Laisse moi t'aider

° 23 °

Levy continua de raconter la conversation qu'avait eu Kenji et ses parents pour expliquer un peu plus la situation à Gajeel.

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Monsieur et madame Mcgarden aperçurent Kenji installé près du jardin. Ils profitèrent de l'occasion pour engager une petite discussion après avoir prit place à ses côtés.

— Kenji, est-ce qu'on peut te poser une question ? demanda madame Mcgarden

— Bien sûr. Laquelle ?

— Pourquoi ma fille et toi vous vous êtes séparés ?

Ce dernier était surpris intérieurement, jusqu'à présent elle ne les a toujours rien dit. Quelle aubaine ! Il devait se saisir de cette occasion.

— Elle ne vous a alors rien dit ? Je m'imaginais bien qu'elle aurait beaucoup trop honte d'en parler.

Les parents de Levy se regardèrent se demandant bien ce que Levy leur cachait.

— Honte de quoi ?

— Et bien sachez qu'elle n'était plus du tout sincère avec moi.

— C'est à dire ?

— Qu'elle voyait quelqu'un d'autre.

— Tu dois surement te tromper, je connais ma fille ! défendit madame Mcgarden.

— Moi aussi je n'aurais jamais cru si je ne les avais pas vu ensemble.

— C'est impossible.

— Pourtant vrai. Je lui ai dis que je lui pardonnais et j'ai bien cru qu'elle était redevenue sincère mais elle continuait à voir ce garçon.

— Levy n'aurait jamais fait ça ! s'outra sa mère.

— Le jour qu'elle m'a quitté elle était bien avec lui, je ne sais pas à quoi elle jouait, peut-être voulait-elle me blesser plus.

— On n'a pas à croire ces mensonges. Kenji, on te considère vraiment alors j'aimerais que tu arrêtes de mentir ainsi sur notre fille, avertit monsieur Mcgarden.

— Vous pouvez toujours lui demander directement. C'est sur qu'elle serait capable d'inventer toute une histoire pour que vous la croyez.

— On ferait mieux de s'en aller, décida monsieur Mcgarden.

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Gajeel savait que Kenji n'était pas normal mais de la à inventer une telle histoire juste pour causer du tort à Levy c'était abusé.

— Ensuite mes parents sont directement venus me le demander à leur retour.

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Levy se dirigeait vers le bureau de son père qui avait fait appel à elle. Sa mère était toute aussi présente et elle se demandait bien qu'elle était le problème pour qu'on la convoque ainsi.

— Ma chérie tu peux t'assoir, lui dit sa mère.

L'adolescente prit place et leva les yeux vers ses parents qui avait un regard soucieux.

— Il y'a un problème ? demanda-t-elle.