sur mes seins..
Hâtivement, et dans des gestes légèrement confus, il retire d'un geste prude mon débardeur, me retrouvant en petite culotte. J'avoue qu'un seul tissus nous sépare, et je me sens beaucoup moins à l'aise, je ne peux pas m'empêcher de cacher ma nudité, ce qui fait rire faiblement Chandler. Il presse encore plus ses mains sur mes reins, de façon à ce que je me rapproche encore plus.Chandler : Tu es magnifique...me susurre-t-il à l'oreille.
Je rougit, il s'empresse de m'embrasser pour mettre fin à ma gène. Je passe mes mains dans ses cheveux brun. Chandler parcoure mon dos délicatement, en l'effleurant de ses doigt.
Chandler m'allonge doucement sur le lit, avant de passer délicatement deux de ses doigts sous l'élastique de ma petite culotte, l'a faisant glisser le long de mes jambes. Je sens que sa main m'effleure la nuque, puis descendre, s'arrêtant un court instant sur ma poitrine. Il continue le long de mon ventre, et suis laa courbe de ma hanche. Ces caresses m'excite je dois l'avouer, je me retiens, maintenant de gémir, car sa main est vraiment très proche de mon intimité.
Délicatement, il passe ses doigts sur ma partie la plus sensible, et sourit lorsqu'il m'entend gémir. Il joue avec mon bouton de plaisir durant quelques minutes, me faisant haleter d'une façon que je ne saurait exprimer. Doucement, il m'embrasse le ventre, me chatouillant la peau de son souffle chaud, taquinant mon nombril avec sa langue. Je me cambre sous lui, de façon très implicite. Du bout des doigt, il relève mon menton. Dans un baiser à la fois doux et langoureux, je sens que nos corps ne font enfin qu'un. Nous ressentons tous les deux une bouffée de chaleur nous envahir, nous immobilisant quelques instants pour savourer ce moment. J'ondule discrètement mon bassin, et Chandler commença tout de suite ses va-et-vient. J'essaie le plus possible de me faire discrète, me trouvant extrêmement mal à l'aise de pousser des gémissements. Mais sous les caresses et les baisers de Chandler, ce n'est pas chose facile...Chandler : Laisse-toi aller, je sais que tu en meurs d'envie.... Dit en en me soufflant à l'oreille.
J'obéis,comme si j'attendait depuis une éternité cette réflexion pour me détendre. Ces mots me rassure tellement, je me détend et passe mes bras derrière son dos , en respirant profondément, et haletant légèrement.
Lorsque je sens qu'il me dépose unn baiser humide à la naissance de ma poitrine, je ne peux retenir de lâcher gémissement plaintif. Je gémis, souffle, pousse de petits cris qui ne fais qu'augmenter la cadence de Chandler. Après quelques minutes d'efforts supplémentaires, l'extase s'empare toi, je crie de joie. Chandler monte au septième ciel un instant après moi, puis se laisse tomber lourdement sur mon corps posant sa tête contre mon buste qui se soulève et s'abaisse régulièrement, au rythme de ma respiration saccadée.Chandler : Madame Williams, souhaiteriez vous devenir ma petite amie?
Pour réponse, je ne lui donne un doux baiser, le coeur battant à tout allure..
Charlie : oui.. chuchotais-je.
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𝐀𝐔 𝐒𝐎𝐈𝐑 𝐃𝐔 𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐋 𝐀𝐍
General FictionAu soir du nouvel an, Charlie, rentre chez elle légèrement éméchée après avoir passé la soirée avec ses amis, jusqu'à ce qu'elle tombe nez à nez avec lui..